j'accepte d'être ta copine

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Ariane

Il s' assoit, et me demande d'en faire autant. Ce que je fis, il prend la parole :
- Je voulais m'entretenir avec toi, pour que nous partions sur de nouvelles bases , que nous prenions un nouveau départ.
Je m'assois confortablement dans le fauteuil, pressée de savoir ce qu'il voulait dire par là.
Je croise les pieds, et écoute
- Nous avons mal commencé, j'ai été trop crû dans mes paroles, ce n'était pas dans mes intentions.
- En d'autres termes ? Ce sont des excuses ça ou pas ?
- Ce sont des excuses.
- Non ceux ne sont pas des excuses.
SI, ça l'est.
- Alors il va falloir faire mieux que ça.
- Bon
- Oui ?
Intérieurement , je jubile, Ha que c'est bon d'avoir un peu de pouvoir, j'apprécie ce moment unique.
- Heu,oui, j'attends.
- Je m'excuse
- mais j'ai pas bien entendu , j'ai les oreilles qui font des siennes.
Il parle plus fortement, très mal à l'aise.
- Je m'excuse de t'avoir Mal parler.
- Seulement, parlé ?
- Oui,,, non.. pour le mauvais traitement aussi , alors tu m'excuse ?
- Très bien, puisque nous devons partir sur de nouvelles bases, j'accepte tes excuses.
- Tu ne t'excuse pas aussi ?
- Pourquoi ?
- C'est face à ton comportement, que j'ai réagi ainsi, sinon d'habitude je suis très douce.
- Ça reste à voir.
- Pardon ?
- Tu es déjà pardonné.
- Tu recommence à m'embêter.

- Je t'ai appelé aussi pour te poser une question.
- Es-tu vierge ?
- C'est quoi cette question ?
- Je me suis dit que la raison de ton refus c'est peut être ça, que tu sois vierge.
- Je pense que ça ne vous regarde pas.
- Si, ça me regarde, quand nous allons baiser, je le serai.
- Mais, pour le moment ce n'est pas à l'ordre du jour. Vu ton comportement.
- Très bien je voulais savoir si tu voulais être ma petite amie.
- Quoi ?
Ma tête est en ébullition, petite amie, moi la petite amie de cet homme si beau.
mais côté caractère c'est un cochon.
- Accepte tu d'être ma petite amie ?
- Heu, je peux avoir un temps de réflexion ?
- Non !
- Non?
- Non!
- Pourquoi ? j'ai quand même le droit de réfléchir à ta demande.
- Tu as cinq minutes.
- Quoi ?
- Arrête de répéter ça à chaque fois.
- Mais tu ne peux pas, me demander de te donner une réponse maintenant.
- Si je peux et je le fais.
- Très bien, comme, tu m'oblige à te répondre maintenant, je refuse ta demande.
- Quoi ?
- Quoi ! Quoi ?
- Tu ne peut pas refuser !
- Et pourquoi ? Tu sais L'abruti, j'ai demandé un délai de réflexion, c'est à prendre ou à laisser.

Tout de même, selon lui,il me demande,
alors que je sais très bien que tout ça c'est pour voir mes dessous.
Il faut quand même que, je profite de l'occasion. Que je fasse durer le suspens
Que je le fasse languir , qu'il bave.
Mais, comment faire plier quelqu'un comme lui ? Qui croit que tout lui est acquis . Qui n'accepte pas NON comme réponse. Je dois être très intelligente, dans cette histoire. Je sais ce qu'il.
Mais moi Qu'est-ce je veux ?

Je veux une belle histoire d'amour
Je veux du respect
Je veux la fortune
Je veux des relations
Je veux le pouvoir

Comment pourrais-je avoir tout ça ?
Eh bien par lui ! Mais pour ce faire, il faut que je la joue finement . Il faut parfois céder d'un pas pour sauter de quatre pas

- Très bien, j'accepte d'être ta petite amie
Mais j'ai des conditions.
- Quelles sont ces conditions ?
- Je veux être respectée
Je veux un travail bien payé, je m'y connais en gestion d'entreprise, je suis une crac en finance et un aucun code ne me résiste .
Je veux deux maisons à mon nom dans deux pays différents.
Je veux un compte en banque de 10 000 000 maintenant.
Après notre sois disant relation, je veux repartir avec, 50 000 000 de dollars. Et garder toujours mon poste.
Avant de commencer cette relation, je veux avoir d'abord ce que j'ai demandé.
Voilà mes conditions, et j'insiste beaucoup sur le respect.
Il reste un moment à me contempler.
- Qu'est-ce que tu as à me regarder ainsi
Tu croyais que quoi ? que j'allais demander de petites sommes ?
- Tu vois que tu me rejoins finalement
Ton prix est juste un peu élevé que celui des prostituées normaux.
Je suis rouge de colère, je me lance vers lui la main levée pour le frapper.
Il m'attrape la main la tourne dans le dos
Je me retrouve coller à lui, ma poitrine se
soulève au rythme de ma respiration cascadee, il me serre contre lui, le bout de mes seins érigé se presse contre lui
il m'embrasse avec fureur, avec un soupçon de désespoir. Il boit sur mes lèvres, comme s'il voulait étancher sa
soif. le bosse dans mon ventre me montre combien il a envie de moi.

Il se détache de moi , s'asseoit dans son fauteuil, rempli un chèque qu'il me tend
Je regarde le montant, et j'ai des vertiges
Je me frotte les yeux, peut-être que je vois mal, je regarde encore et vois
100 000 000 de dollars. Mes pieds me lâchent, je m'assoie à mon tour .
- Je te l'avais dit, je te veux, alors j'espère que cette somme que je gagne en quelques jours, pourra être assez pour les maisons dont tu avais parlé.
Avons-nous un accord ?
Accepte tu d'être ma petite amie en attendant que me lasse de toi ?
- Nous n'avons pas parlé de la durée
- pour la durée je ne sais pas, ça peut être, 1 semaine ? 1 mois ? 1 an ?
- Je ne compte pas rester plus d'une année ici.
- Tu as une très haute opinion de toi.
Je ne pense pas que tu vas faire plus de trois mois ici.
- ha bon ? Tu peux parier la dessus ?
- Très bien, si tu arrives à retenir mon attention après que j'ai couché avec toi après trois mois, tu pourras me demander ce que tu veux.
- Tout ce que je veux ?
- Oui tout ce que tu veux.









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