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Cassie Anderson a pour l'instant que 17 ans, sa vie va venir prendre un gros coup lorsqu'un drame va se passer dans sa famille... Son frère va demander à son meilleur amie Léo Carson, de surveiller sa petite soeur pendant qu'il ne sera pas là...
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~ Cassie ~
Après ça, j'avais réussi à dormir un peu, je sentais la présence de Léo derrière ma porte, il restait là pour être sûr que tout irait bien pour le reste de la nuit.
Même si ça peut paraître étrange, j'apprécie ce geste, je me sens en sécurité. Grâce à ceci, ç'a eu le mérite que je m'endorme rapidement. Sens éruption pendant mon sommeil, qui pourrait me déranger.
Le lendemain matin, une fois réveillé et préparer, je sors de ma chambre pour prendre mon déjeuner. Je n'ai pas eu le temps d'attraper un quelconque gâteau, que mes pieds en décidèrent autrement. Ils allaient en direction du canapé, où se trouve Léo.
Je m'approchai délicatement du canapé et à m'en grande surprise, il ne dormait pas. Je me rapprochai de lui, mais avant que je n'aie eu le temps de formuler une phrase. Ces bras se glissèrent à l'arrière de mes cuisses, pour pouvoir mieux venir me tirer à lui. Sa prise me fit monter à califourchon sûr, c'est jambes.
- Nous n'avons pas le droit à un, tel rapprochement. Formulè-je gêné.
— Qui donc pour nous arrêter ? Demande-t-il taquin
Mon cerveau mit directement un nom sur sa réponse.
— Mon frère. Assurais-je rapidement
Cette réponse ne lui plaît pas, j'en suis consciente. Il fronça les sourcils, tourna la tête à droite et à gauche pour avoir une meilleure vision, sur l'environnement qui nous entour, une fois fini, il revient fixé mon regard.
- C'est drôle, mais je ne le vois nulle part. Se moque-t-il
Sa réponse spontanée et qui plus est inutile me fit rire. Il me sourit puis avec grand plaisir, il me rejoint dans mon euphorie, sens hésité. Un hoquet de surprise s'échappa, il me laisse écouter son doux rire, ce qui a le dont de me charmer. Avec les deux paumes de mes mains, je viens prendre son visage en coupe.
— Ton rire est tellement séduisant. M'emportais-je
Il me scruta avant de renchérir.
— Et toi, ton regard, et tellement envoûtant... m'informe, t-il d'un air sincère
Quand ces mots sortir de sa bouche, je me rapprochai de plus près, nos lèvres s'effleurèrent, ce qui a le dont de m'en donner des frissons. Mais la porte d'entrée claqua fortement, où il y apparut Kyle ! D'un geste rapide, je sautai des genoux de Léo pour venir m'asseoir sur le canapé.
- Salut ! J'ai ramené les croissants ! Bien dormit ? Cria t-il
Nous répondons en chœur.
- Salut ! Oui, merci...
Kyle nous dévisagea pour une raison qui m'est inconnue. Sens trop tardé, nous déjeunons tous ensemble, autour de la table basse, se trouvant juste à côté du canapé.
J'engloutis mon croissant à la hâte, je n'ai pas le temps. Dans à peine trente minutes, je dois rejoindre Emma au café de la poste.
Avec précipitation, j'attrape mon sac à main et salut les garçons. Le café se trouve à peu près deux trois rue, de chez nous, alors je la rejoins à pied. Pas trop le choix.
Une voiture noire suivait la même direction que moi, il n'y a rien d'alarmant, pourtant elle ne me dépasse pas. Elle continue de rouler, à une allure des plus déplorable.
Par peur, j'accélère, même si je ne fais pas le poids face à la voiture. Arrivée au café, elle se gara sur une place à quelques trottoirs d'ici. Et Emma était déjà là, assise sur une chaise autour d'une table. Elle me fait signe de m'avancer.
- Coucou ! Ça fait longtemps Cas... marmonne-t-elle
J'avais complètement oublié l'existence de ce surnom. Il y avait qu'Emma et mon Papa, qui m'appelait ainsi... maintenant, il reste plus qu'elle pour me le dire. Je balaye mon esprit de ces idées déprimantes.
Je ne perds pas de temps et la tire près de moi, pour l'enlacer aussi fort que possible ! Oui, c'est vrai, cela faisait longtemps que l'on ne sait pas vue. Mais on s'appelle très souvent.
- Salut ! Comment-vas-tu ?
Après ça se suivit une longue conversation, remplie de rire, de taquinerie, de potins et plein de plan sur la comète. Emma avait une fâcheuse habitude de prévoir un tas de choses, mais elle les réalise cas moitié, elle s'emporte fréquemment. Ç'a le dont de me faire sourire au moins.
Cette fois si, elle voulait que ce soir, nous sortons en boîte, ce que j'acceptai, et pour le reste, elle voulait partir dans un autre pays...
- Arrête de te moquer ! Je veux vraiment que l'on fasse un voyage en Laponie ! S'écrit-elle, comme si ça allait se réaliser.
Je lui ai promis que l'on en discutera plus tard. Têtue, elle m'a affirmé que la prochaine fois, ce sera pour payer les billets d'avion. Emma en est plus que certaine, sa détermination m'effraie un peu.
Le café brûlant d'il y a à peine quelques minutes, se voit maintenant vide. La serveuse vient débarrasser notre table, et nous invite à payer.
Il nous resta quelques minutes avant qu'Emma parte rejoindre c'est parents. Alors, on commença à partir direction chez moi, et comme à l'aller, la voiture noire se croyant discrète, me suivait...
Que me veut-elle ? Bordel, j'espère qu'elle s'est juste perdue. La pipelette se trouvant à ma droite, n'a pas l'air d'avoir aperçu la voiture. Emma et moi nous sommes quittés au milieu du chemin.
Elle est repartie avec ses parents, et moi, j'ai fini par rentrer à la maison. La voiture toujours derrière à mes trousses, bizarre...
