26 | Soins médicaux

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~ Léo ~

Une voix qui me semble lointaine, m'appela. Encore une fois, puis une autre. J'avais envie de me lever et lui demander de partir, pour que je puisse dormir quelques heures de plus. Malheureusement, la réalité me rattrape. Mes paupières s'ouvrent, et les rayons du jour m'aveugle. En voyant le lieu où je me trouve, je ne perdis pas une seconde, pour me lever vers cette infirmière qui me réclamé.

Je repris mes esprits, et m'empresser de savoir ces indications. J'en ai marre d'attendre, je la veux maintenant. Deux jours qu'elle est ici, sens l'apercevoir un instant. Peut-être que j'aurais pu lui faire éviter tout ce bazar, mais malgré mon implication pour la sauver, je n'ai réussi cas moitié. Cet hôpital en est bien la preuve. Je ne l'ai toujours pas annoncé à Kyle, on ne sait pas vraiment reparler depuis... Je suis un trouillard, certes, mais j'ai mes raisons !

La dernière fois qu'on a eu une discussion sur Cassie, ça, c'est mal terminé. Une de nos premières disputes, je dois dire. Cela nous arrive très rarement, où elles ne sont pas fortes. Je verrai plus tard, ce n'est pas comme si ça faisait une semaine. D'après les docteurs, elle se serait pris un coup derrière le crâne, et elle s'est ouverte à cause de cela. Ils lui ont mis des points, mais avec le choc, elle se serait évanouie. Rien de trop grave apparemment...

- Monsieur ? M'épela la dame.

Je réajustai ma veste et lui fait signe qu'elle peut continuer. Aussitôt dit aussitôt fait, elle recommence son baratin.

- Appart le choque de cet événement, elle va très bien. Elle est réveillée, et à le droit aux visites désormais. Quelqu'un vous a t-il ausculter ? Je pourrais le faire si vous voulez.

Je lui déclare qu'il n'y a pas besoin, puis de toute façon, on m'avait déjà refilé de la glace. Ce ne sont juste quelques coups.

- Bien, Souhaitez-vous que je vous accompagne, voir mademoiselle ? Me demande-t-elle

- Volontiers, merci. Répliqué-je

Elle se dirige vers la droite et je fis de même. Traverse un couloir, monte les escaliers de deux étages et je la suivis, imitant, c'est moindre geste. Quand tout d'un coup, elle s'arrête net, pris au dépourvu, j'ai cru lui foncer dedans.

- Et voilà, la chambre 147, celle de madame Anderson.

Je hoche la tête pour la remercier, sens forcément chercher à continuer la conversation. Elle me souhaite une bonne fin de journée, et partir sens plus tarder. En voulant rentrer dans la pièce, je heurte l'angle de la porte, ce qui me vaut un petit étouffement miséreux.

Hit the stopOù les histoires vivent. Découvrez maintenant