Chapitre 29

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Je me réveille en sueur. Je retire mes doigts et jette un rapide coup d'œil à Gabriel qui dort encore. Même mes songes sont remplis de sexe ! Je ne sais pas ce qu'il m'arrive depuis aujourd'hui. Mais j'ai tellement envie de faire l'amour que j'en ai mal au ventre. J'en suis même à me toucher dans mon sommeil ! C'est la première fois que ça m'arrive, que je me touche même.
Gabriel à bien compris que j'en avais envie, on a fait l'amour mais... Mais pas assez. Je n'en reviens pas de penser ça. Et je n'ai pas osé en redemander. Tout mon corps est frustré. Je me lève et entre dans la salle d'eau. Une bonne douche froide pour refroidir mes ardeurs. Mais je me rends compte que bien trop tard que mes doigts se dirigent d'eux même entre les lèvres du bas. Je me pénètre de mes doigts, me doigtent à un rythme soutenu. J'essaye de retenir mes gémissements de plaisirs mais je grogne de frustration. Je n'arrive pas à me faire jouir. J'essaie une deuxième fois mais le creux dans mon ventre ne part pas. Je ne vais pas travailler Gabriel pour ça... Je n'oserai même pas lui demander de me faire l'amour.
"Faite chié !" Je jure en sortent de la douche. Je me sèche rapidement et m'insulte mentalement, je n'ai pas pensais à prendre des habille de nuit.
Je sursaute de peur la main sur le cœur en pénètrent dans la chambre. Le brun est redresser, la tête appuyé contre le mur, me regarde entre ces cils. La boss sous la couette m'indique qu'il m'a sûrement entendu sous la douche. Tout mon visage chauffe mais pas plus que mon bas ventre et mon sexe.

"-Ca brûle, hein ?

Je me racle la gorge.

-Comment ça ?
-Tu brûle d'envie.

Je ravale ma salive, le cœur battent la chamade.

-Logiquement ça n'arrive qu'à partir de la deuxième année quand on rencontre son âme sœur.
-De quoi parles tu ?

Il tapote la place à côté de lui, je ne me fais pas prier pour me cacher sur les draps, m'asseyant à mon tour. Ma respiration est saccadé, j'ai du mal à ne pas lui sauter dessus.

-Tu es en chaleur.
-Ah.
-Les loups ont toujours très envie de faire l'amour avec leur partenaire. Mais quand la louve rentre dans sa période d'accouplement, c'est.... Intense à ce qu'on raconte.
-Et ça dur combien de temps ?
-Je n'en sais trop rien à vrai dire... Quelques jours j'imagine mais vue que tu es des deux races de loups, c'est peut-être plus.
-Et pourquoi que les louves ?
-J'aurais du mal à mettre bas. C'est la meilleure période pour être fécondé.
-Oh...

Je ne sais même pas si j'ai tout compris tellement que l'envie de sexe me prendre en grippe. Je suis aveuglé par ces lèvres et j'ai même du mal à ne pas loucher sur la bosse sous les draps. Je passe ma langue sur la lèvres asséché. J'ai du mal à respirer.

Tant pis.

Je grimpe sur lui, l'embrassant à pleine bouche. Il aggripent mes fesses me rapprochent de lui dans un agréable peau à peau. Mon bassin remue de lui même. J'ai l'impression que je pourrais jouir comme ça mais je ressens un besoin vital de l'avoir en moi.  Je lève les fesses, ejectant les draps. Mon sexe est tellement humide d'envie quand un mouvement, il glisse en moi. Pour la première fois, c'est moi qui est bestial, criant de plaisir, une main accroché sur son épaule et l'autre sur sa cuisse. Ces yeux sont fixés sur ma poitrine qui danse.  Gabriel aggripe soudainement mes hanches, venant à la rencontre, je me laisse aller contre lui. Je sent mes canines sortir s'enfoncent dans son coup. Son sang est un délice.

Nos regards se trouvent quand je redescends de mon nuage, ses yeux sont de couleurs argent, il me sourit me montrent ces canines à lui aussi. Sa main caresse mon visage, essoufflé.

"-Tu es si belle ma reine."

