ma rivale

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Karen

- Tu auras besoin de cette plante pour que notre plan se passe bien.
Après ton mariage, tu commences à le faire inhaler, juste trente secondes .Il fera tout ce que tu lui diras de faire, mais fais attention à ne pas te faire prendre.
- J'ai compris papa, tu es sûr que ça va marcher ?
- Nous allons y aller pas à pas, dans un premier temps, tu feras tout pour qu'il aille confiance en toi, ne te fâche jamais contre lui, et s'il a d'autres femmes, ne fais d'histoire, tu sais qu'au finale, c'est toi, son épouse qui héritera de tous ses biens à sa mort, alors tu te fais toute petite et tu attends ton heure de gloire.

Sibelle

- Berta et Olivia, seront toujours avec toi,
à partir de maintenant ce sont tes gardes du corps, et tes entraîneurs .
Aujourd'hui tu vas t'entraîner avec moi
Ton entraînement aura lieu quatre fois dans la semaine .
- D'accord monsieur.
Après l'entraînement, nous partons prendre une douche ensemble, hier André m'a apporté, l'effusion des plantes dont elle m'avait parlé, j'ai fais ma toilette avec, ce matin aussi, mais maintenant je ne peux pas le faire en sa présence .
Il commence à me savonner, j'ai l'impression, qu'il prend plaisir à le faire juste pour me pelotonner tout le corps.
Il appui mes seins avec force, il me regarde pour voir ma réaction, je mords ma lèvre inférieure pour ne pas pousser un cri .
- Qu'est ce que je t'ai dis la dernière fois ?
- vous avez dis de ne pas me retenir devant vous.
- Et qu'est-ce que tu viens de faire ?
- Rien monsieur.
Ses mains sont sur mes fesses
- As-tu encore mal ?
- Juste un peu.
Il malaxe, la chaire tendre de mon postérieure .
- Ils sont moelleux à souhait.
Il continue de les appuyer, ses doigts caresses, mes cuisses, d'avance à l'intérieur pour toucher ma fente dégoulinante de ma serve .
- Tout ça, c'est pour moi, c'est pour l'accueil en toi que ton corps secrète toute cette substance et c'est parce que je te fais de l'effet . Dépéchons-nous pour pouvoir bien profiter de cette journée . Il me rince, puis en fait de même pour lui avant de m'emmener dans la chambre pour m'aider à m'habiller . Je ne sais pas quelle Mani il a de vouloir m'habiller comme si j'étais un enfant.
Ensuite, nous descendons à la salle à manger, Aïcha est assise à sa nouvelle place comme d'habitude, monsieur s'assoit à sa place, je prends la place à sa gauche.
- Viens t'asseoir ici.
Il me montre sa droite.
- À partir de maintenant ce sera ta place,
Aïcha tu peux récupérer ta place, Jenifer quant-elle sera rétablie se trouvera une autre place .
Nous commençons à manger, je meurs de faim . Je mange rapidement.
- Doucement, ma chérie, tu risques d'avaler de travers .
J'en profite pour lui dire :
- Je mange vite pour quitter la table, avec ce que Aïcha ma dit quand tu n'étais pas là, je ne veux pas d'histoire.
- C'est quoi cette histoire ?
Je vois le visage d'Aïcha se décomposer.
Qu'est-ce qu'elle croyait ? Que j'allais garder ça pour moi ? Elle apprendra à ses dépens que je n'ai pas ma langue dans ma poche.
- Aïcha, tu m'expliques ?
Elle bafouille maintenant, elle qui parlait avec prétention, n'est plus qu'une chenille qui tremblote.
- Heu... je.. je ne lui ai rien fais, je vous jure monsieur.
- Je sais que la cohabitation entre femmes est assez complexe, mais j'ai surtout horreur des manipulateurs, des menteurs et des sournois . Je te garde à l'oeil, si jamais ! Je dis bien si jamais,
j'entends que tu as manqué de respect ou l'indisposer d'une quelconque manière, que ce soit, tu goûteras à ma fureur . C'est la dernière fois que je te mets en garde . Je jubile, il me faut les chasser d'ici une à une, si je suis obligée à rester avec lui, à supporter ses caprices, ce n'est surtout pas pour le partager avec d'autres, sauf sa femme, mais un jour viendra où il faudra que je m'occupe d'elle .
- Viens sur mes cuisses .
Je me lève en lançant un petit coup d'œil à ma rivale, mais elle a la tête baissée .
Je m'assois sur ses cuisses, et il commence à me donner à manger.
- Tu dois bien te nourrir, car je ne veux pas voir fondre tous ses rondeurs appétissants .
- D'accord monsieur
Il continue de me nourrir et de se nourrir avec la même fourchette.
- Qu'est-ce qu'on va faire aujourd'hui ?
Nous allons passer la journée au travail
dès qu'on finit, nous prenons la voiture pour y aller.
Je dois recevoir, un client important à la fin de la semaine, Aïcha tu t'occupes de bien m'installer.
- Bien monsieur.
- Pourquoi tu as cette mine de déterrée ?
- Pour rien monsieur.
- Alors change-moi ça rapidement.
Elle affiche un sourire crispé.
- Mieux que ça , si tu ne veux pas faire un tour dans la salle de torture .
Pendant un instant, elle se fige pour ensuite sourire de tous ses dents.
- C'est beaucoup mieux ainsi.
Nous finissons de manger, me mets devant lui pour que nous allons au travail
Je ne comprends pas c'est qui connait le chemin mieux que moi, pourquoi c'est moi qui dois passer devant.
Je fais deux pas et m'arrête.
- Pourquoi tu t'arrêtes ?
- Heu, je ne connais pas bien le chemin.
- Ça n'a pas d'importance, marche devant pour que je puisse me délecter des balancement de tes hanches.
Je rougis comme une tomate , et commence à marcher devant lui, il est malade cet homme.
- Prenons d'abord l'ascenseur pour aller récupérer des documents dans mon bureau, ensuite nous allons au parking pour prendre le véhicule adéquat.
- D'accord monsieur.
Je continue d'avancer, je sens son regard pervers sur mon postérieur.

Tu es mienne !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant