la punition

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Sibelle

Je veux lui jeter ces paroles à la figure mais c'est impossible, ce serait un suicide, je préfère garder tout ça pour moi , si je tiens à ma vie, je dois garder ça dans ma gorge.
Je me couche directement, en fait je suis fatiguée, je m'endors à la minute où ma tête touche le matelas.
Je suis réveillée par un mouvement, je ne sais pas, j'ai l'impression que, je suis pas seule dans ma chambre, je regarde autour de moi, et le vois assit dans un fauteuil à mon chevet , je me redresse et attends qu'il parle.
- Tu as mis du temps à te réveiller. Suis-moi.Je me lève et le suis, il me conduit, dans la chambre des séances, mon cœur commence à battre fort, je sais ce qui va se passer, l'heure de ma punition à sonnée .
J'ai peur, qu'est-ce qu'il va me faire ?
Je commence à avancer très lentement
je ne veux pas rentrer dans cette chambre.
- Je vois que tu prends ton temps, tu ne veux pas avancer plus vite ?
- Heu, non, j'ai un peu mal aux pieds.
Quelque chose à dû me piquer.
Il éclate de rire,
- Tu n'échapperas pas à cette punition.
- Mais, je n'ai rien fais !!!
- Très bien, avance, plus rapidement.
Il prend ma main, et me tire, vers la chambre interdite.
Je cramponne mes pieds dans le sol, ne voulant pas bouger. Il finit par me soulever, et rentrer avec moi dans la chambre interdite.
Il se place devant moi et me dit :

- Met toi à genoux, pour baiser les pieds de ton maître
Je m'agenouille pour presser mes lèvres sur ses pieds.
- c'est bien , si tu es bien obéissante,tu auras des friandises . Dis-je en caressant ses cheveux.

- Déshabille-toi, mets-toi nue,
- Je ne veux pas
Il me regarde interdit
- Je vois que tu veux me montrer que tu en as dans la culotte, c'est avec plaisir que je vais te soumettre à moi, à ma volonté.
Maintenant déshabille-toi, ne me le fait pas répéter.
Je ne bouge toujours pas. Il sourit et prend son téléphone, je sais ce qu'il veut faire, mes parents, merde je n'ai pas pensé à eux.
Je commence à enlever mes habits
- vas-y lentement,je veux profiter, prendre mon temps, tu es magnifique .
À contre cœur je commence à me déshabiller, je prends mon temps, je le déteste, je le regarde dans les yeux, pour lui faire bien comprendre que je ne suis pas vaincue , que je ne me soumet pas à lui.
Il remet son téléphone dans sa poche.
Je finis de me déshabiller, et me tiens devant lui nue, la tête haute.
Il fait le tour, autour de moi, me contemple comme un Bijou, je me sens gêné, il s'arrête en face de moi, s'approche de mes seins arrêtés pointés, vers lui, les caresse du regard, comme s'il leurs parlait, les tétons se dressent à son regard.
- Allonge toi sur ce banc
Je fais ce qu'il me demande .Il se penche
me caresse le dos, descend sur mes fesses, qu'il malaxe de ses deux mains.
Je fais un effort pour ne pas gémir,
- Je vais te donner 15 fessées, que tu vas compter à voix haute. Pour cette fois c'est avec ma paume que je vais tapper , compris ?
- Oui ,
- Oui qui ?
- Oui , monsieur.
- Aujourd'hui je veux que tu m'appelles maître.
- D'accord maître.
Il frappe une première fois, ça fait mal,
je compte :
- un
- Répète après moi : je ferrai tout ce que mon maître me demandera de faire.
Je répète après lui . Il frappe une deuxième fois, je compte :
- Deux
- Répète après moi : je me donnerai à mon maître peu importe le lieu où l'endroit, selon les envies de mon maître .
- Je ne le dirai pas.
- Répète, fulmine-t-il. En frappant encore
- Trois, je ne le dirai pas maître, en appuyant sur le maître. Vous n'avez pas honte ? Vous vous imposez de force à une femme, l'obligeant à vous céder ce qu'elle a de plus précieux, vous n'avez jamais de remords pour tout ce que vous faites subir aux autres ? Vous êtes despotique. Vous me révoltez .
Il éclate de rire,
- Peu m'importe ce que tu penses de moi
Moi, quand je veux quelque chose, Il frappe, je compte
- quatre
Il continue à frapper mes fesses, et je continue de compter , jusqu'à atteindre les 15 fessées, je pleure , j'ai mal, il prend une pommade, qu'il frotte sur mes fesses. À chaque fois que tu t'assoiras
sur tes fesses, tu penseras à moi. Il masse mes fesses, ses mains s'insinuent entre mes cuisses pour caresser l'intérieur et je ferme les yeux, j'aime ses caresses même si ça me répugne de l'admettre.
- Maintenant, je vais te baiser comme il faut,
Il me soulève, et m'emporte dans sa chambre. j'ai les yeux fermés, je ne veux pas le voir. Il marche vers sa chambre moi nue dans ses bras, il me dépose sur le matelas, et va chercher une crème qu'il commence à étaler sur mes fesses.
Je suis étendue sur le lit, le visage enfoui dans le matelas.
Après un moment, il se redresse, et commence à se déshabiller.
Je vois que mon heure a sonnée , il va va me prendre ma virginité. Tout
ce temps que j'ai passé à me préserver, à ne pas me donner à n'importe qui.
Maintenant c'est n'importe qui, qui va me prendre ce que j'ai de plus précieux au monde. Je ne veux pas me donner à lui, mais comment refuser ? Il a la vie de mes parents entre ses mains, ils peut les tuer quand et où il veut. Comment des gens comme ça existe-t-ils dans ce monde, je suis perplexe face à l'injustice
de ce monde.

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