l'attraction du mafieux

Sale pétasse

Sale pétasse

Ariane
Elle reste la bouche ouverte, déroutée par le ton doux qu'il emploie avec moi.
Oui, tu dois connaître ta place salle pétasse, c'est moi la patronne.
- Bébé qu'est ce que nous buvons, je le dis en touchant son col , caressant son cou .
- Que veux-tu boire, mon ange ?
Je prends cet air si candide, tout ça pour montrer à l'autre que je suis le bébé, le cœur de son patron. Et lui, il me le rend si bien ! J'ai l'impression qu'il me comprends, quand je veux monter aux autres ma place de première dame, il me la donne, il me mets sur un piédestal devant les autres et j'adore ça !
Je n'y peux rien, je suis comme ça, j'adore faire du cinéma pour un rien, et lui il commence à céder à tous mes caprices, c'est ce que je voulais ! Quelq'un qui supporte ce comportement de merde que j'ai, je sais que je ne suis pas facile, que je suis arrogante , imbue de ma personne, mais c'est ce qui fait de moi qui je suis, je n'ai pas l'intention de changer pour personne, et j'ai trouvé quelqu'un qui me prend telle que je suis.
Quoi demander d'autres ?
- Choisit pour moi bébé ! Je veux quelque chose de sucrée et alcoolisée .
- D'accord, ma chérie , Natalia, apporte nous deux bouteilles de Chivas.
- Très bien monsieur.
- Heu, attends , as-tu déjà couchée avec mon fiancé ? réfléchis bien à ce que tu vas dire, si tu mens , je le saurai .
Elle regarde Auracio, puis me regarde puis le regarde attendant qu'il lui vienne au secours, mais lui, ne lui prêt pas attention , il caresse mon de ses doigts
Il fait comme si, je ne parlais pas de lui avec une tiers personne devant ses yeux
- Je...heu... je...
- Tu vas parler oui ou merde ?
- Non, nous n'avons jamais couché ensemble.
- Jamais ? Je demande en insistant bien sur le jamais.
- Heuu... juste une fois.
- Ha bon ?
Auracio, maintenant me donne de petits baisers dans le cou , mine de rien.
- He bien sache que s'était la dernière fois que tu voyais sa queue, espèce de pétasse, fou le Camp d'ici, et dépêche toi d'apporter ma boisson.
Je me tourne maintenant vers cet Abruti
- Bébé, dis-moi, pourquoi ta queue aime fouiller dans tous les trous .
- C'était avant toi, ma chérie, mais maintenant que tu es là, je vais bien rester tranquille.
- Je l'espère pour toi, si non, je vais raccourcir, ce troisième pied.
- D'accord chefs, je suis à vos ordres pour tout ce dont vous aurez besoin.
Il le dit en me caressant le dos, me donnant des frissons d'anticipation .
Elle s'en alla en se déhanchant comme un verre de terre , pétasse, toutes les femmes sont des pétasses pour moi, surtout si elles sont belles, ou plus belles que moi. La vérité est que je suis jalouse des belles femmes, je veux être la plus belle de toutes.
Notre boisson arrive, les deux bouteilles de Chivas sont pour Marianne et moi alors que les garçons ont pris quelque chose de plus fort.
A côté de notre table se trouve une petite piste de danse, à la moitié de ma bouteille, je suis un peu éméchée, je me lève pour danser un avec Marianne que j'encourage à danser avec moi. Nous dansons, nous nous déhanchons sur une chanson de Shakira que j'aime bien.
Je vois Auracio obnubilé par mes déhanchement, ses yeux pervers sont fixés sur mes fesses, ils sont remplis de désirs inassouvis .
Après deux heures de fou rire, de danse
de taquinerie, nous rentrons enfin à la maison, je suis euphorique, état dû à l'alcool, dans la voiture on s'embrasse sans pudeur, j'ai tellement chaud, monte sur lui pour me frotter contre sa boss, et lui a l'air d'apprécier, caresse mes grosses fesses, je gémis contre sa bouche .
- J'ai tellement envie de toi ! dépêche toi d'arriver à la maison, je vais te baiser comme une folle.
Il éclate de rire, c'est la première fois que je le vois rire aux éclats, c'est tellement rafraîchissant !
- Pourquoi, ris-tu?
- Tu es si, innocente, si rafraîchissante !
Si spontanée, j'aime ça chez toi, tu n'es pas hypocrite ! Tu aimes ou tu n'aimes pas, ne change jamais pour personne, même pas pour moi !
- C'est si beau ce que tu me dis !
- Les amoureux, ça va nous avons compris, nous qui sommes célibataires qui allons dormir seuls se soir.
- Ho, la ferme Philippe, nous le disions ensemble sans , nous tourner vers lui, car nous savons que c'est lui qui aime toujours se plaindre.
Nous arrivons enfin à la maison, je sors en me dandinant, trop soûl, il m'attrape par la taille, et nous partons vers notre chambre. On s'embrasse paresseusement, l'alcool à rendu mes gestes moins rapide . Il me Jette sur le lit
et comme à de déshabiller. J'en fais de même, je me retrouve nue, il s'arrête un instant pour contempler ce corps de rêve
avec lequel il va jouer dans les secondes qui viennent . Pour l'exciter plus, je commence à me toucher , il émet grognement, qui me fait glousser, j'ouvre grandement mes cuisses, lui laissant voir, mon sexe bien humide qui n'attend que lui.
- Hoo Bordel, en un seconde il se retrouve nu et me saute dessus , sans plus de cérémonie, il s'enfonce bonnement en moi.
- Haaaaa, bébé...
- Oui, ma reine...dis moi...ce que tu veux.
J'attrape ses cheveux que je tire pour sonder nos lèvres dans un baisé bestial.
- Baise-moi, comme il faut, bébé, j'ai besoin de toi, humm....oui....oui.... comme ça....hooo....mon dieu....
Il me baise sauvagement, il me prend une jambe qu'il met sur son épaule et vise un angle comme un tireur d'élite , il tape dans le mil, encore et encore, mon navire chavire dans un éboulement de
d'émotions tourbillonnantes .