Chapitre 10

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"-Maintien !

Je puise toute l'énergie en moi, essayent de garder le tourbillon d'air que je viens de créer. Un éclair traverse le ciel quand je crie essayent de maintenir mon sortilège. Je relâche tombent au sol.

-Tes frustrations se transforment souvent en éclair...
-Je ne fais pourtant rien pour.
-Hum... Entends-tu encore les chuchotements ?
-C'est plus nette maintenant. Je pense que c'est Sarah qui essaie de rentrer en communication.
-Est-ce qu'il y a un déclencheur ?
-Souvent quand je suis énervé.
-Hum. Si tu es d'accord et que Gabriel te laisse la vie sauve après sa quête. J'aimerais essayer de t'en libérer.
-M'en libérer ?
-J'ai passé des nuits à m'instruire. J'en suis venu à la conclusion qu'on doit la forcer à sortir de ton corps pour la projeter dans un autre pour la tuer.
-Comment comptez-vous faire ça ?
-C'est à toi de l'obliger à sortir de ta tête. Tu dois te servir de toute ta puissance.
-Ca me paraît surréaliste. J'ai l'impression de n'avoir pas progressé alors que ça fait des semaines que vous me formez.
-Au contraire, je trouve que tu apprends vite. Le principal c'est de maîtriser ces capacités pour mieux s'en servir.
-Si je me rate ce soir , nous allons sûrement y laisser nos vies ce soir avec Gabriel.
-Non, personne ne s'attend à voir le Roi des loups à cette petite sauterie. Personne ne sera armé contre lui. Ils n'oseront rien faire. Allons reprenons mon enfant."

Je prends une grande respiration et d'un mouvement fluide de mes mains créer un tourbillon qui prend de l'ampleur.

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"-Tu as l'impression de retrouver ton rang ? Me demande la blonde en ce laissent tomber sur le lit.
-Cette robe est encore plus splendide que celles que je possède.

Elle rigole avant de sentir plusieurs fois les draps avant de ce relever bouché bé.

-Tu partage le lit avec le roi ? Son odeur est plus forte que la tienne mais on l'a sent. Elles sont mélangées.

Je fronce des sourcils devant son air étonné.

-Sent sa chaleur, je serai morte de froid.
-Tu aurais pu nous demander nos peaux de loups. Je pensais que celle que tu possède te garder assez au chaud. Je ne savais pas que les humains supporter si mal le froid. Mais dormir avec le maître...
-Qui as t'il de si surprennent ?
-Même si nous sommes très à l'aise avec nos corps, il y a des choses qui nous tiennent à coeur. On ne partage pas son lit avec n'importe qui. Seulement avec son partenaire pour la vie.
-C'est seulement une question de survie. Il a besoin de moi vivante pour ces plans.

Elle me regarde limite soucieuse alors que j'attache la longue tresse autour de mon crâne pour créer une couronne.

-Que partagez- vous d'autres ?
-Comment ça ?
-Avez-vous des moments intimes ?
-Dieu, non !

Mes joues rougissent.

-Est ce qu'il te touche ou personne ne t'a touché ?

Mes yeux souvent en gros.

-Judith s'il te plaît, je ne suis pas à l'aise avec ce genre de sujet...

Ses yeux se plissent. Et je ne peux pense qu'aux mains baladeuses de son roi la nuit. Il ne s'en rends pas compte et les enlève quand il ce réveil. Je me réveil toujours avant lui mais il ne le sait pas. Ça serait trop embrassent.

-En plus tu es déjà une principale ç...
-Stop ! Ne te méprend pas. Il ne ce passe rien. Je n'ai aucunes attirance pour lui et il ne ressens rien pour moi. Il a même dit que je rendrais un cochon malade.

Elle éclate de rire.

-Il n'y a rien de drôle à celà.
-J'aurais aussi étais vexé. Admet elle
Notre roi est plutôt crû dans ces paroles.
-Son honnêteté est tout aussi déroutante.

Elle me sourit puis me rejoins. La blonde me regarde un instant m'embellir à l'aide de maquillage.

-Si, je ne te revois pas demain. Sache que tu es mon amie Iris. Me confit elle une main sur mon épaule.

J'arrête tout mouvement, baissent les yeux.

-Toi aussi, Judith. Je déclare posent ma main sur la sienne.

Elle n'est pas bête, si père est là, forcement que je vais essayer de m'enfuir pour rejoindre les miens. Elle ferait de même. Ses yeux se lève entendent un bruit que je ne peux pas entendre. Elle me chuchote de faire attention à moi avant de me prendre dans ces bras et de quitter la chambre. Mon coeur ce serre. Qui aurais cru qu'une amitié ce serait créer dans ces conditions ? Ma première amie est sûrement la seule. Une louve en plus de ça. Des frissons couvrent ma peau. Mon père me cachera une nouvelle fois dans le château, à l'abri du monde. Du moins j'espère qu'il empêcherait ma mort sur un bûcher vu que tout le royaume est au courant de mes capacités. Que la race n'a pas été décimée.

Je sursaute quand la porte s'ouvre sur Roi Gabriel. Nos regards ce croises mais ne s'accroche pas. Le brun fouille dans la vielle armoire pour en sortir son costume et l'enfile.

Il est magnifique.

"-As quoi penses tu princesse Iris ? Demande t'il en ferment ces boutons de manchette. Tu l'as l'air bien prise dans tes songes.
-N'as tu pas peur pour ce soir ?
-Qui oserai s'en prendre à l'Alpha et à la sorcière ? Ça serait suicidaire.

Je soupire et pose mon pinceau.

-De quoi as tu peur ?
-Et si je n'arrive pas à jeter un sort ? Si je perd le contrôle ? Je déclare me tournent vers lui.

Il fait de même. Je sent mon ventre s'enflammer. Il est magnifique dans son costume trois pièces. Ces yeux font le va et vient sur ma tenue, juste une seule seconde, comme ci elle était quelconque.

Sa main ce lève, imitent l'étranglement. Mon souffle ce coupe, je porte automatiquement mes mains à mon coup suffoquant. Je le supplie du regard de me lâcher, ne comprennent pas son attaque. Mes pieds décolle du sol. Je me sent tourner de l'oeil. Dans un geste désespéré d'un geste de la main, j'envoie valser la chaise sur mon assaillent qui me lâche. Je tombe au sol, toussent, essayent de retrouver une respiration normal.

-Tu es prête apprentis sorcière. On fais juste une démonstration de force, pas la guerre."

Princesse IrisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant