Ce passé qui nous Lie (CyNari Fanfiction Modern AU)

D'un amour sans égal

Pendant le repas, le basané avait tenté de mieux comprendre le fennec en ce qui concernait cette période afin de pouvoir prendre soin de lui au maximum.
À la réaction de ce dernier, il pouvait affirmer qu'il n'était pas habitué à un tel traitement: Il le regardait à peine et avait les joues rouges alors qu'il lui expliquait que, sur le moment, il n'allait ressentir ni peur ni douleur, seulement un désir et un plaisir des plus ardents.
Ça allait donc être au basané de faire attention à ce qu'il faisait car, même s'il poussait l'hybride à bout, ce dernier allait encore en demander plus, toujours plus, jusqu'à l'évanouissement.
Une fois le repas terminé, le plus âgé décida de rapidement faire la vaisselle tant que son ami, s'il pouvait encore l'appeler ainsi, avait encore l'esprit assez clair et ainsi pouvoir se concentrer uniquement sur lui plus tard.
Alors occupé sur sa tâche, il sentit le botaniste poser son front sur son épaule.

"-Tu vas bien...? Demanda-t-il, inquiet pour lui, continuant ce qu'il faisait.
-J'ai l'impression que tu te forces pour moi... Répondit-il d'une petite voix."

Le policier cligna plusieurs fois des yeux avant de couper l'eau et de s'essuyer les mains, se tournant vers le fennec, posant ses mains sur ses épaules pour l'éloigner un peu de lui, ce dernier gardant la tête baissée.

"-On dirait que tu as oublié ce que je t'ai dit... Dit-il dans un petit sourire."

Il glissa ses doigts sous le mentons du plus jeune, lui faisant lever la tête pour plonger son regard dans le sien.

"-Je veux prendre soin de toi parce que je suis amoureux de toi... Je ne me sens obligé à rien. Dit-il, lui caressant délicatement la joue."

Le fennec le regarda dans les yeux, ses joues prenant une jolie teinte rouge que le basané adorait.
Par tous les dieux, il donnerait tout ce qu'il avait pour que le temps s'arrête afin de le laisser l'admirer autant qu'il le voulait.
Le plus jeune appuya un peu sa joue brûlante contre la paume du justicier, le regardant toujours dans les yeux, les oreilles légèrement baissées.

"-Embrasse-moi... Demanda-t-il dans un souffle presque suppliant."

Un léger sourire se dessina sur les lèvres du basané qui se rapprocha doucement de l'hybride, lui laissant tout le loisir de reculer s'il changeait d'avis.
Finalement, dans une délicatesse presque divine, il posa ses lèvres sur celles du botaniste, son coeur semblant louper un battement alors qu'une explosion de papillons inondait le bas de son ventre.
Ce n'était pas son premier baiser mais c'était la première fois qu'il ressentait des sensations aussi fortes, aussi dévastatrices.
C'était comme si son âme était enfin complète.
La douceur fit rapidement place à un certain empressement, le corps du fennec se rapprochant de celui du policier, leur échange devenant presque bestiale, montrant une faim insatiable pour le corps de l'autre, un désir ardent de sentir leurs peaux se rencontrer, se caresser.
Les mains du basané descendirent sur les hanches de celui qu'il aimait, le soulevant pour le faire s'asseoir sur le plan de travail alors qu'il se glissa entre ses jambes que ce dernier avait instinctivement écartées.
Alors qu'il lui caressait les hanches tout en continuant de l'embrasser, il se souvint de quelque chose et s'écarta légèrement des lèvres du plus jeune, gardant son front contre le sien.

"-Accroches-toi à moi... Je vais t'emmener au lit... Dit-il dans un doux murmure."

