La lumière de mon âme.

Chapitre 20

Ils étaient en train de monter dans le brancard à l'intérieur de l'ambulance, je savais pas quoi faire j'étais comme paralysée de la situation. Je bougeais plus juste je regardais la scène devant mes yeux.

J'arrivais pas à y croire.

Je cours voir un ambulancier qui était à côté et je lui demande ce qu'il s'est passé.

Ambulancier : Désolé monsieur je ne peux ps vous dire je suis tenu au secret médical, si vous êtes un proche à cette jeune femme veuillez nous suivre à l'hôpital.

Moi : Le nom de l'hôpital ?

Ambulancier : L'hôpital Pierre *****

Ce chien voulais pas me dire ce qui c'était passé, j'avais le seum de fou. Mon cœur battait hyper fort, je stressais et j'avais super peur.

Peur pour elle.

Je sais pas ce qui se passait ça allait me rendre fou. Je regarde autour de moi et je vois une meuf elle était voilée en train de fixer la scène en souriant.

Quel psychopathe rigolerait sur une scène de ce genre ?

Quand elle a croisé mon regard elle a direct avancer et c'était mieux la vie je sais pas qui regarderai une meuf pissait le sang en rigolant.

Je savais même pas comment j'allais annoncer ça a ma mère et à Neya.

Le monde c'était un peu estomper, et l'ambulance était partit. Je voulais d'abord les prévenir avant d'aller à l'hôpital.

Je me sentais pas bien de fou, je transpirais de degun.

Je l'ai est appeler pour les prévenir.

Appel

Moi : Allo ?

Neya : Ouais du coup Ziyad elle va bien ?

Moi : ...

J'arrivais pas à lui dire, déjà que j'arrivais pas à réalisé alors le dire de ma bouche c'était encore plus compliqué.

Neya : Ziyad il se passe quoi ? Pourquoi tu parles pas et respire super fort ?

Moi : Elle-Elle a été retrouvé à moitié morte derrière son bâtiment..

Neya : QUOI ? TU TE FOU DE MOI C'EST ÇA ?

Elle a commencé à hurler au téléphone en pleurant de même pour ma mère et ça m'aidait pas du tout sah.

Moi : Rejoins moi à la voiture je t'attend.

Fin de l'appel.

Je me suis mis dans la voiture et je me sentais pas bien sah, alors que vas-y de base je m'en fou d'elle pourquoi je panique comme un pd comme ça frère.

Elles arrivent et ma mère elle était dans un état laisse tomber, Neya c'est mieux on en parle pas.

Neya : pleure Ça c'est passé quand ?

Moi : Je sais pas w'Allah le chien de l'ambulancier il a rien voulu me dire.

Ma mère : pleure Je t'avais dis d'aller aller la voir ! C'est ta faute !

Elles étaient en pleures toutes les deux, moi je conduisais et j'étais comme dans un autre corps. Je réalisais pas encore.

On arrive à l'hôpital je me gare en vitesse et on rentre rapidement.