Chapitre 50 :

56 2 104
                                    

 (Oui c moi qui ai dessiné la couverture oui, pour une fois que j'avais pas la flemme...) 


PDV T/p :

-Alors ? demanda Koko. Tu t'en sors, pour ta chambre, ou t'as besoin d'aide ?

Je secoue la tête.

-Nan, mercé. Je m'en sors bien, pas besoin d'aide.

-Si t'en as b'soin, hésite pas. On est là pour s'entre-aider.

Il détourne le regard vers son PC, et quelques secondes après, me demande :

-Et Inupi ? Ça va, il est pas trop ... ?

Je hausse les épaules.

-M'en tape un peu. Si il est discret, moi ça me va parfaitement.

Il lâche un petit rictus.

-Nice. Mais fait gaffe, plus aigri que lui, tu meurs. Lui parle pas, c'est le meilleur conseil que je puisse te donner.

Je hausse un sourcil.

-Merci pour tes précieux conseils, Koko.

-De rien. À propos de ça, aussi... Inupi il-

-Eh, vous pouvez arrêter de jacter mon nom à tous les coins de rue ? Z'êtes chiants. J'vous entends depuis t't à l'heure, vous pouvez pas la fermer un peu ?

Je tourne la tête vers les escaliers, et remarque le blond.

Quand mon regard croise le sien, un frisson me parcourt.

Mon Dieu, qu'est-ce qu'il est beau, quand même...

Nan ! Je peux pas me dire des trucs comme ça, c'est dégueu ! Je suis en couple avec Hanma. Le prime de la beauté, pour moi, c'est mon Hanmachouille, évidemment...

– UI, @ClaraCharly, TU M'AS INFLUENCÉE –

-Inupi, Inupi, niéniénié, vous pouvez pas la fermer trois s'condes ?

Je déglutis.

Il est beau, mais il fait peur. Ah, ça, oui.

Il descend toutes les marches lentement et prend une pomme dans la corbeille.

Il mord dedans, en me regardant droit dans les yeux.

J'ai la chair de poule, va savoir pourquoi...

-C'est comment, toi, déjà ?

-Euh... Kawata. J'm'appelle T/p Kawata.

-Aah, conclut-il en regardant le creux du fruit causé par ses dents. Tokyo Manji, ça.

-Euh... Non...

-LOL. Tu crois sincèrement qu'on vérifie pas si nos recrues sont fiables ?

-T'es bouché, toi ! Je suis jamais entrée au Toman et j'y entrerai jamais.

-Mais tes frères y sont. C'est un argument valable, déjà.

Je soupire.

-J'ai plus rien à voir avec mes frères. Si j'ai aménagé ici... C'est pas vraiment par choix.

-M'en tape, de ta vie. Ce que je vois, c'est que t'es une sale espionne.

Je le regarde dans les yeux.

-Port' nawak. À quoi je servirais, en tant qu'espionne ? Je suis là juste pour le kiff.

Il hausse un sourcil.

Liés pour toujours... Malheureusement ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant