Je m'excuse d'avance si vous voyez des fautes.
Valentino Pagano
Je sursaute dans mon lit, qui n'a toujours pas de cadran avant d'essayer de recoller quelques morceaux pour savoir où je suis et qu'est ce qu'il se passe. Je me rends compte assez vite de la musique et soupire bruyamment. Je n'aurais jamais de nuit complète, du moins pas avant ma mort. C'est la vie qu'on a décidé que je mène.
Je pense savoir qui c'est, il n'y a qu'une seule personne tout aussi tarée pour faire ce genre de chose et encore plus en pleine nuit.
C'est pas comme ci elle ne m'avais pas prévenu à vrai dire. Elle va faire de ma vie un enfer, a t'elle dit hier matin à cause des petits coups d'électricité. Je souris bêtement car je vois encore son visage et surtout son regard qu'elle m'ait lancée. Et que j'ai extrêmement bien aimé.
Je ne prends même pas la peine de m'habiller et descends immédiatement pour ouvrir la porte de mon bureau. Je m'arrête net en la voyant assise par terre, avec pour seul vêtement son t-shirt un peu trop grand pour elle. Même un S est trop large pour cette petite fille qui me casse royalement les couilles en ce moment. Pourtant, je ne peux m'empêcher de baisser mes yeux sur elle avant de soupirer, pour rester le plus calme possible.
- Mademoiselle Ferraro. Pourquoi cela ne m'étonnes pas. Dans mon bureau ! Immédiatement !
Elle se lève sans mal, venant vers moi. Je lui laisse le passage pour la faire entrer, fermant derrière moi, laissant les curieux entre eux.
- Monsieur Pagano, pas trop dure de se réveiller avec de la musique ? Je vous est mis une musique douce. J'ai été sympa.
- Je trouve que vous vous foutez un peu trop de ma gueule c'est temps ci mademoiselle Ferraro.
- C'est possible mais la faute à qui. J'ai eu mal toute la journée au poignet à cause de vous.
- Au moins tu as pensé à moi toute la journée.Je m'attends à ce qu'elle me fusil du regard, ce qu'elle fait. Bizarrement, ça me réjouis plus qu'il n'en faut. Je suis un mélange de colère et de joie de la voir. Je savais qu'elle se vengerais mais je ne savais pas quand.
- C'est fatiguant de ne pas pouvoir dormir hein ?
- Comment sais-tu que je ne peux pas dormir ?
- Oh, il y a des choses qui ne trompe pas monsieur Pagano.Je ne peux que la regarder. J'aimerais bien lire dans sa tête, savoir à quoi elle pense. Mais elle arrive à bloquer chacune de mes tentatives, réussissant à être plus forte que moi.
Mes yeux ne peuvent pas rester e place, voyageant entre son cou, qui est dégagée à ses jambes fines ou je t-shirt s'arrête à la limite de ses fesses. Ce qui me laisse toute l'imagination possible. Je remonte vers son visage, en lui souriant légérement narçoisement.
- Et comme quoi mademoiselle Ferraro ? Dite moi, je vous écoute.
Je m'approche doucement vers elle, toujours avec le même foutu sourire aux lèvres. Il ne faut pas trop longtemps me chercher, surtout lorsque j'ai des intentions mauvaises à 2 heures du matin. Elle recule en me voyant arrivé petit à petit jusqu'à finir bloqué par mon bureau. Elle essaye de se décalée, n'y arrivant pas réellement.
Je suis fatigué et je dormais assez bien et mademoiselle a décidé de me réveiller. Je vais lui apprendre que réveiller Valentino Pagano, ça a des conséquences. Et que ça ne reste pas impunie.
Je continue de marcher vers elle, jusqu'à finir de la bloquée complètement cotre le bureau. Elle avale difficilement, beat petit à petit redresser sa tête jusqu'à la mienne.
- J'attends une réponse mademoiselle Ferraro ?
Je vois qu'elle est toute aussi troublée que moi. Son regard et surtout ses yeux ne se défendent plus. Ils me laissent lire entre eux, tout comme moi qui la laisse lire dans les miens. A une chose près. Les miens sont extrêmement compliqué à déchiffrés.
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L'internat
RomanceJe suis le directeur d'une école, celle de la dernière chance pour les parents démunis. Cette école à pour réputation de transformer ces petits monstres en de parfaits humains. Je n'ai jamais, ni moi, ni mes prédécesseurs échouer à ce devoir. Chaque...