Chapitre 2 (Asher)

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Je m'occupais des tâches que mon père, l'Alpha Roland, m'avait attribuée, cela faisait plusieurs mois qu'il m'en confiait, depuis ma majorité, pour être précis. Penser à mon père me rappellais qu'il était aller voir cette salope d'orpheline, pour lui sommer de réussir le banquet d'accueil des inviter qui a lieu demain.

N'insulte pas notre compagnon. Rétorqua Tanner, mon loup.

Je l'ignorais. Lors de ma majorité, Lylina c'était révélée être mon compagnon, mais je n'avais pas besoin d'un compagnon faible comme elle, j'avais besoin de quelqu'un de fort pour être Luna, une personne qui ne se recroquevillais pas à la moindre parole hostile. Donc, je n'en avais parlé à personne, j'avais fait croire à la meute que je ne l'avait pas trouvée. Et demain, à sa majorité, je la rejetterai et ferait de Jenna, ma petite amie, la fille du Bêta, ma compagne choisie, car elle avait toutes les qualités requises pour être une bonne Luna, contrairement à cette racaille orpheline.

Mon loup se mit a grogner dans ma tête 

Cependant, je ne pouvais m'empêcher de penser à elle, a ses courbes, à sa voix, à comment sa peau serait douce sous mes mains, aux gémissements de douleur qu'elle pousserait  sous mes assauts violents, ne visant qu'à me satisfaire, à ces pensées, ma bite devint dur. Ce qui m'énervait au plus à point,  à la place je décidais de me soulager dans autre chose.

 Je sortis de mon bureaux, vit une Oméga et lui fit signe de me rejoindre dans mon bureau. Une fois dans la pièce, je lui somma de se déshabiller, ce qu'elle fit, mais elle n'arriva pas à masquer la peur dans son regard, ce qui me ravi plus au plus haut point. Je descendis ma braguette d'un mouvement vif et l'attirait vers moi. Elle ouvrit la bouche pour protester, mais je ne lui en laissais pas le temps et la pénétrais d'un coup sec, déchirant ses parois. Elle cria. Je me délectais de sentir le sang couler sur ma bite dur. Je commença une série de va-et-vient tout aussi brutaux les uns que les autres. Je m'imaginais que c'était Lylina qui gémissait de douleur, que la peau que je touchais était la sienne, que les cheveux qui dansait sur ce dos étaient blond et mauve. J'éjaculais dans un bruyant râle, puis sortit de l'Oméga et la jetais dehors. 

Il faudra que je règle ceci. 

Demain, je vais aller la rejeter, demain

Un monde de masque et de magieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant