Jeux d'Enfants

Poudlard Express

Avant que cette histoire commence, je tiens à vous informez qu'il est important de lire le titre des chapitres car il informe l'année ou bien du lieu dans lequel l'histoire ce déroule. (Aucun spoil).Je fais moi même partit de ses gens qui ne lisent pas les chapitres. Mais je tiens à vous rappelez que c'est TRES IMPORTANT. Voilà, bonne lecture.

*

Nous étions le 1er Septembre, je serre une dernière fois mes parents dans mes bras et je rentre dans le train, tout juste avant que les porte se referme sur moi.

Voilà, après avoir reçu ma lettre et acheter mes fournitures scolaire sur le chemin de traverse. J'étais enfin dans le Poudlard Express, prête à entamée ma scolarité dans une mystérieuse école de Magie.

Quelque peu soucieuse à l'idée de me retrouver dans le même compartiment que des élèves habitué depuis leur naissance à être et devenir des sorciers. Je préfère trouver une cabine rien que pour moi. Bon, je suppose qu'il y a d'autres enfants Née de famille Moldu mais il était impossible de les différencier des autres.

Manquant de place, je me suis résigné à l'idée de me trouver un compartiment pour moi toute seule. Au final, j'ouvre une porte, il y avait un garçon qui devait avoir le même âge que moi. Son front était collé contre la vitre et il observait le paysage sans véritablement le regarder.

Au moins, il n'avait pas l'air de faire partit de ces sorciers qui se vante de leurs Sang-Pur. Encore à l'entrée, je lui demande gentiment :

― Je peux m'asseoir ?

― A tes risques et périls. Marmonna t-il.

Le sourire aux lèvres, je range mes quelques affaires puis m'assois en face de lui. Il portait une vilaine cicatrice sur la joue et qui remontait jusque sur le haut du front. Il avait également une blessure au nez.

J'évite de trop m'attarder dessus. Après tout, c'est très impoli de dévisager les gens. Néanmoins je me posais de sérieuses questions. Comment un si jeune garçon pouvait posséder autant de blessure au visage ?

Je baisse maintenant les yeux et remarque qu'il ne portait pas de chaussures et l'une de ses chaussettes était également trouée.

Je lui tends la main, le sourire aux lèvres.

― Je m'appelle (T/P) (T/N) et toi ?

― T'es toujours pas parti ? Il c'était un peu redresser, surprit.

― Bah non ? Pourquoi ?

Il ne me serra pas la main et replongea son regard en direction du paysage.

― Mattéo.

Je ne pris pas en compte le fait qu'il ne m'ait pas dit son nom. Après tout, il n'était pas obliger. Soudainement une vielle femme avec un chariot rempli de confiserie passa devant notre compartiment.

― Une petite douceur les enfants ?

Je m'approche du chariot et identifie les nombreuses sucreries. Aucunes ne m'étaient familière et je n'avais pas la moindre idée de quoi choisir. Après quelques conseils, je décide d'acheté un paquet de dragées surprises de Bertie Crochus. D'après elle, c'est un classique que tous sorciers et sorcières digne de se nom devrait connaître.

― Tu as l'habitude de manger ce genre de sucreries, est-ce que c'est bon ?

― Jamais goûté. Marmonna t-il.

Mattéo fut surprit que je lui tende le paquet de bonbon. Il hésita un instant et finalement piocha dedans.

Une légère virgule se dessina sur sa lèvre, puis un sourire.