l'attraction du mafieux

Je sors avec le boss

Je sors avec le boss

Ariane
- Je n'ai pas l'intention de perdre cet argent, je ne place pas mon argent n'importe où. Je vais vous dire que chaque 20 décembre, je ferai le virement de vos, bénéfices , si vous acceptez mes conditions.
- Et quelles sont tes conditions ? demande Philippe.
- Sur chaque, placement, je prends 45% des bénéfices le vingt de chaque décembre.
- Mais pourquoi 45% pour nous, tout de suite tu as accepté de 37% pour ton chéri
- Tu es idiot ou quoi ? Tu viens de dire mon chéri ! Je ne peux pas prendre les mêmes pourcentage, chez vous que pour lui , lui c'est mon bébé.

Auracio

Quant-elle dit cela ho la la, ils m'ont perdu, comment fait-elle pour me manquer à ce point ? Même avec cette petite phrase je suis déjà accro à elle.
Ma chérie, chaque jour qui passe tu me prends dans ta toile, et c'est avec un grand plaisir que je me laisse emprisonner . Merde, je rougis comme un adolescent. Je me racle la gorge, pour parler et enlever cette petite gêne :
- C'est normal qu'elle me fasse un prix préférentiel, ceux qui ne sont pas d'accord peuvent laisser tomber.
Ariane
- Prends au moins 40% , s'il te plaît, s'il te plaît !
- Très bien, Marco, comme tu me l'as si gentillement demandé, Va pour 40% pour toi.
- Et nous alors ? demande Philippe.
- Quoi et vous ?
- Pour ton chéri, tu acceptes 37% pour Marco 40% et moi alors.
- Toi ? Je croyais que tu ne pouvais pas me blairer !
- C'est un bien grand mot, je t'aime bien tu sais.
- Oui je sais, moi aussi je t'aime bien, alors pour toi, grâce à ce mot gentil, je te prends 39% .
- Ce n'est pas juste, c'est de la discrimination, je ne veux pas, dis Marco.
- Bon ça va, c'était juste pour vous chahuter un peu. Pour tout le monde je prendrai 37% . Alors combien chacun Va mettre sur la table ?
- Moi, je vais commencer avec 50 000 000 comme ma copine dit Marco.
Je vois Marianne qui rougis violemment.
Elle est devenue accro.
- Très bien Marco , et toi Fernando ?
- Je te fais confiance et t'avance 100 000 000 pour commencer.
- Très bien et toi Philippe ?
- Je me mets entre les deux, je t'avance 75000 000 € .
- Très, bébé, j'aurais besoin des services d'un avocat pour mes affaires est ce que, tu peux me donner un nom ? Je ne veux pas d'un avocat qui travaille déjà avec toi
Non, je veux un avocat individuel qui ne travaillera que pour moi.
- Très bien, tes désirs sont des ordres, ma chérie.
- Quand tu me parles comme ça je fonds carrément.
- J'aime entendre ça !
- Ça suffit maintenant les tourtereaux, vous n'êtes pas seuls .
- Philippe, pourquoi es-tu si jaloux ?
- Je ne suis pas jaloux !
- Bien-sûr que si !
- Bien-sûr que non !
- Bien-sûr que si !
- Bon ça suffit vous deux, merde, vous ne pouvez pas faire deux minutes sans vous accrocher ?
- De quoi je me mêle ? Philippe et moi parlons ensemble !
- Ho toutes mes excuses !
- On t'excuse , mais prochainement, laissez-nous à nos querelles, ce ne sont pas vos oignons .
- Très bien, mais, arrêtez de fatiguer nos oreilles avec vos querelles de vielles femmes.
- Philippe, tu sais que mon bébé est très jaloux ! On va devoir faire attention !
- Tu as parfaitement raison, ma douce.
Auracio intervient instantanément :
- Ho là, Personne n'a le droit de l'appeler comme ça, même si tu es mon frère, je ne te le permets pas.
- Désolé , monsieur le jaloux.
Après trente minutes de bavardages, nous décidons d'aller, maintenant dans ses clubs pour danser et en profiter pour voir si tout va comme d'habitude.
Nous montons dans notre carrosse, vingt minutes plus tard, nous sommes arrivés dans son plus grand club, il est vraiment énorme, c'est gigantesque,
et moi je sors avec le propriétaire de cet endroit phénoménal , je me sens pousser des ailes. Je m'accroche à son bras pour
montrer à tous qu'on est ensemble.
Il baisse la tête et souris, comprenant ce que j'essaie de faire, il m'arrête au beau milieu de du hall où tout le monde passe
et s'abaisse pour l'embrasser passionnément, je réponds à son baisé avec toute l'intensité dont j'ai connaissance .
- Satisfaite ? Maintenant tout le monde sait que je suis à toi.
- Et j'aime ça, que le monde sache que tu m'appartient , j'aime bien cette idée.
- Allons-y.
Nous montons à l'étage pour une plus grande visibilité, et c'est là aussi que se trouvent les bureaux, de mon bébé.
Mais nous ne partons pas dans ses bureaux Non nous partons dans la partie VIP, de notre perchoir nous pouvons voir tous ceux qui entrent et qui sortent, les danseurs sur la piste, les serveuses qui se déhanchent en passant de table à table pour débarrasser ou pour servir.
Je vois venir à notre table, une très belle femme, elle est vraiment magnifique,
j'en suis jalouse,
- Bonjour la morte, qu'elle honneur de vous recevoir aujourd'hui ,
elle salut les hommes et fait comme si nous les n'existons pas.
- Bonsoir, Natalia, je te présente ma fiancée, Ariane.
Elle reste, surprise un moment avant de se reprendre, un but pour moi, pétasse.
Tu connais mieux ta place, bonsoir monsieur, bonsoir monsieur, comme si je n'étais pas là , sale pétasse.
- Excusez-moi, mademoiselle, soyez les bienvenus.
- Tu n'as pas à me souhaiter la bienvenue, puisque je viens chez moi, ce qui est à mon fiancé est à moi ! N'est-ce pas bébé ?
- Bien-sûr, mon ange, tu as toujours raison.
Elle reste la bouche ouverte, déroutée par le ton doux qu'il emploie avec moi.
Oui, tu dois connaître ta place sale pétasse, c'est moi la patronne.