L'internat

Chapitre 24

Les derniers chapitres arrivent petit à petit, et j'ai hâte de vous dire la nouvelle qui se prépare petit à petit à côté de Wattpad. Il y a 2 nouvelles en plus que je continue avec un tome 2 qui sortira mi aout. Bonne lecture ! 

Point de vue de Valentino Pagano

Je ne sais pas ce que je pense, c'est même assez compliqué de réfléchir en voyant cette lionne, prête à me sauter dessus et à me déchiqueter.

D'habitude, je calme immédiatement les personnes de son genre, n'aimant pas ce genre de comportement. Mais avec elle, c'est différent, ça en devient même amusant même lorsqu'elle m'a traité de connard, car dans tous les cas, j'en suis un. Je suis un beau connard. Et je l'assume.

Et j'ai qu'une envie.

J'ai envie de jouer avec cette petite créature qui me rends dingue. Complément fou d'elle.

Elle pars s'asseoir à sa place, comme à son habitude lorsqu'elle est puni dans mon bureau. Je ne peux pas la quitter des yeux mais la douleur me remets les pieds sur terre. Je viens de rentrer, il y a même pas 2 heures, que je suis déjà là a devoir la disputer alors que j'ai qu'une envie, et ce n'ai clairement pas de l'engueuler.

Je défais ma veste de costume tout en m'asseyant à ma place. Je ne dit toujours rien mais je l'examine de haut en bas, tout en passant sur ses yeux bleus, son nez, ses lèvres dont je suis accro depuis le jour ou je l'ai embrassé avant de descendre. Je soupire légèrement en voyant la tache de la soupe sur sa chemise, me rappelant qu'elle n'a rien manger ce soir. Et ça peux réussir à m'exaspérer, voir me mettre en colère.

- Dit-moi ce que tu as sur ton petit coeur poupée pour me traiter de beau connard ?

- Beau ?

Elle se mets à rigoler en regardant le ciel.

- Ose me dire que je suis moche. Dois-je te rappeler la nuit qu'on a passer ensemble ?

Elle me fait d'un coup, ses petits gros yeux en devenant, pour la première fois, toute rouge, ce qui me fait sourire.

- Tu es con tout de même...

- Dit-moi pourquoi ? J'écoute. Qu'est j'ai bien pu faire pour que tu me déteste autant .

Valentina se referme sur elle-même, croissant les bras devant elle, comme pour se protéger. C'est un de ces gros problèmes, pourtant, je suis sûr qu'elle me fais confiance et penser le contraire me fait du mal.

- C'est bon ? Je peux y aller ? Je suis fatiguée.

- Non, tu restes ici jusqu'a ce que je décide que tu puisses bouger. Et ça va durer aussi longtemps que tu ne me répondras pas.

Valentina lève un de ses sourcils, ne me croyant pas, voulant me défier mais elle se rétracte au dernier moment, à ma plus grande déception. Je l'entends soupirer, jouant avec son tee-shirt. Je la vois frissonner, ce qui fait que je me lève pour lui donner ma veste, qu'elle refuse la première fois.

- Ce n'est pas une proposition, tu l'a prends et tu te couvres avec, répond-je plus sèchement que ce que je voulais mais la petite créature, ne ce défile pas.

- J'en est pas besoin. Tu peux la garder.

- Si tu ne prends pas cette veste, je te jure que je te l'a mets moi-même, est ce que ça semble assez clair pour toi poupée ?

- Essaie un peu pour voir mais je ne te promets rien par contre.

Son petite air, celui que j'aime tant, reviens à la charge. Elle me souris narquoisement, venant me chercher avec son regard en le plantant dans le mien.