l'attraction du mafieux

Ma pauvre

Ma pauvre

Ariane

Il me baise sauvagement, il me prend une jambe qu'il met sur son épaule et vise un angle comme un tireur d'élite , il tape dans le mil, encore et encore, mon navire chavire dans un éboulement de
d'émotions tourbillonnantes .
Nous respirons à l'unisson, les yeux mi-clos, un sourire aux lèvres, on s'endort , apaisés par nos respiration communes .
Le lendemain, jour de préparatif , pour le départ . Je me réveille les membres bloqués par un gros bois que j'essaie d'enlever sur ma jambe , je pousse le bois qui se met à bouger, qu'est-ce que c'est ?
- Arrêt de me pousser tu vas finir par me mettre par terre !
J'ouvre les yeux et regarde Auracio au bout du lit, le pauvre.
- Qu'est-ce que tu fais dans mon lit ?
- Qu'est-ce que toi, tu fais dans mon lit ?
- Non, c'est mon....
Je regarde bien autour de moi, ce n'est pas ma chambre, ha oui, nous avons fini hier soir chez lui . Je me demande pourquoi on se chamaille depuis que nous avons commencé à coucher ensemble, on a pas encore dormi séparément, sauf que c'est rare de me réveiller collé à lui .
- As-tu bien dormi ?
- Oui, et toi ?
- Avec toi dans mon lit, je dors toujours bien .
Le jour de départ est enfin arrivé , j'arrange mes valises , j'en ai pris trois, Auracio aussi, je me demande de lui a moi qui aime s'habiller, c'est la première fois que je vois un homme faire aussi attention à son style d'habillement . Avec tous ses montres, ses chaussures, cravates costumes , il a plus d'habits que moi qui aime tant la mode, maintenant que j'ai les moyens, je ne vais plus m'en privée , dans quelques mois je deviendrai comme lui, avides de mode .
Nous partons à deux avec juste six gardes du corps, c'est un voyage de deux jours . Je vais embrasser Marianne et les garçons, je dis à Marco de bien prendre soin de ma sœur , il sourit et accepte.
Ils nous accompagnent jusqu'au Jet, nous leur disons un dernier au-revoir avant de monter.
Nous atterissons en Russie quelques heures plus tard .
Nous sommes arrivés en Russie, il faisait un froid glacial, nous descendions du jet
Le manoir de son cousin est loin de la ville de Moscou. heureusement, qu'il à un petit aéroport privé qui n'est pas loin de sa demeure . les Suv noirs nous attendent , il est venu accueillir son cousin , ils se font une accolade, puis
Auracio nous présente :
- Cousin, je te présente ma fiancée Ariane.
- Ariane, voici mon cousin et le parrain de la mafia russiane, Alexandre Belinski.
Il me tend la main pour me saluer, j'en profite pour bien l'observer, entre lui et Auracio, je ne sais pas qui est le plus redoutable, il a l'air froid, avec un visage qui même s'il essaie de mettre un sourire dessus est figé.
- Enchanté Ariane , soit la bienvenue en Russie et par la même occasion dans la famille.
- Enchanté, monsieur.
- Nous sommes en famille, tu peux m'appeler Alex.
- D'accord Alex .
- Suivez-moi
Nous montons tous dans la même voiture .
En dix minutes, nous sommes arrivés chez lui, la demeure est austère, sa démontre la personnalité du propriétaire.
Dans cette grande maison, au milieu du salon, une très belle jeune femme, d'à peu près mon âge, est assise en train de regarder les infos.
- Viens ici, ma chérie que je te présente à mon cousin .
- Auracio, je te présente ma femme, Angèle.
- Ma chérie, je te présente Auracio, mon cousin mais aussi le parrain de la mafia italienne, et notre partenaire, pour la construction, d'un nouveau quartier en Italie , voici sa fiancée Ariane.
- Enchanté
- Soyez les bienvenus
Nous nous faisons des bises.
- Enchantée , tu es très belle Angèle.
- Merci
Nous nous regardons, une connexion vient de s'installer entre nous, elle me plaît bien, mais elle a l'air très timide, je voudrais bien la tirer de cet état . Ariane
reste à ta place tu viens d'arriver, ne te fais pas remarqué, donne une bonne impression de toi , je me répète ça mentalement pendant longtemps .
- Suivez-moi, je vais vous montrer vos quartiers.
- Et si on se tutoie, ce serait mieux, surtout si nous faisons partie de la même famille.
- Tu as parfaitement raison, suis-moi.
Son mari et Auracio se suivent dans son bureau je crois, nous partons dans l'endroit où nous serons logés pour la durée de notre séjour, les employés nous apportent nos valises .
- Merci beaucoup, Angèle, j'espère qu'on deviendra amie.
- Je l'espère aussi, j'aimerais avoir quelqu'un plus proche de moi que mon amie qui est restée en Amérique pour parfois écouter mes états d'âme .
- J'adorerai remplacer ton amie de temps en temps . Tu me donner ton contact, je te file le mien, ainsi nous serons toujours en contact.
- Je veux bien.
Nous nous échangeons nos contacts , je l'enregistre en temps qu'amie n. 2 .
Elle me laisse prendre ma douche , je me change quand elle frappe à la porte. Je lui demande d'entrer, elle rentre avec un plateau de nourriture.
- Ton fiancé et mon mari son en plein discussion dans son bureau, J'ai décidé de t'apporter quelque chose à grignoter.
- Merci, c'est très gentil de ta part . Dis-moi si ce n'est pas trop indiscret, comment a été votre mariage, en fait je me demande si ton mari est comme mon fiancé, s'il ne connait rien au romantisme
Elle me fait un sourire crispé, avant de me répondre :
- Tu as parfaitement raison, sauf que j'ai
été obligée de me marier , ça ne fait même pas plus d'une semaine.
- Quoi ? non ? ce n'est pas vrai ? Ho mon dieu ! comment vas-tu avec tout ça ?