J'attrape sa main et embrasse chaque phalanges mouvant les hanches en espérant secrètement que son sexe se redresse une nouvelle fois. Il ricane avant de me retourner sur le ventre. Sa main claque ma fesse me faisant sursauter. Je suis suis surprise de trouver sa agréable. Je sent son sexe durcie en moi et je ne peux pas m'empêcher de remuer contre sur pénis.
Sa main aggripe mon coup pour me redresser contre lui. Ces dents glissent contre ma joue alors que son autre main trouve mon sexe pour jouer avec mon clitoris en me donnent des léger coup de rein.

"-Tu me rend fou."

Je me retrouve le ventre contre le matelas. Ces crocs plantés dans mon épaule alors qu'il me pénètre brutalement.

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"-Tu m'épuise... Ricane t'il en resserrent mon corset tout en embrassent mon coup.
-Ca n'a pas l'air de te déranger.
-Bien au contraire. Déclare Gabriel en me retournent.

Nos bouches se trouves encore pendant que mon dos rencontre la porte de la cuisine. Merde. Je crois que je pourrais encore rester une heure ici avec lui. Complètement nue. Lui en moi. Sur lui. Sur la table même en dessous. Peu importe enfaite.
Le brun se détache de moi, il soupire de bonheur remettent une mèche derrière mon oreille. Il picore une dernière fois mes lèvres avant de m'abandonner. Je ne peux m'empêcher de sourire tout en mordant la lèvre.

Je l'aime tellement !

Je soupire de plénitude et prends la route jusqu'au jardin pour rejoindre Sarah.

"-Tu es en retard !
-J'ai eu un petit contretemps.
-Ce se sent ! "

Je baisse les yeux, le visage pivoine avant de me mettre à côté d'elle pour commencer ma leçon. J'apprends beaucoup plus vite avec elle. Sûrement parce qu'elle était dans ma tête avant, elle sait comment je fonctionne. Je ne suis pas encore à ma pleine puissance mais je metrise quasiment tous mes pouvoirs. Je ne sais simplement jusqu'à où ils peuvent aller.

Sarah tire soudainement sur mon vêtements laissent apparaître mon épaule. Je la repousse alors qu'elle me regarde inquiète.

"-Qui t'a fait ça ?!

Je recule d'un pas sur la défensive.

-Est ce que le roi est au courant ?! Comment sont-ils entrés ?! Tu as étais à la rencontre de ta mère ?!

Je fronce des sourcils. Ne comprennent pas où elle veux en venir.

-Je pense que la leçon est terminée. Je déclare en lui faisant dos.
-Non !

Je ne peux plus bouger. Elle m'a paralysé ! La brune me fait face.

-Dit moi qui t'a fait ça et où ! Ou je fais venir le roi.
-Libère moi.
-Non ! Tu nous met tous en danger !

Un éclair traverse de ciel bleu à cause de mon énervement.

-Très bien. Nous allons attendre le roi. -Il est au courant, pas besoin.
-Vous auriez dû nous en parler ! Ce sont nos vies qui sont en jeux à nous aussi !
-je crois qu'on ne parle pas de la même chose Sarah...
-Ce sont des crocs d'albinos qui t'ont laissé ces marques ! C'est tout ressens ! Ça nous concerne !
-Ce ne sont pas les albinos, je te le promets.
-Ils y qu'eux qui ont des dents en or. Qui d'autre celà peut être ?! Nul ne serre de mentir. Seul l'or peut te blesser. Maintenant avoue tout ! Ou nous enlèverons le sortilège de protection si nous ne sommes plus en sécurité.
-Ce n'est pas les loups blancs.
-Qui alors ?
-C'est le roi.

Sa tête à un mouvement de recule assimilent l'information alors que mon visage est écarlate de gêne.

-Ce n'est pas possible...
-Je ne te ment pas.
-De quel couleur sont ces yeux ?
-Ils sont devenus or depuis quelques temps...
-Mon dieu...
-Qu'est ce qu'il ce passe Sarah ?
-Je pensais que ce n'était qu'une légende.
-Dieu, de quoi parle tu ?!
-Ton sang s'est mélangé au sien.
-Ce n'est pas possible...
-Iris. Fait attention. Ne t'es tu pas questionner sur le fait qu'il n'y est que des louves albinos en majorité ?

Je secoue négativement la tête peu sûr de vouloir la réponse.

-Les louves les tues pendant l'accouplement."

Princesse IrisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant