Qu'ai-je fait ?

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Ariane
Je suis obnubilée par tous ces sensations inconnues, incroyables, voluptueuses, sensationnelles ... bref je n'ai pas de mots pour décrire ce que je ressens, c'est vertigineux, mon corps est traversé par un feu brûlant qui ne demande qu'à être éteint ou à se propager sur tous les terminaisons de mon système,mon corps ne m'appartient plus.
Je sens ses doigts sur mes seins qui se dressent quémandant encore plus,le suppliant de continuer, avides de plus de caresses, je suis perdue, comment je m'appelle ?
Je ne sais pas qui je suis et où je me trouve. tout ce qui m'intéresse c'est cette sensation qui me fait délirer, s'il te plaît ne t'arrête surtout pas, j'en ai tellement envie, ha-ha-ha soulage moi ,mon Bel étalon. Oui !!!, mon esprit est à la dérive,c'est tellement bon.
je sens sa main qui me touche l'intérieur des cuisses et remonter vers mon centre,je suis bouillonnante, la respiration cascadee, suspendue, attendant, quémandant plus,ses doigts me caresse,mon jus jaillit comme une fontaine,inondant ses doigts. Il se fige appréciant le moment.
- Tu es bien trempée pour moi, pour ma queue, laisse moi te remplir cette nuit, laisse moi me perdre en toi,m'enfouillir tout au fond de toi,te faire mienne,te goûter,te sucer ,tu passeras la meilleure nuit de ta vie.
- Je t'avais dit que toutes les femmes sont des putes, alors quel est ton prix? dis le moi pour qu'on en finisse ,te veux combien pour passer la nuit avec moi ?Je me fige et tente de le gifler, il attrape ma main,pose un baisé dessus.
- Ne te fâche,je ne te juge pas,on en a envie tous les deux.
- imbécile, truand, salopard,ta mère ne t'a pas appris à parler aux femmes ?
- c'est la dernière fois que tu essaies de me porter main ma chérie.
Il s'assoit et me fait assoir sur ses cuisses, je sens sa longueur dur à travers son pantalon.
- laisse moi partir je n'ai pas l'intention de rester une minute de plus en compagnie d'un homme des cavernes.
je me débats avec force mais ça ne l'ebranle pas,il ne bouge pas d'un iota,je le martelle de mes points, c'est c'est comme s'il ne ressentait rien. il attrape mes bras et prend son téléphone pour passer un appel :
- Apprêtez-vous nous décollons ce soir, je ne serai pas seul.
Il raccroche et appelle John .
- Mr Smith, je vais vous faucher compagnie, je vais repartir dans mon pays avec mon colis.
- vous vous êtes entendu ?
- No
- Oui
Nous disons simultanément Auracio et moi.
- Je n'ai pas l'intention de vous suivre où que ce soit.
- Je ne demande pas votre avis.vous me suivrez que ça vous plaises ou non.
John intervient
- Si elle n'est pas d'accord tu prendre du bon temps avec les filles que je t'ai présenté.
- Je ne veux personne d'autre. j'ai déjà tout ce qui me faut. Alors, merci pour l'accueil, il faut que j'y aille,on s'appelle.
- Ne le laisser pas m'emmener, à l'aide, à l'aide. Marianne, Marianne ?!!! . Où es-tu ? laisse moi, laisse moi, salopard,je te déteste.
je me débats comme je pouvais, mais il ne me lâche pas. Il se lève et me soulève sur ses épaules. Je laboure son dos de mes points, il marche vers la sortie et personne n'intervient. Marianne se lève et nous poursuit.
- S'il vous plaît laissez la partir, pardonnez lui, elle ne maîtrise pas sa langue, elle parle à tort et à travers,s'il vous plaît, s'il vous plaît .
Qu'est ce qu'elle raconte celle là ?
Qu'est ce que j'ai fais ?
Où m'emmène t-il ?
Au secours ?.


l'attraction du mafieux Où les histoires vivent. Découvrez maintenant