Tu es mienne !

ils m'ont empêché de..

Sibelle

- Ma mère me l'a apprise, elle l'a reçu de sa grand-mère.
- Merci pour les conseils, je dois aller me coucher, demain j'ai rendez-vous avec sa secrétaire pour aller à l'entreprise.

L'aigle royal

Je monte dans mon Jet pour aller dans la forêt où se trouvent mes plantations et mes installations, où un incendie s'est déclaré, mais il est d'origine criminelle. Qui est assez fou pour s'en prendre à moi ? Mon siège de transformation se trouve dans la jungle, qui s'appelle la Sierra Madre del Sur , qui fait partie de la jungle mexicaine .

Les jungles mexicaines sont les forêts tropicales les plus septentrionales du continent américain. Elles commencent aux alentours de la latitude de Mexico et se dirigent vers le sud à des altitudes plus basses.

Un quart de la superficie totale du Mexique est constituée de terres forestières, et le pays compte le plus grand nombre d’espèces de pins et de chênes au monde. Parmi les autres arbres remarquables, citons l’acajou, le sapotier et le ceiba (également appelé pochote), l’arbre sacré des Mayas.

Les jungles du Mexique bénéficient de précipitations toute l’année, ce qui permet à ces endroits d’avoir des plantations luxuriantes. Ces jungles ont différentes strates, dans chacune d’entre elles il est possible de voir la différence de végétation. Dans les strates les plus élevées, nous trouvons les grands arbres de 45 à 60 mètres ; et dans les strates inférieures, où la lumière est rare, nous trouvons les plantes grimpantes, les buissons, les branches et les plantes ligneuses. Ce qui est favorable pour mes plantations .

Isolées du milieu environnant en raison de leur niveau altitudinal et de leurs pentes abruptes, les forêts tempérées de l’écorégion de la Sierra Madre del Sur ont récemment été considérées comme un centre unique d’endémisme et de biodiversité. Ce qui me permet d'être bien caché et difficile à trouver.

Je descends du Jet, et nous prenons deux quatres-quatres , car nous sommes six : mon bras droit, ses deux seconds et
deux éléments de confiance.
Nous arrivons sur le site de l'incendie qui a été maîtrisé, heureusement il y a eu peu de dégâts.
- Qu'est-ce qui s'est passé ici ?
Le chef du chantier tremble, il sait qu'il à faillit , chez moi, il n'y a pas de seconde chance.
- Le feu a commencé au moment où l'on attendait la relève suivante.
- Quels sont les gardes qui étaient là ?
Je veux voir tout monde ici, les présents ainsi que les absents.
Les minutes qui suivent ils sont tous là, alignés en face de moi.
- Faîtes un pas en avance ceux devaient prendre leur garde.
Dix personnes sortent du rang.
Je prends mon arme, et commence à jouer avec, je passe devant eux, je les observe méticuleusement, je sais que le traite va se trahir, d'une manière ou d'une autre. Je suis en colère, très en colère .
De un : ils m'ont empêché de baiser, de deux : ils font mal leurs travail, de trois, nous avons une top parmis nous.
Je remarque un élément qui a les yeux fuyant, forcément il se reproche quelque chose, mais quoi ?
- Je sais que nous avons une top parmis nous. Qu'il se designe maintenant, sinon il mourra dans d'atroces douleurs .
Je le vois que deglutit difficilement. Je m'approche de lui, et lui tire dans la jambe , Il pousse un cri, s'attrape la jambe, se tortille en pleurant.
- Qui t'a payé pour faire cela ?
Il tremble littéralement,
- Je vous jure que ce n'est pas moi.
- Amenez-le dans la cabane. Nous verrons bien si c'est le même discours que tu vas tenir dans quelques heures.
Vous qui étiez de garde, pourquoi vous n'avez rien remarqué ? vous croyez que je vous paye pour quoi ? Pour venir vous branler ici ?
Je reprends mon arme et leur tire à chacun une balle dans le pied.
On n'entend que des cris, de mes hommes.
- Normalement, vous alliez descendre , de votre garde, mais avec ce qui c'est passé, vous allez rester ici pour continuer la garde pendant une semaine sans être payé avec les autres. Vous avez le choix, soit vous repartez d'ici maintenant, mais les pieds devant, soit vous restez pour prendre comme il faut votre punition . Maintenant, allons voir le traître.
Je le retrouve attaché, déjà bien amoché.
- À nous deux maintenant .Tu sais ce qui t'attend si tu ne coopères pas .
Je m'adresse à leur chef
- Donne moi toutes les informations que tu as sur lui et sa famille.
- Bien, monsieur, il est avec sa copine depuis 10 ans , il ont deux enfants de 9 et 6 ans.
- Très bien, alors, Alvarez, tu veux que j'aille chercher tes enfants et les deperser devant toi ?
- Non, patron, je n'avais pas le choix, ils m'ont menacé, ils kidnappé l'un de mes enfants, je ne pouvais pas faire autrement .
- Alors, tu as préféré me trahir, moi ? Tu as préféré trahir celui qui te donne à manger à toi et ta famille ? Tu as pris la plus mauvaise des décision. Tu aurais pu venir me trouver, on aurait pu chercher à récupérer tes enfants . Tu crois qu'ils vont te le donner ?
Qui t'a contacté ?
- Je ne sais pas monsieur, ils m'ont contactés avec un portable prépayé.
La voix était masqué ils m'ont montré mon fils dans leur main, qu'ils allaient le tuer si je n'exécute pas leurs ordres.
- Donne-moi ton téléphone sur lequel ils t'ont appelé.
Il me tend te téléphone , j'appelle mon spécialiste de l'informatique .
- Rayane, je t'envoie un numéro, essaie de tracer tous les appels effectués par le numéro et trouve à qui il appartient.
- D'accord, Boss , je vous reviens.
Je lui envoie le numéro . Et je me retourne vers le chef de chantier.
- Remettez tout en ordre d'ici la fin de la journée , défaites la peinture, et tout ce qui va avec.