Le botaniste obéit et enroula ses bras autour du cou du basané et ses jambes autour de sa taille alors que le plus âgé glissa doucement ses mains sous les cuisses de son bien-aimé, juste en-dessous de ses jolies fesses rebondies qui ne demandaient qu'à être touchées et caressées.
Une fois certain qu'il était bien accroché et ne risquait pas de tomber, le justicier éloigna le fennec du plan de travail et se dirigea vers sa chambre, le tenant fermement contre lui.
Sur le chemin de la chambre, alors qu'il se demandait comment il allait parvenir à ouvrir la porte tout en portant l'hybride, il sentit les lèvres de ce dernier se déposer contre la peau de son cou, lui arrachant un petit frisson.
Certainement désireux de provoquer un effet plus important, le plus jeune se mit à lécher la peau du basané, sa langue retraçant lentement sa nuque jusqu'à arriver au lobe de son oreille qu'il mordilla.
Le justicier s'arrêta un cours instant, son corps parcouru d'un immense frisson alors que ses doigts se crispèrent sur les cuisses du plus jeune, ce qui lui arracha un petit gémissement.
Il n'avait clairement plus toute sa tête, le basané s'en rendait bien compte.
Déglutissant et réunissant toutes ses forces mentales pour résister encore un peu à l'appel du corps de son bien-aimé, il reprit sa marche et remarqua avec bonheur que la porte n'était pas fermée, il lui suffisait simplement de la pousser pour entrer.
Il la poussa donc avec son dos afin de ne pas risquer de faire mal au plus jeune et se dirigea vers son lit, s'y agenouillant pour y déposer l'hybride, l'écartant ainsi de lui.
Les iris écarlates du policier admirèrent le visage du fennec: Il avait les joues rouges, ses yeux brillants semblaient supplier le plus âgé de souiller son corps comme il ne l'avait jamais été, de le faire hurler de plaisir jusqu'à l'aube du lendemain, jusqu'à ce que leurs corps s'effondre sous cet amour et ce plaisir bien trop grand pour eux.
Le basané embrassa amoureusement les lèvres du plus jeune, le coeur battant sous un désir ardent qu'il n'avait jamais ressenti.
C'était comme si leurs corps s'appelaient, suppliaient celui de l'autre de ne faire qu'un, désireux de ressentir la chaleur de la peau de l'autre contre lui, de goûter son épidermes de toutes les façons qui lui était possible, de lui prouver qu'il lui appartenait maintenant et pour toujours, que ce souvenir soit marqué à jamais dans la chaire de l'autre.
Les doigts du basané se glissèrent lentement sous le t-shirt que portait le fennec, redessinant de leurs bouts les courbes parfaites de ce corps qui s'offrait à lui.
La peau de Tighnari était d'une douceur sans pareille, brûlante du désir ardent qui le consumait alors qu'elle frissonnait sous les délicates attention apportées par le justicier qui adorait découvrir lentement le corps de celui dont il était entrain de retomber amoureux.
Une part de Cyno désirait ardemment marquer cette épiderme parfaitement immaculée, presque angélique, et il comptait bien le faire de toutes les manières possibles au fur et à mesure que leurs corps allaient danser ensemble.
La soirée ne faisait que commencer et ils avaient toute la nuit devant eux.

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Bonjour/Bonsoir à toi, petit champignon ! 🍄

Pour commencer, je tiens à te souhaiter une merveilleuse et splendide année 2024 ! 🎊🥳
Je te souhaite que cette année soit remplie de douceur et de bonheur et que tu puisses mener tous tes splendides projets à bien, quels qu'ils soient !
J'espère que ton réveillon s'est bien passé !
En ce qui me concerne, je pense que j'ai passé le réveillon le plus splendide et fantastique de ma vie, j'ai encore un peu de mal à réaliser.. 😅
Pour contexte: J'ai beaucoup de mal avec les fêtes de fin d'année et c'est toujours très compliqué pour moi, j'essaie de faire la fête mais le coeur n'y est jamais vraiment...
Mais cette année, c'était différent, c'était un réveillon simple mais absolument splendide ! 🥰

Aussi, je suis absolument désolé de mon manque de poste, cette semaine, je n'ai absolument pas eu la notion du temps, je n'ai réalisé que nous étions vendredi que il y a une vingtaine de minutes... 😖

Enfin bref, sans surprise, je t'anonce que le prochain chapitre sera un lemon ! (ENFIIIN !) Depuis le temps que j'attends de le poster !

Cyno et Tighnari sont-ils en couple ?

Le temps avance, dans cette histoire... Ne manquerait-il pas quelque chose ?

Sur ce, je te souhaite une excellente journée/soirée et, encore une fois, une merveilleuse année 2024 ! 🎊🍄