Chapitre 15

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Valentino Pagano

Je m'avance vers cette petite rebelle qui a fais des siennes tout le week-end, poussant la gouvernante à m'appeler alors que c'était formellement interdit. Mains dans mes poches, je m'avance vers elle avec pour seul désir, la punir.

Valentina Ferraro m'a fait déplacé. Aucun élèves n'a jamais fais ça, de peur des représailles. Mais elle, elle n'a apparement pas peur de moi. Et je vais lui montrer qu'elle a tord.

Je la vois me sourire, toute fière d'elle. Sa tête est légèrement pencher vers l'arrière, dévoilant légèrement son cou malgré ses cheveux qui cache certaines zones. Je remarque d'ailleurs qu'elle est en tenu de sport, tee-shirt trop grand pour elle mais dévoilant ses longues jambes vu qu'elle n'a qu'un short de cyclisme noir.

Je passe devant elle, ouvrant mon bureau et sans la regarder lui dire de rentrer.

- Dans mon bureau mademoiselle Ferraro !

Je pose le tout sur mon bureau, clés de voiture, téléphone et papiers. Je me retourne mais personne n'est dans mon bureau alors que j'ai bien précisé avec un language compréhensif qu'elle dois entrer dans mon bureau. Enfin à moi qu'elle a changer de langue durant la journée.

Je décide de revenir sur mes pas, venant devant elle et m'accroupir. Mon regard deviens de plus en plus sombre d'impatience et en cette fin de soirée, ma patience à déjà était dépassé avec une petite fille au nom de Sophia Pagano. Donc elle va comprendre de ne pas me chercher si elle ne veux pas finir au cachot. Et j'en est plus qu'envie en cet instant.

- J'ai dit quelque chose je crois non ?

- Aucune idée, à vrai dire, j'ai pas réellement écoutée. Monsieur. Pagano.

Nous croisons nos regards une courte seconde. Elle est entrain de me mettre au défie, tout en me cherchant. Elle me teste, tout comme le fessais mon ex fiancée. Et j'aimais ça comme j'aime en ce moment.

- Dans. Mon. Bureau. Immédiatement.

Je me lève tout comme elle. Je la laisse entrer, fermant la porte par la suite. Maintenant c'est entre elle et moi. Et personne d'autre ne peux nous déranger.

- Assis ici. Et... Si tu bronches une seule fois, je t'emmene là ou personne ne veux être, est ce que je me suis bien fais comprendre mademoiselle Ferraro ?!

- C'est à dire au cachot monsieur Pagano ? Oui, les pensionnaires m'ont déjà prévenue de ce genre de... Punition. Vous êtes... Un peu... Cruel non ?

Je me rapproche d'elle, fulminant à l'intérieur de moi mais lorsque je l'a regarde me sourire narcoisement, je me calme instantanément alors qu'il n'y a même pas une seconde, je voulais lui montrer qui était Valentino Pagano. Maintenant. Je veux simplement jouer avec elle, comme elle, elle le fais si bien avec moi.

Je ne peux pas me permettre de perdre et cédé à ses petites manières et sa bouche insolente que j'ai grandement envie de punir. A ma façon. À la façon de Valentino Pagano.

Elle m'a fait revenir de mon week-end familiale, du moment où j'étais avec le petit trésor de notre famille, qui fais d'ailleurs ses dents donc endormir une enfant de 2 ans qui n'arrête pas de pleurer est assez fastidieux pour ma famille sauf pour moi. Je ne sais pas comment ni pourquoi mais avec moi, elle s'endors en quelques minutes.

- Je suis cruel, barbare, tortionnaire si l'envie t'en chante mais crois moi, je m'en moque, j'en prends même du plaisir à vous voir me supplier ma jolie. Donc ne me cherche pas, pas en cette fin d'après midi. Maintenant obéis et assis toi dans un calme Olympia, sans que je t'entende.

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