Chapitre 56

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Moi : Commence par arrêter de crier j'ai mal à la tête purée.

Ziyad : Neya écoute moi bien, si tu me dis pas où tu es tout de suite w'Allah que quand je te revois je te fais la misère.

Je souffle un bon coup, purée il me soule trop ! Je l'avais jamais entendu aussi énervée, il était énervé de fou alors que y avais pas tellement de raison.

Moi : souffle Je suis à B*****.

Il ne me laissait plus le choix, je savais qu'il allait me dire de rentrer mais il était hors de question puisque Noor sera dans le coma dans pas très longtemps. Fallait que je profite un max d'elle.

Ziyad : Hein ? Tu fou quoi la bas ? C'est à 2h d'ici !

Moi : Noor est internée ici.

Ziyad : Tu là crois encore en plus ? Qu'est ce que t'es conne quand tu t'y mets toi aussi.

Moi : Il est hors de question que je la laisse seule ici. Déjà qu'elle a personne, je veux pas l'abandonner.

Lorsque j'ai dis « déjà qu'elle a personne » j'ai sentis Mayaa me regardait du coin de l'œil, je sais qu'elle a un peu mal pris mais a cet instant là c'était le cadet de mes soucis.

Ziyad : Tu rentres tout de suite je t'ai dis.

Moi : Et moi je t'ai dis non. T'a pas honte de laisser ta femme ici ?

Ziyad : Et elle elle avait pas honte quand elle m'a hcheum devant toute la cité ?

Moi : T'a cherché à savoir la vérité peut être ?

Ziyad : Y a les vidéos, arrête de croire que le monde est tout rose putain.

Moi : J'en ai rien à foutre de tes vidéos de merde, t'es juste un imbecile qui croit tout ce qu'il voit.

Ziyad : Oui bah oui maintenant c'est moi le fautif. Je suis pas son pd moi pour qu'elle me fasse ça, elle a déjà de la chance que je la laisse tranquille.

Moi : T'es vraiment devenu une personne sans coeur, t'a changé Ziyad.

Ziyad : Ferme ta gueule, te mêle pas de ma vie. Rentre ou sinon je viens te chercher.

Moi : Je ne mettrais pas 1 putain de pied dans notre ville ok ? C'est plus clair comme ça ?

Ziyad : Tu me laisses pas le choix, fait pas la-

Et je lui raccroche au nez, mon Dieu il m'avait mit les nerfs j'avais envie de tout casser. Bien évidemment la conversation s'est faite en se criant dessus, j'avais jamais osée lui répondre de la sorte mais là je savais pertinemment qu'il était en tort.

L'ambiance avait changée, elle était beaucoup plus tendu, j'étais super énervée.

Tout ça à cause de lui.

Mayaa ne disait rien, mais je savais qu'elle réfléchissait aussi à ça, je la vois resserrer ses mains autour du volant.

Mayaa : C'est un malade lui a parler de ma reuss comme ça !

La lumière de mon âme.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant