C'est vous la patronne

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C'est vous la patronne

Ariane

- Tu vas faire le tour de la salle à manger
à quatre pattes .
Je tiens la laisse, l'a faisant avancer comme on le ferait avec un chien, elle fait le tour, ses larmes coulent abondamment, je suis heureuse de l'humilier, vous ne savez le bien que ça me fait de prendre ma revanche, car je ne digère toujours pas la manière où nous nous sommes croisés, j'ai toujours cette image dans la tête : Les deux nus dans cette chambre .
Elle finit de faire le tour, chacun est toujours assis attendant mes actions.
- J'ai pitié de toi , tu sais, tu réfléchiras à deux fois avant de venir ici maintenant,
Veux-tu que je te libère ?
- Oui madame,
- Tu vas devoir quelques choses pour moi , tout ce que vous voulez madame.
- Mes pieds sont un peu sale, tu peux bien les laver pour moi.
- Bien sûr madame
- Avec ta langue.
Je l'a regarde maintenant dans les yeux, attendant sa réponse, elle est dégoûtée.
Mais elle fait bonne figure.
Elle d'avance toujours à quatre pattes, arrive devant moi, m'enlève ma paire de chaussures, puis se penche pour commencer à lapper mon pied. Je regarde le monde autour de moi , ils sont tous dégoûtés .
- Applique toi bien, tu ne le fais pas bien.
Elle reprend, en trente minutes elle a bien lavé mes pieds .
- Très bien , tu peux rentrer chez toi.
Elle relève la tête n'y croyait pas, elle hésite, attendant une confirmation.
- Tu veux que je change d'avis.
- Non, merci madame.
Elle commence à courir comme si elle avait le diable au corps .
- Eh ! J'espère que tu as compris la leçon
- J'ai compris madame, c'est vous la maîtresse de maison .
Elle court vers la sortie .
Auracio, vient me prendre dans ses bras, il m'embrasse tendrement.
- Je suis fière de toi, tu sais comment défendre ce qui est à toi.
- Pendant ses cinq mois, tu m'appartiens
et je n'ai pas l'intention de laisser quiconque l'oublier même pas toi.
Je l'embrasse passionnément.
- Marianne, on se voit demain ! J'ai quelqu'un qui veut toute mon attention.
Nous montons dans sa chambre, il commence à me déshabiller, on continue de s'embrasser , en quelques secondes,
nous nous retrouvons nus , on se regardent puis je saute dans ses bras, il me rattrape en vole , mes pieds s'enroulent autour de son bassin, ses mains se posent sur mes fesses qu'ils caresse avec outrance . Nous gémissons dans la bouche d'un de l'autre, la passion est à son comble, arrivé devant le lit, il me jette la dessus, je rebondis, il se jette sur moi.
- Je vais te dévorer toute la nuit.
- Tu perds du temps à parler, passe à l'action .
- À vos ordres madame.
Il m'embrasse, et nous commençons une nuit torride parsemés de passions et de temps de repos avant de reprendre de plus belle . Ha ! Que c'est bon de vivre cette passion qui vous éblouis de tout part, c'est comme une renaissance, comme si une part de vous naissait, une partie qui n'existait pas avant , la passion peut vous fait faire des folies. Je ne savais pas que je pouvais détester quelqu'un comme j'ai détesté cette pauvre fille, je m'en veux un peu d'être allée si loin dans mon châtiment, mais quand je l'ai vue, j'ai pété un câble.
J'ai passé une nuit de passions inédite.
Quelques jours plus tard, Auracio m'informe que nous devons effectuer un voyage, nous allons rendre visite à son cousin qui vient de se marier en Italie , dans quelques jours.
Je suis très heureuse de pouvoir sortir un peu de cette prison dorée .
- Ce soir Apprêtez-vous nous sortons danser .
- Quelle bonne nouvelle, j'ai hâte d'être à ce soir.
J'ai passé la journée à bronzé au soleil après être passée dans mon bureau, puis en salle informatique où j'ai complété les derniers paramétrage pour rendre notre périmètre impénétrable .
Dans mon deux-pièces, je suis allongée sous le parasol quant je vois le regard d'un garde sur moi, avec mes lunettes de soleil, je me penche pour bien le regarder
c'est le moment que choisit Auracio pour apparaître .
- Je peut savoir ce que tu regardes ?
- Rien monsieur !
- Tu ne regarde rien, mais tes yeux ont le temps de se promener sur les fesses de ma fiancée !
- Non, monsieur, je n'oserai jamais monsieur.
- Si, tu veux perdre un œil, continue ainsi tu es sur la bonne voie. Tu vas changer de place, à compter de maintenant, ta place sera au sous-sol pour surveiller cette zone.
Je vois le garde quitter sa place , remplacer par un autre qui nous tourne le dos .
- Tu ne m'as pas présenté à tes employés, je ne trouve pas ça correcte.
- Tu as parfaitement raison.
Il appelle le garde,
- Rassemble tout le monde dans la cour
que ce soit les soldats ou les servantes , je veux tout dans la cours.
Le soldat repart, puis reviens quelques minutes plus tard .
- C'est fait patron.
- Allons y .
Nous nous, je prends un robe de plage transparente un peu large que je porte.
Nous arrivons dans la cours, nous nous arrêtons à l'escalier, tous ses hommes, Ceux qui sont en uniforme, ceux qui ne le sont pas, les servantes, les cuisinières
la gouvernante les femmes de chambre
je ne savais qu'il y avait autant de personnes dans cette maison .
- Bonjour à tous, je vous ai conviés pour vous présenter ma fiancée.
- Ta petite amie plutôt. je le dis pour qu'il soit le seul à l'entendre.
- C'est la même chose. Donc je disais, je présente ma fiancée, Ariane, c'est la maîtresse de maison à partir de maintenant, si vous avez des questions, des préoccupations, tout ce qui est en rapport avec la maison doit passer par elle.
- Salut à tous, comme il l'a si bien dit, je suis la maîtresse de maison, mais tout ce qui est en rapport avec la maison voyez le avec ma sœur ici présente .

l'attraction du mafieux Où les histoires vivent. Découvrez maintenant