Sombre nuit

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Aucune retenue et aucun renvoi fut noté depuis l'incident. Visiblement Cormac à préféré éviter que de divulgué l'auteur qui à défiguré son visage. En même temps, Mattéo et moi aurions eu de très bon contre argument.

Cependant ça n'empêcha pas les rumeurs se propagé, car il était connu que mon ami préférait les méthodes de duel Moldu que celle magique. Après le sujet n'en restait pas moins un mystère et c'était le plus important.

― ça va ?

C'était déjà la cinquième fois de la matinée, qu'il me le demandait. Depuis quatre jours, il m'harcelait avec cette histoire. Je crois qu'il voulait que j'en parle et que je vide mon sac. Mais je n'avais rien à dire, car -heureusement- mon héro était venu me sauver.

― Rien n'a changer. Tout va bien. Souriais-je.

― Certaine ?

― Tu sais que tu deviens lourd ?

― Tu sais que je suis là ? Tu peux tout me dire.

Je souris en roulant des yeux, et le prend dans mes bras.

― Crois moi, tu serais le premier au courant.

― Si tu le dis...

Je lui pince doucement les joues.

― ça fait longtemps que l'on ne c'est pas fait un Cap ou pas Cap ? Tu as une idée ?

― Peut-être...


*


― Tu sais que la dernière fois que l'on est venu ici on a failli se faire tuer ? Grimaçais-je.

― Oui, sauf que maintenant on est en septième année. On ne risque plus rien !

Main dans la main, c'est avec beaucoup moins d'hésitations et de peur que l'on pénétra dans la forêt interdite.

― Je tiens à te rappeler que nous n'avons aucune chance contre un géant. Roulais-je des yeux.

― C'est donc pour ça que l'on va explorer un autre coin de la forêt.

« Lumos »

Alors que la dernière fois, nous étions tellement inquiet que l'on guettait le moindre bruit et signe suspect. Se soir, comme si rien ne pouvait nous atteindre, c'est avec légèreté que l'on discutait à voix haute.

― Qu'est-ce que tu aimerais trouver ? Demandais-je.

― J'avoue que j'aimerais bien voir un hippogriffe. Notre cour en troisième année m'a encore laissé sur ma fin.

― Oui, ce serait cool de pouvoir voler sur le dos de l'un d'entre eux...

Soudain je sentis quelque chose chatouiller ma cheville. Je frisonne et m'aperçois qu'à nos pieds de nombreuses petites araignées se frayaient un chemin entre nous. Même si nous étions à la recherche de « sensation forte », l'envie de se faire tuer par une Accromentule n'était pas dans notre programme.

On rebroussa chemin, on tourna sur notre droite et sortons du principal sentier. Nous passons par dessus et par dessous les racines noueuses et tortueuses des immenses arbres. Nous nous étions encore jamais enfoncé aussi profondément dans cette forêt et seuls nos voix ainsi que nos pas comblaient cette inquiétante ambiance.

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