La lumière de mon âme.

Chapitre 11

Il baisse la vitre, et je le vois. Je fronce des sourcils et ne comprends pas la situation.

Bien évidemment c'était Ziyad.

Ziyad : Monte je te dépose.

La grosse blague, il est drôle lui. Il me prends de haut et revient vers moi pour me déposer. Je préfère marcher que de monter avec lui.

Moi : Non.

Je continue de marcher rapidement et j'entend le moteur qui s'allume, j'allais crier victoire parce qu'il était partit mais finalement non, je le sens derrière moi.

Il me suivait.

Je continue de marcher, faisant genre de ne pas l'avoir vu. Lorsque je viens traverser la route, il m'en empêche en me barrant la route avec la voiture.

Moi : Ziyad je suis pas d'humeur à jouer avec toi donc décale toi je vais louper mon vol.

Ziyad : Monte je te dépose je t'ai dis.

Moi : Plutôt mourir.

J'allais avancer mais je le vois descendre de la voiture et venir vers moi. Il m'attrape l'avant bras et me dit :

Ziyad : J'aime pas me répéter donc monte Noor.

Quand il a dit mon prénom, je me suis sentis trop bizarre, y avais encore ces fichus choses dans mon ventre.

Moi : Ça tombe bien parce que moi j'adore me répéter. Je t'ai dis que je voulais pas monter avec toi donc lâche moi maintenant.

Il me tire vers la voiture mais je ne voulais pas bouger alors je me tirait moi aussi. Quand soudain il fait un truc qui m'a choqué.

Il m'a pris par les jambes et ma portée jusqu'à la voiture. J'avais mon visage derrière et mes jambes devant lui.

Moi : le frappant Lâche moi purée ! Lache moi Ziyad je rigole pas !

Ziyad : m'imitant Ça tombe bien parce que moi j'adore rigoler.

Il me dépose côté passager à côté du conducteur, j'allais descendre mais il avait verrouiller les portes.

Un gamin.

Il mets ma valide dans le coffre et revient côté conducteur.

Ziyad : Putain une migraine cette gosse.

Moi : Ferme là tu me soules.

Je croise les bras et il démarre j'étais trop énervée purée ! À quel moment on force les gens à monter dans leur voitures ? C'est de la séquestration !

Moi : Pourquoi tu tiens absolument à ce que je monte ? Je croyais que j'étais qu'une simple pute pour toi ?

Ziyad : Non tu ne l'est pas, j'ai jamais dis ça.

Moi : T'es qu'un menteur tu me la clairement fait sous entendre !

Ziyad : Je voulais pas dire ça.

Je décide d'arrêter de débattre avec lui parce qu'il est clairement insupportable ce mec, pire qu'une meuf on dirait qu'il a ses règles !

Ziyad : Pourquoi tu pars au Maroc ?

Moi : Parce que j'en ai envie.

J'avais décidée d'être chiante comme lui.

Ziyad : Tu commences à me les casser toi.

Moi : Parce que t'en a peut être ?

Il était concentré sur la route lorsqu'il s'est retournée vers moi et a sourit.