"-Elle court au suicide.
-Elle préfère mourir plutôt que de mettre un genou à terre devant le roi des loups.
-Même si cela doit passer par tuer ces soldats et civils... C'est ridicule.Albert soupire avant de remettre la capuche de sa cape sur sa tête. Je fais de même avec ma peau de loup malgré que le temps est doux et fort agréable. Il m'a offert cette peau, celle de ces petites sœurs. Elles étaient jumelles et depuis je ne l'a quitté que très rarement. Nous suivrons la bataille de loin et interviendront seulement si celà est nécessaire. Les meutes isolées des alentours nous rejoignent aux files des semaines. Une terre où ils ne sont plus obligés de vivre cachés ou la plupart des humains les acceptent même si c'est encore un peu difficile par fois. Ils ont peur d'être trompés et qu'on leur reprennent tout du jour au lendemain. Ce qui est compréhensible.
Gabriel est en première ligne, montrent l'exemple comme toujours, force et honneur même s'il m'a fait promettre que s'il perdait la vie aujourd'hui, de dévouer la mienne à protéger les siens. Les hurlements des loups se font entendre, ils vont à la rencontre des troupes ennemies. Sarah me chuchote encore qu'il va mourir. Des jours qu'elle me répète ça en boucle, elle prend de plus en plus de place dans ma tête. Je sursaute quand j'entends du bruit derrière les buissons. Une famille en sort, un couple avec leur fils qui doit avoir mon âge et une petite fille. Je nous protège à l'aide d'un bouclier que je crée.
"-Reine Iris ! Parle la dame avant de mettre un genoux à terre avec le reste de sa famille. Celà fait des jours que nous marchons pour rejoindre vos rangs ! Ravis de vous trouver à mi-chemin !
-Ce sont des loups. Me prévient Albert.Je leur prie de ce relever alors que je retire mon bouclier. L'homme nous demande ce qu'il ce passe voyant le combat commencer. Je laisse mon professeur expliquer la situation ne lâchant pas du regard Gabriel mais aussi Judith. Le garçon prend place à côté de moi regardent la bataille. Je reste tout de même méfiante même si il a l'air complément perturbé.
Les troupes ennemies sont plus nombreux mais on est plus fort. J'aide malgré moi certains qui se retrouve en difficulté que je ne vois pas le brun se faire poignardé au ventre, je le vois seulement tomber... Un cris sort de ma bouche faisant tomber un éclair et je l'entends rire à gorge déployée dans ma tête. En une fraction de seconde je suis à ces côtés alors qu'ils font pleuvoirs milles et un coup sur le roi. Du sang ! Ils sont armés d'or !
Je les balaye tous faisant abattre la foudre sur le champ de bataille. Je sent qu'on me taillade le bras mais je ne ressens aucune douleur. Je me retourne vers lui qui recule d'un pas quand il croise mon regard. Je me sent...Puissante et enragé. D'une seule pensée son corps s'embrase dans ces cris de douleurs. Gabriel ce relève doucement. Ils l'ont bien amochés. Il semble perplexe quand il me regarde. Mon collier scintille légèrement. Il est là. Il nous regarde loin. J'ai le sentiment qu'il ne fera rien aujourd'hui, il observe juste, prends des notes.-Tu es louve...
Mes sourcils se fronce ne comprennent pas.
-Ce sont mes pouvoirs. On doit aller vaincre la reine.
Je crée un bouclier une nouvelle fois et nous avançons parmi les corps et les combats. l'Alpha avance difficile ce tenant le ventre en grimacent.
-Tu n'étais pas obligé d'intervenir. Je m'en sortais très bien seul.
-Oh, tu faisais la cueillette j'imaginais ?
-J'ai une table à la maison qui à un vase vide. Tu devrais venir y passer la nuit.Je ricane avant de lancer un sort pour descendre le pont levi. Des soldats nous accueilles avec des flèches d'or. Mon bouclier s'affaiblit fasse a cette attaque bien orchestré. J'entends les renforts derrière nous. Ma main ce pose sur l'épaule de Gabriel nous teleportant dans la château de la reine Laure.
Je suis surprise par la bouche du brun qui dévore soudainement la mienne.
-Que fais tu ?
-Je pensais que c'était une invitation.Je reste bouche bée devant ces dires. Il est vrai que je nous est amenées dans une chambre sans même m'en rendre compte mais pas pour ce qu'il pense. Il rigole face a ma mine déboussolé.
-Vous me dégoûtée.
Nous nous tournons comme un seul homme face à une femme d'une cinquantaine d'années, épée levé dans notre direction, l'air de dégoût collée à son visage. La couronne qu'elle porte sur la tête m'indique qu'on ce trouve face à la reine. Gabriel cache toute suite mon corps avec le sien blessé voulant me protéger.
-On n'en serait pas arrivé là si vous auriez accepter de nous rencontrer reine Laure.
-Un loup m'a prit mon mari. Vous pensiez que j'allais faire affaire avec vous ? Plutôt mourir au combat même s'il y n'est pas loyal pour mon royaume.Elle attaque et nous l'esquivon sans mal. Le brun donne un coup de pied sur l'arrière de son genou le faisant toucher le sol.
-Je n'allais pas prendre votre royaume reine Laure. Seulement imposé certaines règles.
-Jamais !Cette fois ci elle fonce sur moi, je l'arrête d'un mouvement de main, la paralysant.
-Je pourrais vous tuez d'un geste.
-Faite le !
-On va jouer un peu avant. Je déclare en la faisant tomber en arrière.
-Aussi joueuse qu'une louve. Déclare Gabriel en esquivant un coup d'épée.Elle crit quand il lui donne un coup dans les côtes lui coupent certainement le souffle. Nous tournons autour d'elle comme des prédateurs, c'est instinctif. Je n'ai jamais ressenti cela. Un coup par un coup, la ridiculisent. Les yeux brillent de l'Alpha me fixe et le renflement de son pantalon m'indique que je lui fais de l'effet même dans ce genre de situation. Il dit souvent qu'il a envie de moi mais je n'ose pas même si j'en ai très envie.
-Bande de bêtes !
Nos yeux tombent sur la dame nous ramènent à la réalité. Son épée déjà à quelques centimes de ma gorge. J'ai à peine de le temps de penser à quelque chose que Gabriel à déjà attrapé sa main, replient son bras contre elle pour enfoncer l'arme dans son abdomen. Ces yeux s'ouvrent en grands, surprise et à la douleur soudaine. Sa bouche s'ouvre laissent un filer de sang en sortir. Il l'achève enfoncent plus profondément la lame qu'il ressort quelques instants après pour lui tranché la gorge, séparent la tête du corps, le couvrent de sang. Il ouvre ensuite le balcon présentant la tête dégoulinante de la reine sous les hurlements des loups et des soldats qui se battes pour sa cose, notre cose. Il pivote légèrement, me montrent sa main que j'accepte en glissant la mienne dedans. Il me tire contre son corps, ces lèvres trouvent les miennes.
Je n'ai plus peur de lui.
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Princesse Iris
FantasySon secret devait être le mieu gardé. Personne ne doit le savoir même pas elle. Lui le sait et attends le parfait moment pour attaquer.