Jeux d'Enfants

Les malheurs de Drago Malfoy

 Cela faisait maintenant déjà deux semaines que Mattéo et moi flirtions ensemble sous les regards de tous. Nous n'avions pas vraiment changé nos habitudes mis à part peut-être des baisés sur la joue plus fréquent et plus long. Ou à la place de ce tenir par le bras on préférait se tenir par la main.

Mais comme tout le monde avait déjà l'habitude de nous voir faire ça. Personne ne c'était posé la question de si nous sortions ensemble.

Il fallu attendre que Lavande Brown, nous surprenne à nous embrassé dans un rayonnage de la bibliothèque ; pour qu'elle nous le demande explicitement. A partir du moment où le « oui » fut prononcé. La nouvelle se diffusa à une vitesse expresse qu'en à peine trente minutes tout Poudlard était au courant.

― Mais comment ça ce fait que l'on ne l'ai pas remarquer plus tôt ?! Et pourquoi tu ne m'as rien dit sale traîtresse ! S'exclama Pansy.

― Oh...ça va je me demandais seulement combien temps tu allais mettre pour t'en rendre compte. Et puis ce n'est pas comme si ça changeait grand-chose. Admettais-je.

― Toi, tu ne le remarques pas mais moi oui, les autres garçons n'ose même plus te regarder. S'amusa Mattéo en voyant un septième année le fuir du regard.

Je pose ma tête contre son épaule, il m'embrasse le front alors qu'il me serre doucement par la taille.

― Maintenant que vous êtes officiellement ensemble. Je trouve votre relation dégueulasse. Grimaça Pansy.

― Au moins cette histoire à le mérite de mettre les professeurs en joie, vous êtes devenus incroyablement sage depuis. Vous en avez assez de votre jeu ridicule ? S'amusa Théodore.

Le sourire aux lèvres Mattéo et moi nous nous dévisageons. D'un commun accord je répond.

― C'est pas parce que l'on a trouvé un nouveau « passe-temps » que ça ne nous empêche pas de continuer notre jeu.

― Je te l'avais dit Théodore, ils ne vont jamais s'arrêter. Gare à nous pour le premier avril.

C'est vrai, même si c'était dans un moment on n'avait pas encore pensé à ce projet. Pourquoi pas lâcher une vague de strangulos dans les couloirs de Poudlard ? Ça pourrait être amusant.

― Oh ! Je vois que le cerveau de ma Princesse cogite ! Il est temps pour nous de déguerpir et préparer notre prochain plan machiavélique !

Je gémis ou cri étrangement alors que Mattéo avait décidé de me porter sur son épaule comme un vulgaire sac à patate. Alors que je finissais par rire, au loin j'entendis mon amie.

― Ils sont aussi mignon que des bourssoufflets.

*

Nous étions déjà à la mi-janvier et enfin il se mit neiger. Sans même prendre un petit déjeuner, comme chaque années nous nous levions avant tout le monde. Afin d'être certain d'être les premiers à profité du sol vierge de toutes traces de pas.

Mains dans les mains, habillé de nos vêtements les plus chauds nous nous jetons entièrement dans le parc saupoudré d'une épaisse couche de neige.

Manquant d'action, nous commençons aussitôt une bataille de boule de neige. Nous rions et crions alors que certains résidus de projectiles se glisse dans notre cou. Soudainement Mattéo sortit sa baguette et prépara un projectile plus gros que ceux d'avants.

― Hé ! C'est de la triche !

― On a définit aucune règle !

Je sors également ma baguette et grâce à mon assiduité ces dernières semaines en cours de Métamorphose. Je réussis à crée un golem de neige.