Chapitre 3

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Désolé ! J'étais malade donc impossible d'écrire... Mais ça va beaucoup mieux donc je vais essayer de poster plus souvent. Bonne lecture ! Et un conseil, retenez les éléments de ce chapitre 😏


Valentino Pagano

Elle me regarde avec ses deux yeux bleu perçants. Elle n'a pas besoin de parler que je sais qu'elle me menace déjà le premier jour. D'habitude, les élèves ont peur de moi mais elle. Je ne sais pas pourquoi, elle n'ait pas effrayé par moi.

Et j'aime ça. Bizarrement.

Je rigole presque amusé par la situation mais je dois rester professionnel étant son directeur. Je regarde ses parents en leurs souriant.

- Je vous promets que votre fille changera son comportement. Aucun élève n'a réussi à me résister et ça ne sera pas votre fille la première.

- Je suis si heureuse d'entendre ça, faite tout ce qui vous semble bon, on vous fait entièrement confiance.

- Et... On ne préfère pas que notre fille rentre, du moins pour les premières vacances.

- Aucun problème, les internes peuvent rester ici durant toutes les vacances, même ceux de juillet et aout.

Je la vois du coin de l'œil rigoler, regardant ses parents puis le couloir derrière moi ou moi, je ne sais pas.

- Tu as quelque chose à rajouter Valentina ?

- Ils ont enfin trouvé quelqu'un pour pouvoir m'abandonner légalement.

- Ma chérie... Ce n'ai pas ce que tu penses...

Je ne dis rien, mes pupilles vont de sa mère et elle-même qui ne dit plus rien même si ça mère essaye de lui expliquer. Je peux voir qu'il y a un premier problème, qui se nomes parents. Et d'après ses yeux, qui sont devenus d'un sombre coléreux, ce n'ai pas un petit problème qu'elle a au fond d'elle.

Je peux essayer de lui prouver que l'amour existent, que l'attention aussi et qu'elle en a le droit mais régler des problèmes familiaux n'a jamais été mon fort. Pour les enfants ou les adolescents. Même si c'est plus simple lorsqu'ils sont gamins.

Je n'arrive même pas à régler les miens avec mes propres parents.

- C'est bon, je suis entre les grilles de la prison, vous pouvez partir. C'est bon au revoir.

Pour couper court à cette situation qui rends Valentina assez mal à l'aise, j'attrape une de mes employées pour changer l'ambiance macabre qui règne autour de nous.

- Élodie. Peux tu emmener mademoiselle en classe 5 ? Elle a cours là-bas, passez avant chercher ses affaires scolaires. Elle ne l'ai est pas encore.

- Très bien monsieur Pagano.

- Merci bien Élodie

Élodie est une jeune femme, très grande, de mon mètre 90. Blonde mais je parierais qu'elle est brune de base vu ses sourcils dont elle prend soin tout comme son visage. Je l'ai réprimandé plus d'une fois avec son rouge à lèvres rouge vif.

On est dans une école, et non dans une maison close mais si pour elle, c'est à peu près la même chose pour elle vu tous les on-dit et je ne peux confirmer.

Élodie et moi, nous nous connaissons très bien, un peu trop même. On passe beaucoup de temps hors du professionnel mais ça s'arrête à son lit ou tout autre endroit où je puisse m'amuser mais ça s'arrête là.

Du moins, moi je veux que ça s'arrête à la baise.

Mais elle, c'est une autre histoire. Je sais qu'elle veut plus, elle me l'a déjà dit d'ailleurs. Mais je ne réponds jamais, finissant de me rhabiller pour partir de la pièce. Elle ne me connait pas, elle n'ait pas faite pour entrer dans mon monde de criminels, de tortures et de morts. Et ce n'ai pas la douleur que je lui inflige. J'ai tué plus d'hommes que mon âge. Voir le double si mes souvenirs sont bons. Cette femme serait morte à la première incartade ou elle parlerait immédiatement à nos rivaux en espérant ne pas mourir. Notre relation restera ainsi, qu'elle le veuille ou non. Elle n'a pas le choix.

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