L'aigle royal
Je me rends dans ma chambre pour prendre une douche rapide, puis je vais dans mon bureau avec toujours cette image,ce visage dans la tête.
je retrouve Mario qui est concentré sur des dossiers en attente.
- Tu es sûr que "la morte" a accepté le cadeau, qu'il n'y aura de représailles.
- Non tout va bien, nous avons parlé, tout est rentré dans l'ordre.
- Que penses-tu de la proposition du "Sanguinaire"?( le sanguinaire est le chef de la mafia américaine).
- Je pense qu'il doit revoir à la hausse son prix, tu sais que cette nouvelle drogue sera très prisée en quelques mois, et lui ,il veut avoir le monopole de la revente, tu sais que si c'était par appel d'offre c'est celui qui mise le plus qui prend. Mais il ne veut pas concurrent sur ce marché et ne veut pas allonger le bras.
- Tu n'en as pas parlé à " la morte" (le chef de la mafia italienne) ?
- Non,ces deux-là sont trop impulsifs , et prétentieux ,ils seront capables de faire un concours de qui a la plus grosse .
- comme toi ? en fait.
- il sera dans la dans deux semaines pour voir le produit, et le tester.
Je prends mon portable pour regarder encore les photos de la jeune fille, elle est belle, très belle elle éveille quelque chose en moi que je ne saurais décrire ma mamia, cette poitrine voluptueuse ,ce ventre plat qui contraste avec ce bassin large et ces fesses qui appellent a être fouettées , j'avale ma salive.
Bon,il faut y aller,c'est l'heure.
- On a encore un peu de temps, tu sais.
- Tu n'as pas quelqu'un d'autre à charrier ? Je t'attends dans la voiture.
Je sors de mon bureau, longe le couloir pour aller vers l'ascenseur pour aller au troisième étage car mon manoir a cinq étages repartis comme suit : le premier est pour les domestiques et les gardes troisième rang,le deuxième étage est pour la cuisine,la buanderie et salle de jeux, le troisième étage est pour mes deux maîtresses,le quatrième étage est pour mon bureau avec plusieurs bureaux et salle de balle pour les fêtes.
Le cinquième étage est mon ancre, ma chambre, personne n'y rentre, sauf moi même pas mes maîtresses. Pendant le nettoyage je suis présent jusqu'à ce que ça finisse, Je referme l'étage,on ne peut y accéder qu'avec mon empreinte digitale.
l'espace du troisième étage est reparti en deux parties pour chaque maîtresses à gauche pour "Aïcha" ( une femme arabe que je ramené d'un voyage au Maroc) et à droite "Jennifer" que j'ai ramené des états unis.
Je rentre dans la suite d'Aïcha , qui sort de la douche et vient me embrasser mes pieds en guise de salutations,
- soit le bienvenu maître,
Je l'a relève lui donne un baiser sur le front.
- Comment vas-tu ? Dis-je en l'a fessant assoir sur mon pieds, dénudant ses magnifiques seins, que je commence à caresser, elle ferme les yeux et répond
- Je vais bien maître sauf vous m'avez beaucoup manqué.
Je presse ses seins,pinçant ses tétons, elle gémit, je remplace mes doigts par mes lèvres, mordant, tirant les tétons
- Oui maître, ne vous arrêtez pas, s'il vous plaît.
Je la renverse sur le lit : elle me donne dos,les cuisses écartées,les fesses en l'air, j'aperçois son cu ,sa Chatte épilée qui suinte son envie de baiser. je prends un préservatif dans le tiroir, que j'enfile rapidement avant de l'empaller brutalement, elle crie, s'agrippent au drap
Je lui donne des coups de reins de manière effrénée, elle crie son plaisir, je lui donne une bonne fessée :
- La ferme, je ne veux pas t'entendre.
- Pardonnez moi maître.
Je continue à la baiser et l'image de cette fille me revient en tête, j'enfonce sa tête dans l'oreiller, lui donne plusieurs fessées, elle couine, j'imagine que c'est cette inconnues que je baise, je ferme les yeux et imagine ses grosses fesses entre mes mains,je m'enfonce encore plus dans sa fente et éjacule. Puis me retire rapidement avant d'aller me nettoyer dans la douche et jeter le préservatif rempli.je ressort sans lui jeter un œil. je ne me soucie pas de savoir si elle a joui ou non je ne suis pas d'humeur pour ça aujourd'hui. il faut que je la vois au plus vite.
je monte dans le véhicule et retrouve Mario déjà installé.
- Je pensais que tu étais pressé, où était tu,tu es allé tiré un coup vite fait.
- Pourquoi me poser la question si tu connais déjà la réponse.
- Tu ne changeras jamais, toi.
- Quoi ? Elles sont là pour ça,me servir quand j'en ai envie. je ne t'apprends rien.
- je sais, tu sais que tu ne rajeunit pas, pense à donner des héritiers à la couronne.
- Si je n'ai pas d'héritier, les tiens seront là.
-Ho non, j'y pense même,mes enfants ne seront jamais à la tête d'une mafia c'est trop risqué, trop dangereux, ils ne vont pas servir l'appât aux charognards.
- Donc, je suis un appât pour les charognards ? Et pourquoi je ne les vois pas ?
- Parce qu'ils te craignent trop.
Nous arrivons à la taverne (appellation donner à l'un de mes immeubles regroupant, un hôtel, deux bars (un où sont les stripteaseuse et l'autre pour les fans de karaoke), une maison close où se font les ventes aux enchères.
Je rentre suivie de Mario.
- Bonsoir monsieur, nous dit une hôtesse
La baronne arrive ( la gérante de mon bordel, elle à une trentaine d'années, elle était une prostituée avant de monter en grade ,elle est très rigoureuse dans son travail, nous envoie de très belles spécimens) .
- soyez les bienvenus messieurs.
Elle nous installe dans mon bureau, nous Sert à boire, elle connait nos goûts.
- faite défiler les nouvelles. Dis-je
Elle ressort et revient avec 18 jeunes filles, mais il n'y a qu'une seule qui m'intéresse.Je la cherche dans le lot, et la vois cachée derrière une autre, apeurée
- pourquoi a -t-elle aussi peur, approche ma belle.
Elle approche, les larmes aux yeux
comment tu t'appelles ? Et pourquoi pleure tu ?
- Je...je..
Elle me regarde et éclate en sanglots.
- Ne pleure pas, dis ce qui ce passe ?
Je vois tout le monde retenir sa respira-
tion. ils sont étonnés de me voir aussi compatissant, moi aussi d'ailleurs.
- je m'appelle Sibelle,
- Belle Sibelle hum....
- j'ai été kidnappé avec mon amie.
- Quoi ?
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Tu es mienne !
Romance- Met toi à genoux, pour baiser les pieds de ton maître Elle s'agenouille pour presser ses lèvres sur mes pieds. - c'est bien,si tu es bien obéissante,tu auras des friandises.Dis-je en caressant ses cheveux. - Maintenant déshabille-toi. Elle commen...