Je m'aime et je l'assume

3.3K 83 5
                                    

Je m'aime et je l'assume

Ariane

- Salut à tous, comme il l'a si bien dit, je suis la maîtresse de maison, mais tout ce qui est en rapport avec la maison voyez le avec ma sœur ici présente .Car moi je suis occupée à faire autre chose.
- viens ici, Irina, Ariane je te présente
ma gouvernante, elle travaille avec moi depuis des années, j'espère que vous allez vous entendre.
- Bonjour Irina, enchanté de faire votre connaissance.
- Merci beaucoup, Irina, ce sera un plaisir de travailler avec toi.
- Moi de même madame
- S'il te plaît, pas de ça entre nous, j'ai l'âge de ta fille, tu peux m'appeler Ariane .
mais pour les autres c'est madame.
- Maintenant, ma chérie nous pouvons repartir à nos occupations.
- Et quelles étaient ses occupations ?
je demande en lui lançant un regard suggestif. Il se colle à moi, les mains sur mon ventre, le visage dans mon cou, me faisant un sucon .
Après notre petite occupation, nous sommes allés nous laver puis, ont s'est habillé pour sortir, au restaurant, aujourd'hui, c'est jour de sortie.
J'ai porté l'une des nouvelles robes achetées par Auracio, elle est vraiment magnifique, avec un décolleté plongeant mettant en valeur ma poitrine ainsi que mon postérieur . La robe est toute noire avec une traînée de couleur rouge sur les
bordures , je porte des escarpins rouges pour marier le tout .
Mon chéri à porté pour une fois, juste une chemise très élégante qui n'enlève rien à son charisme et sa puissance.
Quand nous nous regardons, chacun déshabille du regard l'autre, Il est si beau
- Tu es magnifique me dit-il.
- Merci, tu n'es pas mal non plus.
Nous prenons l'ascenseur, pour retrouver les autres à l'entrée .
- Marianne, que tu es magnifique ! ce ensemble te va à ravir.
- Merci beaucoup, ma chérie, toi, tu es belle comme d'habitude.
- Merde, ça veut dire que je n'ai pas fait d'effort, si, je suis comme d'habitude !
- Bien-sûr que non, je me suis mal exprimée, tu es plus belle que d'habitude
car, malgré ta beauté habituelle, tu es plus époustouflante ce soir !
- Je préfère ça.
Elle est arrêtée à côté de Marco, et je remarque qu'elle est très gênée, pourquoi ? Je n'en sais rien . Je m'approche d'eux et dis à l'oreille de Marco pour que personne ne m'entende :
- Je t'ai à l'oeil, si jamais tu fais souffrir ma sœur, je vais te kouik ...
Je fais un geste à la main pour qu'il voit comment je vais m'occuper de ses bijoux de famille, s'il ose faire souffrir ma sœur.
- Je n'oserais pas faire souffrir, ta sœur, je sais de quoi tu es capable, je ne vais pas oser.
- Je n'aime pas cette réponse, tu ne lui feras pas de mal car tu tiens à elle ou tu ne lui feras pas de mal Parce que tu as peur de moi ? Tu vois la nuance ?
- Oui je vois ce que tu veux me montrer.
Nous montons tous dans la limousine
qui nous conduit hors du domaine .
Nous parcourons des kilomètres avant d'arriver au grand portail en fer . Je ne savais pas que c'était aussi grand, ici à l'entrée, les gardes sont plus nombreux.
- je ne savais pas qu'il y avait autant de gardes que ça, mon bébé tu sais que tu dois me visiter tout ce endroit, je ne connais même pas bien où je vis.
- Tu as raison, à notre retour ne voyage, je prendrai tout une journée pour bien te montrer tout le château, même les plus cachés.
Philippe et Fernando sont juste en face de nous, alors que Marianne est juste collée à moi et Marco est assis à côté de Auracio . Je vois bien ces regards que
s'envoient ses deux là, j'espère qu'il ne l'a fera pas souffrir, elle fait tellement vite confiance aux gens, elle ouvre son cœur
tellement vite, qu'elle est très vite blessée quand ça se passe mal .
Moi je préfère la prudence, je garde mon cœur dans un coffre fort, impénétrable.
Je n'ai pas envie de souffrir comme ma mère a souffert, je n'ai pas envie d'avoir mal dans ma poitrine comme toutes ces femmes dans le monde qui passent leur temps à pleurer à cause des hommes infidèles , arrogants et fièrs de leur méfaits, J'ai horreur de ses hommes, immatures et sans morale , qui passent leur temps à tramper leur queues dans tous les trous qu'ils voient .
Nous arrivons au restaurant, le chapitre vient nous ouvrir la porte .
Auracio descends et me tend la main, je l'a prend et descend à mon tour, ce restaurant est magnifique, et si beau.
On nous conduit à une table, les regards nous suivent, les femmes regardent nos hommes comme de la viande, alors que
les hommes eux sont à nos pieds, je veux dire surtout à mon pied.  J'adore toute cette attention dont je fais l'objet.
Oui, tous me regardent et j'aime ça, je ne suis pas hypocrite, je sais que je suis égocentrique , je sais que je l'aime beaucoup .  Qui ne s'aime pas ? Si tu ne t'aimes pas, les autres t'aimeront moins.
Si tu ne te valorise pas, les autres te piétineront , pourquoi ? Parce que personne ne t'aimera plus que toi-même.
Personne ne te defendra plus que toi-même . personne ne prendra soin de toi plus que toi-même . Aimes-toi et assume-le . j'ai horreur des faux semblant, j'ai horreur des hypocrites, de ce qui disent ça et font autres choses quand les gens ont le dos tourné.
Oui je m'aime et je l'assume, si tu ne t'aimes pas ,  eh bien, c'est tant pis pour toi . Moi , oui moi, moi, moi , car c'est moi d'abord et les autres viennent après.
La charité bien ordonnée commence par soi-même ! vous pensez qu'ils ont trouvé où cette phrase ! Oui, je m'aime , et l'assume .

l'attraction du mafieux Où les histoires vivent. Découvrez maintenant