l'attraction du mafieux

Ne regarde pas mon homme

Ne regarde pas mon homme

Ariane

- Je vois, tu sais pourquoi, il ne t'a pas appelé ? C'est parce que maintenant il est en couple avec moi, alors tu comprends maintenant pourquoi je t'ai posé la question ?
- Oui madame, j'ai compris, mais s'il vous plaît, ne me frappez plus.
- Tu pense que tu as droit à la parole ?
Je lui donne un autre coup , elle pleure, elle supplie.
- Je vous en supplie vous avez raison, je direz plus rien.
- Je vais te donner un choix : Soit tu restes ici pendant deux jours, et je passe de temps en temps pour te donner quelques fouets où, tu restes à mon service pendant une semaine, et pendant ces une semaine tu seras ma bonne à tout faire, tu feras tout ce que je vais demander. Tu choisis tu restes ici ou tu montes avec moi ?
- Je vais venir avec vous madame.
- Très bien, pétasse .
Je l'a détache , et me tourne vers mon chéri, tu as quelque chose à dire concernant son nouveau poste pour la semaine ?
- Non madame, c'est vous le chef , je n'ai rien à dire.
Je souris, qu'il peut être blagueur parfois.
- Suis moi , et ne traine pas, ce n'est parce que tu es blessée que tu seras au repos, vas te rincer, et tu portes une uniforme de servante, après retrouve moi où que je sois, je te donne trente minutes
si dans trente minutes, tu ne me retrouve pas, tu auras dix tours de la propriété à faire à quatre pattes, car j'ai l'impression que tu apprécies être à quatre pattes.
- Je vais me dépêcher madame.
- Tu vois ! Quand tu veux, tu peux être polie . Tu ne réponds pas ? Tu ne me dis pas merci pour t'avoir complimenté ?
- Si, merci beaucoup madame, vous êtes très gentille.
- Bon on y vas ? Il se fait tard, et j'ai une faim de loup.
Nous montons pour aller dans la salle à manger, je vais me laver les mains.
- Tu vois ce que je te disais ? me demande Marianne, quand je te vois faire ça, j'ai peur de te mettre en colère.
- Tu sais que je ne ferai jamais de mal à ma sœur ! Je t'aime trop pour ça
- Ariane, tu me surprend de jour en jour, dit Fernando, je commence à sérieusement avoir peur de toi, une femme qui est capable de faire ça à une autre femme sans cligner des yeux, c'est épatant .
- Merci Fernando, je prends ça pour un compliment.
- Ça en est un, je te respecte de jour en jour, au début de pensais que, tu étais juste une belle tête vide, ensuite j'ai vue que tu avais du caractère, puis j'ai constaté que dans cette jolie tête se trouve une intelligence surdimensionnée.
Franchement, je suis à tes ordres.
- Merci soldats au repos, tu sais que je ne refuse jamais de compliments, ni qu'on me valorise, j'adore être une déesse, Je suis la déesse de la magnificence : j'ai la beauté et l'intelligence qui va avec, je peux acquérir des informations partout dans le monde sans me déplacer.
Arrivé dans la salle à manger , chacun s'installe à sa place , puis nous commençons à manger .
Dix minutes plus tard, la momie arrive .
- Tu as été rapides, Assis-toi à mes pieds.
Elle s'assoit à à côté de moi, par terre à quatre pattes, je dépose un couverts devant elle, et de temps en temps lui jette un morceau de poisson ou encore une petite salade. Au début elle se fige, ne comprenant pas ce qui se passe, elle soulève la tête me regardant, suppliant pour que, ce ne soit pas ce à quoi elle pense.
- Dépêche toi de manger, sinon c'est avec ta bouche que tu vas d'abaisser pour pour prendre ta nourriture.
Elle se dépêche de prendre la nourriture avec sa main pour manger .
Les autres font comme s'ils ne voyaient rien. La vie dans cette maison est très intéressante. Je m'amuse bien.
Je jette un œil par terre, et je l'ai vu en train de regarder Auracio, les larmes aux yeux. Je lui tape derrière la tête.
- Qu'est-ce que tu regardes comme ça ?
Tu n'as pas encore appris la leçon ?
Tu ne regardes pas mon homme ! tu crois qu'il va te venir en aide ? Auracio, veux-tu que je la libert ?
Je pose la question, en le regardant droit dans les yeux, malheur à lui s'il répond par l'affirmative.
- Bien Sûre que non ! Je te l'ai dit : tu peux prendre toutes les décisions que tu veux dans cette maison, tu es la maîtresse de maison, je n'ai pas l'intention d'intervenir dans cette histoire
En plus tu as bien raison de défendre ton territoire. Ça me montre que tu es jalouse.
- Bien-sûr que non, je ne pas jalouse.
- Ho que si.
- Bien-sûr que non. Trêve de plaisanterie
Si tu le regardes encore je te crève les yeux . Et comme tu peux le constater, il n'en a rien à foutre de toi.
Elle abaisse automatiquement les yeux.
Quand elle sortira de cette maison, elle réfléchira à deux fois avant de venir .
Nous finissons de manger .
- J'ai besoin d'une chaîne et d'un collier pour chien .
Je me tourne vers Auracio, lui et les garçons se regardent.
- Il ya un problème ?
- Non, Auracio répond , je vais envoyer quelques dans le magasin pour chercher ce que tu demandes.
- Merci,mon bébé.
Je me soulève sur la pointe des pieds et l'embrasse sur la boucle. Je le vois rougir, ??? je lui fais de l'effet.
Deux minutes plus tard les la chaîne et le collier arrivent, ils sont tous arrêtez, attendant de voir ce que je vais faire avec , je prends le tout et le lui attache au cou .
- Tu vas faire le tour de la salle à manger
à quatre pattes.