Chapitre 16

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Avant tout désolé ! Je ne suis pas trop dans l'écriture a l'heure actuelle car j'ai tout simplement un concours de la fonction publique qui arrive à grand pas donc je passe mes journées (quand je ne travaille pas), à faire des fiches, réviser, faire des flashcards et faire des annales. Je vais essayer de poster un peu plus souvent, m'obligeant à prendre 30/45 minutes de ma journée pour écrire en espérant pouvoir le faire ! Sinon bonne lecture !

Valentina Ferraro

Je le vois s'éloigner de moi immédiatement lorsque la porte s'ouvre. Un garçon, qui ressemble étrangement à Valentino apparaît sur le pas de la porte et nous regarde. Il est blond, les yeux un peu plus clairs que lui mais ils ont, tous deux, le même regard qui me terrifie a ce moment. Ils se regardent durant quelques secondes avant que le directeur plonge ses yeux dans les miens et me fais un geste me disant de sortir. Même si l'envie est la pour répliquer quelque chose, je ne le fais pas et obéis comme une bonne petite fille, sachant pertinemment qu'il ne veux rien entendre, ni savoir. Vaux mieux alors dans ce cas obéir et partir loin d'ici.

Je retourne dans ma chambre, même si ce n'est pas l'heure du couvre feu mais je reste jusqu'à la fin de la journée, n'allant même pas manger.

Je reste couchée sur mon lit, repensant à ce qu'il s'est passé il y a quelques minutes. Je ne suis pas sur que cela était vraiment réelle ou si c'était moi qui rêvée tout simplement. A vrai dire, je ne sais pas ce qu'il s'est passé.

J'ai ressentie différentes sensations, plusieurs sentiments et tout s'est mélangés créant une incompréhension totale.

Son regard rivés dans mes yeux m'ont donné des frissons dans tous mon corps. C'est la première fois que j'ai pu regarder en profondeur ses yeux bruns, avec une touche de rouge, de noir et de jaune avec le contour de son iris beaucoup plus foncé, qui fonce lorsqu'il me regarde intensément. Ce qui est, je l'avoue, déstabilisant mais beau.

Cet homme est gravé dans du marbre brut, les dieux lui ont tout donné, que ce soit sa peau douce que j'ai pu touché, ses pectoraux qu'on vois à travers sa chemise ou bien sa taille parfaite, près à protéger ceux qu'il aime.

Je soupire en me couchant sur mon lit. Je rêve un peu trop. Cet homme n'est rien, il n'est pas fait pour moi. Il est un putain de mafieux et un mafieux n'est pas un gentil, c'est un méchant. Un putain de criminel qui tue des gens qui n'ont pas mérité de mourir. Personne ne mérite de mourir.

Enfin je crois.

Ma conscience rigole envers mes pensées car elle est en contraire avec elle. Les deux ne sont pas d'accord et finalement je l'ai laisse se disputé retournent sur mes souvenirs avec lui, Valentino Pagano alias monsieur le directeur.

Je ne peux pas dire que je n'ai jamais embrasser un homme, mais c'est assez rare car je suis toujours rester en retrait, me protégeant des hommes et de leurs pensés. Je connais assez bien les hommes pour savoir qu'il ne faut pas jouer avec le feu.

Pourtant avec monsieur Valentino Pagano, j'ai aimée jouer avec le feu et je veux recommencer pourtant c'est un homme dangereux, cruel et c'est quelqu'un qui ne veux pas de non, pas de négation envers ses décisions. C'est lui qui décide, qui a d'ailleurs toujours décidé depuis son plus jeune âge.

« Normal » reviens ma conscience, il savais dès petit qu'il sera le roi de l'Italie, le don de la Mafia italienne. Il est né pour ça, pour régner sur ce pays de criminel. Rien de plus.

Je m'endors dans cette perplexe situation, où avoir des sentiments pour cet homme est impossible. De toute manière, ce baiser ne veux rien dire. Il dois le faire à toutes les pensionnaires de son internat. C'est un moyen de supériorité, C'est tout.

L'internatOù les histoires vivent. Découvrez maintenant