Elle me fait...

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Elle me fait...

Ariane
- Qu'est ce que tu fais ici ?
- Et en quoi ça te regarde ? Tu es qui toi, pour me poser cette question ?
- Moi, je ne suis personne, pour te poser la question, sauf que tu es dans ma maison, actuellement, alors je te repose la question et tu as intérêt à me répondre
Qu'est ce que tu fais ici ?
Elle me pousse et essaie de passer, c'est l'erreur qu'elle n'aurait pas dû faire.
Je l'attrape par les cheveux et tire le plus possible dessus. Elle pousse un grand cri à glacer le sang.
- Lâche moi espèce de sauvage.
- Tu ne sais pas à qui tu as affaire . ET tu n'as pas encore répondu à ma question que fais-tu ici ?
- Lâche moi, je vais te répondre.
Je tire encore plus ses cheveux, je vois ses larmes couler .
- Alors qu'est-ce que tu fais chez moi ?
- Je suis venu voir Auracio.
- Pourquoi ?
- Cela ne te regarde pas.
- Si je te pose la question c'est que ça me regarde , veux-tu continuer à souffrir ?
- Tu n'es qu'une sale , pétasse, fiche moi la paix.
Je lui flancs une belle gifle, qui l'a fait tomber par terre .
- Que se passe-t-il ici ?
- C'est cette sauvage, qui m'attaque.
dis-t-elle en se tenant la joue.
- Ariane, pourquoi l'as-tu frappé ?
- C'est entre elle et moi, quand elle arrêtera de m'injurier, je ne la frapperai plus . Et toi, tu n'as toujours pas répondu à ma question, je t'écoute.
- Je n'ai rien à te dire sale arriviste.
- Tu vois Auracio, ce que je te disais, depuis qu'elle est arrivée, elle ne fait que m'injurier, je vais lui montrer, qui je suis, car elle ne le sait pas encore, n'est ce pas ?
Je la gifle encore .
Auracio, essaie d'intervenir, mais je m'arrête net.
- Qu'est-ce que tu veux me dire ? Que je te laisse régler le problème ? Mais, ce n'est pas toi qu'elle a injurié, et tu très bien que je sais me défendre .
Si tu ose intervenir encore une fois, je te promets que tu feras deux mois sans me toucher, à toi de voir : La défendre ou me soutenir ?
- Tu sais que je te soutiens toujours.
- Alors tu me laisses faire à ma manière.
- Très bien, je n'intervient plus.
- Tu as entendu, mademoiselle, veux-tu que je te repose la question ?
- Je te répèt que je n'ai rien à te dire, tu es soude ma parole.
- C'est comme ça que tu veux la jouer, très bien, on Verra bien qui rira le dernier.
mon bébé, montre moi ta salle de tortures.
- Ariane, s'il te...
- Si tu termines ce que tu as commencé
je te jure que tu vas le regretter, je t'avais prévenue que je ne voulais pas voir une de tes putes chez moi, mais qu'est ce que je constate ? Que tu te fous de ma gueule, alors tu me montres cette salle ou pas ?
- Suis moi.
Il avance et je le suis avec la momie vivante, en tirant ses cheveux pour la faire avancer.
- Auracio, Tu ne peux pas la laisser faire.
Arrêt-la s'il te plaît.
- Toi, je t'ai déjà dit, de ne plus venir chez moi sans que je ne t'y invite, puisque tu n'as pas respecté mes ordres , il ne te reste plus qu'à assumer les conséquences voici la salle de tortures.
Moi je vous laisse.
- Pourquoi, veux-tu t'en aller, je veux que tu restes pour m'assister.
La salle de tortures se trouve au sous-sol, pas loin de là où, j'ai été été retenue prisonnière la dernière fois.
Je vois une croix en bois sous forme de crucifix .
La croix est à l'horizontale , je l'a tire vers la croix pour l'attacher , elle se débats comme un beau diable, mais ma prise est solide .
Je finis de l'attacher, puis avec une manette je soulève la croix pour la mettre à la verticale , ensuite je prends un fouet et je déchire sa petite tenue.
C'est en se moment qu'entre les autres :
Philippe, Marco, Fernando et Marianne.
- Soyez les bienvenus, le show ne fait que commencer.
Je donne le premier coût de fouet, elle pousse un cri horrible .
- Tu peux ne pas ouvrir ta sale tranche, tu vas me percer les tympans.
Je donne un deuxième, puis un troisième
et ainsi de suite, arrivé au dixième fouet.
Elle commence à demander pardon.
Ce n'est pas trop tôt.
- Je t'en supplie, ne me frappe plus, je vais te dire ce que je suis venue faire ici.
- Très bien, je t'écoute.
elle continue de pleurer.
J'entends les garçons parler entre eux :
Philippe : Cette fille me fait peur, je ne sais qu'elle est aussi tarée !
Marco : Si à toi, elle fait peur, nous autres allons dire quoi ? Tu es le plus taré de nous tous réunis . C'est vrai qu'elle sait se faire respecter.
Fernando : putain elle me fait bander.
Auracio : Merde, si tu veux bander ce n'est pas en regardant ma fiancée.
Alors garde tes bijoux de famille dans ton pantalon . Ma dulcinée est magnifique ainsi, j'ai vraiment trouvé mon âme-sœur .
Je reviens à ma captive qui continue toujours de d'implorer .
- Tout d'abord, tu va devoir me vouvoyer ...
Je ne suis pas ton égal , je t'écoute , et appelle-moi madame.
- D'accord, madame, je vous demande pardon, j'étais venu voir Auracio pour coucher avec lui, car la dernière fois, tu nous as interrompu, je voulais savoir s'il avait besoin de mes services.
- Je vois, tu sais pourquoi, il ne t'a pas appelé ? C'est parce que maintenant il est en couple avec moi, alors tu comprends maintenant pourquoi je t'ai posé la question ?

l'attraction du mafieux Où les histoires vivent. Découvrez maintenant