Princesse Iris

Chapitre 17

Cachés dans les hautes herbes les soldats ne nous voient pas. Les villages par où nous sommes passés n'ont logiquement pas vendu l'information. Gabriel leur a promis que leurs impôts baisseraient relativement et qu'il n'exigerai pas qu'ils leur donnent leur nourriture s'il détrône le roi. Ils ont tous accepté. Comment pourrait perdre le roi loup avec un sorcier et une sorcière à ses côtés ? Les troupes sont fortes mais ils n'ont pas appris à combattre contre de la sorcellerie. Mais Gabriel veut absolument garder l'effet de surprise pour perdre le moins de loups possible.

"-N'utilise ta magie seulement quand tu en as besoin. Ne t'affaiblie pas s'en raison.

Je hoche la tête, signifiant que j'ai bien compris. Il se retourne vers sa meute, armés de toutes sortes d'armes.

-C'est notre soir. Nous allons récupérer ce qui nous revient de droit. Fini les tentes, à nous la vie de château. Rester en vie, c'est tous ce que je vous demande."

Mon regard trouve celui de Judith qui est déterminé alors que je suis inquiète pour elle. Faite qu'elle ne meure pas. Je la considère comme ma sœur. Je respire un bon coup me donnent du courage et met ma capuche sur la tête. Albert m'a offert ma cape de sorcière. Apparemment c'est une tradition pour les détenteurs de magie. Mais j'ai tout de même enfilé une peau de bête par-dessus. Les enfants nous ont tous recouvert de traces de sang sur le visage, nous faisant encore plus terrifiant. J'ouvre la marche avec le Roi à mes côtés. C'est le magicien qui la ferme. Il a pour mission de détourner tout missile volent. Il restera donc un peu plus loin de la bataille.

"-Fais attention à toi Iris, ne me détourne pas de ma quête."

Je lui jette un regard , lui montre ma détermination mais cache ma peur. C'est un loup, il doit le ressentir quand vérité, je suis tétanisé.

La cloche sonne. Nous sommes repérés. Certains se transforment déjà en loup. Les premières fléchettes et premières balles fusent mais Albert a déjà mis un portail en place. Sa puissance est incroyable, j'espère un jour avoir la même. Je crée un champ de force qui nous protègent, avancent derrière Gabriel. Les soldats qui essaient de le pénétrer se font électrocutés, rien ne le traverse. Je prie à l'intérieur de moi pour ne pas qu'il céde fasse à tous cette offensive. Je reste concentré, je marche les yeux fermés je fais confiance aveuglément à l'homme devant moi.

-Nous y sommes. Es-tu prête ?
-Oui. Je déclare en ouvrent les yeux.

Ces mains agrippes ma nuque, m'embrassent passionnément aux yeux de tous.

-Ne meurt pas.
-Je vais essayer. Mais si ça devait ce faire, je periré pour une chose louable .

Son front se pose un instant contre le mien avant de venir l'embrasser. La meute se place derrière nous, ils sont tous couverts de sang, ils sont effrayants. Leur maître se cale derrière moi, sortent ces griffes, ces crocs pointues et ces longues oreilles.

C'est partie.

D'un cri, je lance les mains en avant faisant voler en éclat le châtelet. Les soldats nous attendent et je lance une deuxième offensive avant que les loups ne se jettent sur eux. Je remercie Judith intérieurement de m'avoir appris à me défendre. J'ai appris plus vite que la magie. Mais je mélange les deux en avancent. Je dois trouver mon père. Sarah me chuchote de la laisser faire quand un tour, tout sera réglé. Je ne lui réponds pas et aide les loups qui sont dans de mauvaises positions. Plus je gagne en puissance, plus elle arrive à sinicé dans la tête. Je pense qu'elle est la folie de tous les détenteurs de pouvoirs. Qu'ils n'étaient pas malades, elle l'ait rendait fou. Je crie le prénom de Judith quand un soldat lève son épée pour la transpercer, un éclair foudroie ce dernier et la blonde s'écarte vivement son regard se plante dans le mien. Je ne sais même pas comment j'ai fait ça. On ce regarde toutes deux étonnés avant qu'elle ne soit obligé de reprendre le combat.