Enfin à la maison

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Auracio
Mon pilote, nous demande d'attacher les ceintures, l'avion va atterrir.
Enfin, je suis enfin à la maison, nous descendons après l'atterrissage, après que je sois allé récupérer mon Bel colis , qu'elle est belle ainsi endormie,si innocente,si calme,si muette. Je caresse délicatement son visage bellicimo ! mon cœur fait un bond dans ma poitrine quand mes doigts entrent en contact avec sa peau. Comment une si petite chose peut autant piailler, comme un robot qu'on n'arrive pas à appuyer sur le bouton Stop.
Il faut vite rentrer pour que je me soulage un peu avec une autre, même si j'aurais voulu que ce soit avec elle, mais je n'ai jamais forcé une femme à être avec moi et ça ne va pas commencer aujourd'hui.
Le jour où je la baiserai elle ne pourra pas marcher pendant une semaine, je vais prendre mon mal en patience,je suis très patient quand il s'agit de guetter une proie .
Car elle est ma proie, une magnifique gazelle que je vais prendre mon temps pour bien déguster, miam !! elle va la sentir passer.
Mes quatres quatres sont garés en fils indien,mes gardes entourent le lieu, chacun avec des oreillettes, armés juste qu'aux dents. Je monte avec mon fardeau dans les bras toujours endormie, qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire d'elle ?
J'ai déjà ma petite idée,ne vous en faites pas.
Arrivé dans mon domaine, je monte avec mon précieux fardeau que je dépose dans une chambre pas très loin de la mienne ,car pour bien et vite la déguster, elle doit être près de moi, très près. Sa copine est dans une autre chambre à l'étage en dessous. je ne veux pas qu'elle entende sa copine crier quand je vais la baiser comme il faut.
je prends une douche, et demande à Marco de m'envoyer une de mes filles de mes clubs de striptease. J'ai une chambre spéciale pour baiser avec mes putes , j'ai horreur qu'elles se pavanent à chaque fois qu'elles viennent ici , tu es venu pour être baiser laisse-toi baiser et fou le camp. Marco me dit qu'elle est arrivée, je descends la rejoindre,je ne vous invite pas, à plus.

Ariane

Je me réveille avec un sourire aux lèvres, quand la réalité me frappe à la tête et descend à ma poitrine,non ce n'était pas un cauchemar , c'était réel,je me redresse rapidement pour regarder autour de moi. Où suis-je ?  Où est Marianne ? Pourquoi suis-je seule dans cette chambre ? J'espère que l'abruti ne lui a pas fait de mal. 
Je regarde autour de moi, inspectant la chambre, très belle chambre, de beaux rideaux aux tons gris parsemés de points blancs .Le grand lit baldaquin doux comme les fesses d'un bébé,je me dirige vers les placards, de très grands placards que j'ouvre : ils sont remplis de vêtements de marque que je prends plaisir à contempler, émerveillée, très belles,les robes, jupes, culottes pantalons, chaussures de toutes sortes, ma journée est déjà ensoleillée.
Je me dirige vers la douche,waouh. ... c'est magnifique, je n'ai jamais vu une salle de bain aussi belle, l'abruti à bon goût. une douche à l'italienne, avec un grand jarcousie en marbre à l'intérieur, ha oui je suis en Italie, je me déshabille, me fais un bain et me plonge dedans, hum hum, c'est un délice, j'espère que ma sœur est bien logée, je vais reprendre des forces dans mon jarcousie avant d'aller en guerre, hum je pourrais très vite m'habituer à cette vie, à tout ce lux.
La vie est belle, belle, belle ?.
Je me prélassais dans mon jarcousie quand j'entends des bruits bizarres, comme des gémissements ? Non, qui est assez impoli, impertinent pour baiser ainsi, ce beau matin et avec autant de bruit. Un peu de respect là, what is this mess? ( c'est quoi ce bordel ?)
Je sors, pour m'habiller, j'essaie quelques vêtements, puis mon choix se porte sur une jupe en cuir noir à mi-cuisse avec un chemisier avec des petites perles encrée autour du coup. Je me regarde !!! tu es belle ma chérie, je m'aime tellement, qui ne m 'aimerais pas.
Je suis belle, intelligente, drôle et j'en passe.Je suis la déesse de la beauté, de la magnificence, de l'intelligence,oui c'est moi.
Je descends, m'orientant grâce aux bruits de gémissements. Ils ne manquent pas d'air, ils vont m'entendre,ces ignares. J'arrive devant la porte d'où le bruit est plus fort.
J'ouvre brutalement la porte et reste figée sur place : devant mes yeux, se retrouvent deux personnes, l'abruti et une femme blonde maigre, pas très belle, tous les deux nus : Elle à quatres pattes ,lui, derrière elle, enfouie en elle,en train de la baiser, elle gémissant toujours comme si je n'étais pas dans la pièce.
Lui, constituant de la baiser et me regardant droit dans les yeux.
- Tu peux te joindre à nous si tu veux dit-il.
- Espèce d'abruti, indécent,si vous voulez baiser , baiser,mais faites le,dans le silence, n'en merdez pas d'honnêtes citoyens, de si beau matin.
- Tu n'as pas trouvé mieux que ça ? c'est décevant, tu faisais la grande gueule pour ça ? Elle ne m'arrive même pas à cheville !!!! c'est pathétique.
Mais allez-y vous voulez vous donner en spectacle pas de soucis, ça fait longtemps que je n'ai pas regardé de porno.
- Action
Ils restent immobiles, étonnés..
- Mais vous attendez quoi ? Les caméras ? Hooo désolée,je ne suis pas venue avec, la prochaine fois peut être .Ne soyez pas fâchés... allez action.
- C'est qui cette petite ?
- C'est ta mère la petite, ta grand-mère la petite,ton arrière-grand-mère la petite. Je t'ai sonné ? Squelette ambulant.
Il se retire d'elle et s'habille,sortez tourtes les deux, Aurélie, rentre maintenant.
- Mais on a pas fini. Dit le squelette ambulant.
Il l'attrape par le coup et la jette hors de la chambre nue, il ramasse ses habits et les lui jette au visage.
- Quand je te de rentrer c'est qu'on a fini.
Il se tourne vers moi,me prend par le coude et me traîne vers la cuisine.
- Tu n'es pas chez toi ici et que ce soit la dernière fois que tu m 'interompt quand je suis occupé , arrêt de te balader dans ma demeure comme si tu étais chez toi, tu es sans sans vergogne.
- Je n'ai pas demandé à être ici, si je t'en merde trop, ramène moi chez moi. Du moment que tu me retiens ici, que je sois obligé de vivre ici, alors c'est chez ici, puisque j'y vie.Alors,il va falloir changer tes habitudes.Je ne veux pas entendre de bruit bizarre qui vont me perturber, j'espère que c'est claire pour toi.
Il se précipite vers moi,me Serrant le coup jusqu'à me soulever du sol.
- Pour qui tu te prends ? Je crois qu'un séjour aux sous-sol te remettras les idées place.
il commence à m'emmener je ne sais où.
je n'ai pas l'intention de bouger d'ici pour aller je ne sais où.
- À l'aide,au secours,il veut me tuer, aidez moi.
- Qu'est-ce qui se passe ici ? Auracio laisse la.
On se retournent pour regarder la personne qui vient de parler.






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