CHAPITRE 1

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Avant de commencer le chapitre, je voulais préciser quelques informations importantes.

HELLO TOUT LE MONDE !
J'espère que vous allez bien ? Comme vous allez pouvoir le constater! Je viens de finir la correction de SOULMATES TOME 1 ! La réécriture été intensive et c'est pour ça que je me suis concentrer que sur celle-ci pendant un bon moment. Vous allez découvrir un nouveau Elliot bien plus agréable que dans le premier jet... J'ai fait quelques modifications à l'histoire pour qu'elle soit plus logique... En tout cas j'espère que cela vous plaira ! Et je vous laisse lire le nouveau jet...

Cette histoire contient de la violence et un vocabulaire vulgaire. Je suis responsable de ce que j'écris pas ce que vous lisez.

Merci de respecter mon travail donc pas de plagiat s'il vous plait. Bien qu'il y a des centaines et de centaines histoires comme celle-ci. Chacune a ses détails différents donc s'il vous plait ne prenez pas le travail des autres.

N'hésitez pas à voter et commenter c'est toujours agréable d'avoir vos retours :).

Sur ce, bonne lecture ;).

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ELLA

Chaque êtres humains rêve. Être adultes ou non ne change pas cette vérité. En revanche les rêves eux, changent au fil du temps. Les enfants rêves de licornes ou de super-héros. Ils projettent ce qu'ils désirent avoir ou d'être. Beaucoup de petites filles rêvent d'avoir une licorne. Mais ont-elles déjà rêvés de paix ? Ont-elles désirés avec foi d'être en sécurité ?

Pour la plupart de la population, le sommeil est ce qui a de meilleurs dans leurs quotidien. J'aimerais avoir autant de chance. Mais malheureusement ce n'est pas mon cas. D'aussi loin de que je m'en souvienne, mon sommeil a toujours été problématique. Petite, mes nuits étaient rythmés de cauchemars sans fin. Je ne rêvais pas. Et quand mon sommeil m'épargnais ses cauchemars, mes nuits restaient tout de même agitées. Encore aujourd'hui, je n'ai pas cette chance d'avoir un sommeil réparateur. Cela serait bien trop facile. Non. Chaque nuit, mon subconscient me rappelle sans cesse à quel point ma santé mentale a subi durant ses années. Je n'y peux rien.  Je ne peux pas changer le passé, n'y y retourner. Et même si j'avais cette capacité, je ne sais pas si j'aurais le courage de le faire.

Je cours à en perdre l'haleine. Je cours à m'en faire perdre connaissance. Ma respiration est saccadée, je manque d'air de toute évidence. Ma gorge me brûle à force d'hurler de l'aide sans aucune réponse. Ma voix aigüe se casse dans le silence de cet endroit morbide. J'ai peur. Terriblement peur. Je suis terrorisé à l'idée de passer ma nuit ici. Seule. Je ne comprends pas ce que j'ai fait pour qu'on me laisse dans cette forêt. Mes larmes coulent le long de mes joues. Elles cavalent elle aussi. Mes yeux me piquent affreusement. Il fait sombre. Je ne vois rien qui puisse me rassurée à tant soit peu. Au début, c'était la peur qui me contrôlait. Je restais figé, tétanisé par ma situation. Puis petit à petit, quelques chose s'est créé en moi. Un sentiment qui a surpassé ma peur de petite fille. L'instinct de survie. Il s'est immiscé dans mon esprit puis dans mon corps et m'a libéré à moitié de ces chaînes. C'est lui qui m'a donné la force de courir. Mais la peur n'a pas disparu. J'ai mal au ventre, mal aux yeux à force de pleurer. En réalité, j'ai mal partout, je ne sais pas si ma douleur physique est plus douloureuse que la douleurs psychologique que je ressens. Je ne fais plus la différence. Je n'arrive même plus à réfléchir correctement. Pourtant j'arrive encore à courir. Je ne sais pas par quelle force. Puis soudain c'est le noir complet qui m'engloutis. Très vite, je me retrouve par terre, sous ses coups. Je ne saurais dire si je suis totalement consciente mais en tout cas, j'entends. J'entends sa voix rocailleuse, sèche. J'entends ses mots qui me poignarde le cur de petite fille. Avec eux, je ne connaissais pas le mot répit. Et quand mon corps commençait sa danse effrénée entre le sol et les murs je savais que j'allais morfler. Il crache sa haine, sa colère qui ressent pour moi. Il me fait comprendre que je suis l'erreur de sa vie. Son regret le plus désastreux. J'entends. J'entends sa voix qui devrais normalement me rassurer et me raconter des histoires avant de m'endormir. J'aimerais hurler de l'aide quand leurs mains rentre en contact avec ma peau. Mais c'est peine perdue. J'entends les autres mais les autres ne m'entendent pas. J'entends mais je vois aussi.

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