La lumière de mon âme.

Chapitre 38

Ziyad.

L'ascenseur venait de s'arrêter et elle venait de perdre connaissance, je la porte en princesse et commence à hurler pour qu'on nous vienne en aide.

Je commençais à en avoir marre ça faisait 3heures qu'on était coincé là dedans ! J'ai cliqué sur tout les boutons possible pour qu'on nous vienne en aide jusqu'à ce je sois en conférence avec une femme :

Moi : Aidez nous merde ça fait 3h qu'on vous appelle y a personne ! On est coincé !

Femme : Combien êtes vous monsieur ?

Moi : 2 personnes dépêchez vous ! Il y une personne qui vient de perdre connaissance du au choc.

Femme : Nos renforts sont sur la route, savez vous dans quel étage vous êtes ?

Moi : Nous sommes resté coincé au 1er étage puis l'ascenseur est descendu d'un coup pendant plusieurs minutes donc je suppose que nous sommes plus bas encore.

J'essayais vraiment de garder mon calme parce que j'avais Noor dans les bras mais elle commençait sérieusement à me les casser.

Il y avait un silence, elle voulait plus parler ou je rêve ?

Moi : C'est pas le moment de se foutre de ma gueule à rester silencieuse hein.

Femme : J'ai bien peur que vous soyez en dessous du sous sol, si c'est le cas l'intervention risque d'être très compliqué..

Moi : Pourquoi ?

Femme : En dessous du sous sol il n'y a rien, seulement du ciment donc il va falloir vous remonter jusqu'à avoir un peu d'espace pour vous évacuer, donc ça risque d'être compliqué..

Moi : Ça c'est de votre faute ça fait 3 putains d'heure que je vous appelle ! J'ai ma femme qui a perdu connaissance et vous êtes en train de me dire qu'on va rester pourir ici ?

Elle ne dit plus rien, j'essaye de réveiller Noor tant bien que mal mais impossible elle était très loin, je mesure son pou et il est encore la, donc je suis d'autant plus rassuré.

Moi : Et vous avez intérêt à vous dépêchez ou bien ça se finira au commissariat pour non assistance à danger !

Femme : Je t'avais dis que je me vengerais Ziyad.. bon courage pour toi et ta princesse.

C'était une autre voix, ce n'étais plus la même que celle au début..

Je venais de reconnaître cette voix, j'ai bien cru que j'allais enfoncer mon poing dans les panneaux de contrôle.

C'était Naïla.

Cette peste avait réussi à nous atteindre, comment a-t-elle pu avoir accès à ça ?

Moi : Écoute moi bien Naïla, je te jure que je sors d'ici je vais te retrouver et croit moi que tu regretteras tout ce que t'es en train de faire vielle pute va

Femme : Et moi tu risque de me taper aussi ?

Je crois je suis devenu blanc comme un linge, je venais de tout comprendre. Tout les événements c'était liés dans ma tête. Cette voix la n'était pas celle de Naïla mais bien de Marwa.

Donc ce n'était pas seulement Naïla qui a saboter la salle de contrôle, mais Marwa aussi.

Elles étaient deux dans ce coup là, Marwa connaît parfaitement l'entreprise elle a sûrement dû l'aider. J'en revenais pas pourquoi tant de jalousie envers une seule personne ?

Les nerfs sont montés d'un coup, j'allais devenir fou. J'ai baissé la tête et quand j'ai vu le visage apaisé de Noor, je me suis calmé.

Moi : Marwa, croit moi que tu te fera licencié dès que je rentre t'a pas honte de faire ça ? Bande de grosse jalouse vous êtes pire l'une l'autre.

Marwa : -rire- Personne ne saura que c'est moi mon petit loulou t'inquiète pas on s'est bien débrouillé avec Naïla.

Moi : Comment vous avez réussi à passer la sécurité ? Omar vous aurez jamais laissé passer cette porte !

Marwa : On s'est bien occupé de lui t'inquiète pas pour ça..

Je venais de comprendre le sous entendus et j'en avais des nausées, elles l'avaient baisés et il est avait laisse passé.

Moi : Bande de putes, Naïla tu jugeais Noor au final t'es pas mieux et Marwa je le savais que t'en était une ça me choque pas tellement.

Elle l'avait vraiment baisé juste pour qu'on soit coincé ? Mais y a des meufs faut les interner c'est plus possible.

Naïla : Écoute moi bien, si tu veux sortir d'ici avec ta princesse il va falloir nous écouter, si on te fait sortir d'ici tu nous offres une nuit chacune et tu quitte l'autre pute sinon tu reste ici avec elle pourir comme des rats

Moi : Mais MDR la blague de l'année, cassez un tour même avec un bâton je vous touche pas bande de crasseuses que vous êtes vous dégoûtez la vérité.

Pendant ce temps là j'envoyais des messages à la sécurité, j'avais réussi à avoir un peu de réseaux.

Marwa : Dommage, tu restera ici avec l'autre. C'est bête de mourir comme ça tu sais ?

Moi : J'en ai rien a foutre je préfère mourir que de toucher l'une de vous vous foutez la honte a la communauté c'est une dinguerie.

Elles ont continué à parler mais je l'ai écouté même plus, je me suis assis avec Noor dans mes bras après un petit bout de temps elles ont enfin cesser de parler.

Je parlais toujours avec le mec de la sécu et ils était en train de rassembler du monde pour nous venir en aide, pendant ce temps là j'étais en train de cogiter, elles avaient tout manigancé pour qu'on meurt dans cet ascenseur.

C'est tellement écœurant que j'allais pas prendre la peine de les insulter, même ça elle me méritait pas. 2 musulmanes en plus, quel honte à notre communauté de faire ça. De la pure jalousie, Noor ne leur a jamais rien fait pourtant.

J'ai baissé la tête vers son visage qui était si doux, elle est tellement apaisée quand elle dort. On dirait un nourrisson qui vient de naître et je me demande comment elle a pu vivre tout ce qu'elle a vécu.

Elle m'a énormément aidée sans qu'elle sache, j'ai toujours ressentis ce manque, la pièce manquante du puzzle, c'était elle.

Depuis que mon batard de père est partit, c'est elle qui m'a sauvé même si elle ne faisait rien de particulier. w'Allah je l'aime trop ça fait peur carrément

J'arrête de parler comme ça elle va prendre la confiance sinon, ça fait canard un peu la

Au bout de 30 minutes j'entends des voix et du bruit, je me lève alors toujours avec Noor qui était dans un bon sommeil profond et essaye de nous faire entendre.

Homme : On arrive vous inquiétez pas !

Il était temps frero.

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