Chapitre 23

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Mes yeux s'ouvre difficilement, mes paupières sont lourdes. J'ai l'impression de mettre fait piétiner par des chevaux.

"-Bonjour ma reine...

Je souris mollement.
Je suis en vie.

Ces bras chaud m'encerclent et je me rends compte que je suis nue. Je le repousse, le faisant tomber du lit pour me redresser, la couverture sur ma poitrine. Sa maisonnette est sacagé. Et c'est quand il se redresse que je remarque les traces de griffes et de morsures sur son corps. Ces yeux sont accablés de cernes. Il est exténué, il a dû se battre contre moi toute la nuit en essayant de ne pas me blesser.

-Pourquoi pleure tu ?

Je me jette dans ces bras, m'excusent de l'avoir blessé. Gabriel se contente de m'embrasser le crâne, me serrent fort contre lui.

-Comment est ce possible ? Nos bracelets sont sensé te protéger...
-De la magie, pas de tes griffes aiguisés et de tes morcures.
-Seulement l'or peux te marquer...
-C'est là, la particularité des loups Albinos. Leur race a été décimé pour celà.

Ma tête recule, plantent mes yeux dans les siens.

-Je ...
-Non. Tu aurais vu comment tu étais magnifique avec ton pelage blanc tacheté de noir. Je n'avais jamais vu de poils pareil auparavant...

Sa main caresse ma joue. J'ai l'impression que depuis que mon loup s'est montré, je comprends enfin ce qu'il ressent. Qu'il pourrait mourir pour moi si je lui demandai. Que mon monde sens lui serait platonique non, morose sans lui. J'ai l'impression que je perdrai la vie instantanément si il me laisserai.

-Je ne serai jamais ton enmenie Gabriel. Je serai toujours tienne...

Nos dents s'entrechoquent. J'ai l'impression qu'il n'a pas poser ses lèvres sur les miennes depuis une éternité. L'Alpha a toujours respecté ma requête de me laisser du temps. Ne m'a jamais forcer à quoi que ce soit. Mais je suis prête à m'offrir à lui une nouvelle fois. Mais pas seulement ce soir, autant de fois qu'il le souhaite. Mon dos vient se poser sur le matelas troués de quelques marques de griffes, mes joues ont à peine le temps de rougir quand mes cuisses se retrouve sur les épaules de Gabriel qui embrasse passionné mon sexe. Mes doigts se lèves instinctivement à ces cheveux alors que les siens rentre en moi. Content de l'effet qu'il me donne sa langue, laisse une trace humide sur mon ventre qui provoque de doux frissons avant que ses lèvres ne retrouvent les miennes, jouent toujours avec ces doigts. Il avale chaqu'une de mes plaintes. C'est un doux supplice.
Il s'arrête faisant glisser sa main sur la peau de ma fesse puis de ma cuisse pour que ma jambe se pose sur le bas de son dos. Il me pénètre d'une douceur extrême, mordillent un de mes mamelons. Il reste immobile un instant conscient que c'est seulement la deuxième fois que je fais l'amour. Il commence de faible mouvement, mes hanches l'incite d'elles-mêmes à me prendre plus fort. Il ne ce fait pas prier. Nos corps claquent ensemble pendant que nos peaux brilles de sueur. Mes cuisses se retrouve une nouvelle fois sur ces épaules pour approfondir ces mouvements. Sa tête ce révulse en arrière pendant qu'une de ces mains attraque la tête de lit. Il ne me ménage plus, il laisse sa bête prendre le contrôle, faisant claquer le lit contre le mur. Ma voix résonne dans la pièce accompagnée de ces soupires d'extases. Il est magnifique. Ma tête cogne soudainement contre le bois du lit à plusieurs reprises me faisant rire malgré moi. Ses yeux se pose sur moi cherchent la raison de mon ricanement. Je grogne quand il se rétire de moi pour sortir du lit. Un cris de surprise me prend quand il me retourne et me tire par les chevilles au bout du lit. Mes pieds touches le sol et mon derrière en l'air, j'essaie de me redresser mais d'une main il me force à rester sur le ventre. Il me chucote de lui faire confiance. Je gémis quand il s'enfonce une nouvelle fois en moi. Sa peau qui claque à nouveau contre la mienne faisant sûrement rougir mes fesses. Il prends son temps mais donne des coups de reins puissant en même temps. Je sent des vagues de chaleur dans mon bas ventre et des fourmillements dans mes orteils. Quand les gémissements sont de plus en plus rapproché, Gabriel accélère le mouvement, sa main glisse sur mon ventre jusqu'à mon bouton de chair. De l'électricité passe dans mon corps, je vois flou et j'ai même l'impression de grogné comme un chien. Je sent qu'il me remplit d'un liquide chaud, s'enfoncent en moi jusqu'à la garde.
Je grimasse quand il se retire de mon corps se laissent tomber à côté de moi. Ma joue chaude est toujours poser sur le matelas. Il me sourit reprennent son souffle.

"-Tu reste là...
-Je reste là."

Nos regards pleins de promesses ne ce quitte pas.

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Nos rires se mélangent pena,dant que j'essaye de m'habiller, ces mains me caresses, ces lèvres m'embrassent. Le brun tente de me dévêtir alors que je viens à peine d'enfiler ma robe. Il me chuchote à quel point je suis belle, qu'il donnerait sa vie pour moi.

"-S'il te plaît Simon... Je dois vraiment partir. Je gémis entre deux baisers.
-Dix minutes, seulement dix minutes mon amour...

Il embrasse mon coup me faisait gémir. Ce n'est pas si grave d'être en retard après tout. Nous sursautons quand de gros coups sont donnés à la porte.

"-General Dia, ouvrez !

Il soupire, s'habille à la hâte et ouvre la porte d'une humeur bouru. Deux hommes le pousse. J'ai à peine le temps de comprendre ce qu'il se passe que mes poignets sont menottés. Les menottes maudites. Elles me privent de tous mes pouvoirs.

-Cette pute vous ment depuis le début ! Des villageois l'ont vue pratiquer de la magie.

Il hésite. Je lui fais signe de non de la tête. Il ne doit pas intervenir. Mais il est a son tour suprit quand des menottes lui entours les poignets.

-Que faite vous ?!
-Ordre du roi.
-Non ! Je suis la responsable ! Je l'ai envoûter pour qu'il n'ait aucune défaite !
-Taisez-vous ! Hurle un soldat en me giflant.
-N'avez vous pas honte de levez la main sur une femme qui porte la vie !
-Qui porte sûrement un diablotin ! Ricane l'homme avant de me donner un coup de poing dans le ventre."

Ma respiration se coupe, Simon essaye de se défaire de l'emprisonnement mais il est amenée en loin. Je l'entend crier mon prénom, le jurez qu'il ne m'arrivera rien mais les coups pleuvent déjà sur mon corps sans que je puisse me défendre.

Princesse IrisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant