Bad Boy/Queen

Chapitre 30

PDV TYLER 

Hier j'etais chez l'inspecteur. Arrivé, il m'appela a son bureau et m'invita a m'assoir. 

- Monsieur Tyler, je vous prie. 

- Alors les nouvelles ? 

- On a pu acceder au caméra du soir de l'accident. Et comme vous le voyez, l'accident n'est pas vraiment accident. Dit il en me montrant la vidéo. 

- Effectivement, je vois. On dirait que le camion allait droit vers leur voiture. 

- Et aussi, si on on zoom, on voit aussi que votre pere avait essayé d'arreter la voiture. 

J'approchai mon visage de l'ecran et effectivement, il avait raison. 

- Monsieur Tyler, vos parents avaient ils des ennemies ? 

- Pas a ce que je sache. Mes parents etaient des gens de biens. Ils ne faisaient rien de particulier pour avoir des ennemeis. Au contraire, je peux dire qu'ils avaient beaucoup d'amis. Hésitai je. 

- Vous savez, pas tous les gens sont des mais. Et comme on dit, ne vous fiez jamais aux apparences. C'est peut etre le meilleur ami de vos parents qui est leur premier ennemi. 

Je restai perplexe devant ses paroles. La sonnerie de mon téléphone me sortit de mes pensées. Lea m'appela. Je decidai de ne rien dire pour l'instant. Rien n'est clair, je préfére ne rien dire. Je me levai et l'inspecteur me dit :

- Vous voyez, en lisant les anciennes pages, on voit qu'entre les lignes l'ecriture est sombre. 

- Oui je vois mais je ne maosserai pas la mort de mes parents sans vengeance. Cet accident ne m'est pas familier. Je prendrai vengeance. 

- La loi est a votre coté, monsieur. 

Je le saluai et sortit. Mes idées etaient plus mélangés que jamais. Mais qui peut bien etre cet ennemi ? Pourquoi voulait il tuer mes parents ? Emporté par mes idées plus sombre les unes que les autr,es je ne remarquai meme pas que ça faisait un bon moment que je suis devant la société. Je descendis et entrai. 

- Bonjour Mr Cullen. Dit ma secretaire. Vous avez des papiers a signer. 

J'hochai la tete et entrai a mon bureau. Je m'assis et commencai le travail. La secrétaire, Véronica, entra. 

- Mr Cullen, voici la liste des gens souhaitants rejoindre le service de votre société. Dit elle en posant les papiers sur mon bureau. Je jetai un coup d'eoil et vis qu'il y avait pas mal de personne. 

- Je vais jeter un coup d'oeil. Dis je. 

Elle sortit et je plongeai ma tete dans ces dossiers. Je n'arrivai pas vraiment a me concentrer. La porte s'ouvrit et Véronica entra encore une fois. 

- Excusez moi monsieur, mais Mlle Granger est la. Ce n'est pas le jour de son entretion pourtant....

Je vis derriere la porte une jeune fille chevelure brune et yeux baissés au sol. Elle avait l'air timide. 

- Laissez la entrer. 

Elle hocha la tete et introduit la jeune fille a mon bureau. Elle regardait autour d'elle et chuchotta Wow. 

- Assez vous, je vous en prie. Dis je. 

Elle trébucha et s'assit. 

- Hum hum. Excusez moi monsieur ce n'est pas le jour de mon entretien et je sais que ce n'est pas avec vous que je dois le faire mais... 

- Votre dossier. 

- Oui...je... elle chercha maladroitement dans son sac et prit son dossier. Elle me le passe et je jetai un coup d'oeil.

- Mlle Granger votre parcours est pas mal. 

- Merci monsieur. Dit elle avec un grand sourir. J'aurai le poste ? Demanda t elle avec impatience. 

- Il faut que je lise bien votre parcours avant. 

- Biensur...j'ai cru que j'aurai ce poste ! Quelle blague ! J'etais sur que je ne l'aurai pas. Je m'excuse monsieur pour cette perte de temps. 

- Pourquoi dites vous cela ? 

- Regardez moi. Je suis banale. Je n'ai pas le style de ce genre de société. Une fille comme moi ne peut pas travailler dans cet empire. 

Je fis le tour de mon bureau et m'assis sur le siege a coté d'elle. 

- Parlez moi de vous. De votre parcours. 

- Je suis étudiante en derniere année a l'université Oxford. J'aurai mon diplome dans quelques mois. 

- Qu'elle est votre spécialité ? 

- Je suis en branche science mathématique. 

- Pourquoi avez vous choisi ma société, demoiselle Granger ? 

- C'est la premiere a l'echelle internationale. Je ne peux pas trouver mieux. Mais ma place n'est pas la comme je vous l'ai dit. 

- Vous etes etudiante d'Oxford et vous parlez ainsi. 

- Mais regardez moi nje n'ai pas l'apparence de cet empire ! Je suis grosse et dégueulasse, excusez moi pour ce terme. 

Pourquoi disait elle ceci ? Elle était hontée par cette idée totalemét eronée. Au contraire elle etait mince tres mince. Sa mine etait bien. Elle etait belle. Mais je crois, que c'est ces populaires de l'ecole qui lui font croire le total contraire. Je lui fis un sourir et repris :

- Demoiselle Granger, nos recrutements ne se base point sur les apparences. Je vois que vous etes parfaitement digne du poste que vous demandez. 

- Vrai...vraiment ? Bégaya t elle d'une voix coupée par la joie. 

- Oui. 

- Je...monsieur...merci beaucoup. Je ...

- Monsieur Cullen, votre réunion est dans deux minutes. Intervint Véronica. 

J'hochai la tete et elle sortit. La jeune fille se leva et dit :

- Je ne veux pas vous retarder. Bonne journée monsieur. Et merci encore une fois. 

Je pris la main qu'elle me tendit et dit :

- Bonne journée miss Granger. 

Elle trébucha encore et ferma la porte. Je pouvais imaginer qu'elle soupirait et rougissait a fond derriere cette porte. Je souris et pris mes document pour la prochaine réunion. A 18h, je pris mes clés et sortis. 

- Bonsoir Mr Cullen. Dit l'autre secretaire. 

J'appelai l'ascenseur et descendis au garage. Je pris ma voiture et allai a la maison. Je savais que mes frers allaient poser mille et une questions. Arrivé, je descendis et entrai. Célie n'etait pas encore la, tant mieux. 

Bella etait dans le jardin. Elle le fit signe de la rejoindre. Et merde, elle va poser encre des questions. 

- Tyler, c'est quoi cette tete ? 

- Rien je suis fatigué. 

- Tu sais tres mal mentir. Raconte moi Tyler. Ça reste entre nous. Je sais que tu es parti chez l'inspecteur. Tu n'as pas l'habitude de mentir. 

- Rien n'est clair pour le moment. Il m'avait montrer des vidéos de l'accident. Tu sais, il y avait un camion qui allait droit vers eux et quand paap viulait freiner, les freins n'ont pas tenus. 

- Tu crois quelqu'un est derriere ça ? 

- Je ne sais plus rien. Ça peut etre juste par hasard je sais pas ...

- Quand rien n'est sur, tout est possible.