La lumière de mon âme.

Chapitre 31

Je criée à l'horreur puis sa vision avait disparu, laissant place à celle de..

Mon sauveur,

Ziyad..

Il m'a porté sur le lit et m'a ramener un verre d'eau avec du sucre. Il me carressait la joue, je fermais les yeux car j'avais peur d'avoir peur de lui si je l'es ouvrais.

J'avais peur de revoir mon père, car oui c'était mon hallucination.

Ziyad : Noor il n'y a personne, sauf toi et moi tu peux être tranquille, t'en fais pas..

J'ai ouvert légèrement les yeux et je serrais fort sa main, j'avais tellement peur de le revoir. En les ouvrant j'ai vu Ziyad très inquiet.

Il était inquiet pour moi ?

J'ai commencé à stressé parce que il était à côté de moi mais j'avais tellement plus d'énergie pour débattre que j'ai préféré rien dire et prendre mon mal en patience sah.

J'ai fermé les yeux, je voulais juste dormir parce que je préfère fuir la réalité, je me sentais si mal vous pouvez pas savoir w'Allah.. J'ai finalement réussi à m'endormir pendant que Ziyad me faisait des papouilles dans les cheveux trop mon kiff ça.

Dans la peau de Ziyad.

Elle s'était endormie maintenant, j'ai pris un plaid et j'suis partis lui mettre pour pas qu'elle attrape froid. J'ai continué à l'admirer pendant qu'elle dormait ça peut paraître bizarre mais elle a l'air trop apaisée sah dans son sommeil.

J'ai entendu quelqu'un ouvrir la porte, avec une odeur de bouffe je me suis direct levé désolé les mecs mais quand ça parle de bouffe y a plus de potes qui tiennent.

J'suis direct partis voir c'était Neya.

Moi : Wsh la grosse bien ou bien ? Tsais on peut partager hein.

Neya : Bouge c'est pour Noor.

Moi : Elle dort hmara ta pris 4ans frère aussi, vas-y envoie ça.

J'étais trop heureux que l'autre vache elle dorme, c'était un bon kebab en plus la.

Elle a soufflé, elle avait trop le seum. J'ai mis la table rapidement elle a déposé le sac et on a commencer à manger mais elle avait l'air ailleurs.

Moi : T'a quoi ?

Neya : ...

Moi : Eh oh je te parle cousine, ta quoi.

Neya : Euh-Oui oui pardon tu disais ?

Moi : T'a quoi ? Pourquoi on dirait t'es ailleurs ?

Neya : Nan mais enfaite c'est.. c'est Noor j'ai l'impression d'être impuissante face à sa situation et ça m'énerve.

Moi : On y peut rien aussi, on doit juste être là pour la soutenir c'est tout.

Neya : Ouais c'est vrai mais bon..

On a finalement changé de sujet, on parlais de tout et rien.