Tu es mienne !

ma récompense

ma récompense

Sibelle

Je vais lui montrer aussi que j'ai quelque chose qu'il convoite : Ma jeunesse , ma douceur et surtout mon cran . Toi aussi tu traineras à mes pieds .
Après m'être retrouver nue , je ne prend plus la peine de me cacher . Au contraire
je m'avance vers lui , lentement , avec cette poitrine qui bouge à chaque pas , je monte lentement sur le lit , la position que je prends lui donne une bonne vision de mes deux seins collés l'un à l'autre .
Me voyant ainsi , prenant tout mon temps pour avancer vers lui lentement , il se lèche les lèvres devenus soudainement sèches . Arrivée à son niveau , je soulève le drap pour me glisser à l'intérieur .
Il se glisse derrière moi et me sert dans ses bras , je sens sa longue queue entre mes fesses .
Je me laisse emporter dans les bras de
Morphée .
Je me réveille ce matin , avec les courbatures de la nuit d'avant hier . Je plus mal aujourd'hui qu'hier . J'étouffe un gémissement quand je me redresse . L'aigle vient de sortir de la douche , il est si beau , mais si cruel . Ça enlève beaucoup à sa beauté !
- Qu'est-ce qu'il y a ? Tu as mal quelque part ?
Je lui lance l'un de mes regard ! Il est amnésique peut-être ? Sinon , il ne m'aurait pas posé cette question . Mais , je ne vais pas le lui jeter au visage . J'ai décidé de faire profil bas , car , je vais m'évader d'ici , je ne vois pas ma vie ainsi : À dépendre des Bon vouloir d'un seigneur de guerre .
Oui , je vais m'enfuir , seule ou avec Andréa . J'attends juste le bon moment .
Dès qu'il se présente , je ne le raterai pas .
- Oui , tout mon corps me fait mal .
- Vas prendre ta douche , à ton retour , je vais étaler une crème spéciale sur le corps . Les douleurs vont disparaitre .
Je me lève péniblement , pour aller me laver , le connard m'observe avec un air moqueur . Si tu savais ! Qui rira bien , rira le dernier . J'espère que tu auras ce sourire quand je m'enfuirai d'ici .
Je reviens dix minutes plus tard , sans prendre la peine d'enlever les gouttes d'eau , je me couche sur le lit . Il vient avec sa crème en question . Il rend mon corps bien sec , avant d'étaler la crème doucement . Il l'a fait pénétrer lentement dans mon corps . Il s'active ainsi pendant trente minutes . Quand , il eu fini
je ne ressens plus de douleur . C'est vraiment magique . Mais je me rends compte d'une chose : Il avait cette crème
et il savait que j'allais avoir mal pendant des jours , pourtant , il ne me l'a pas proposé .
- Tu avais cette crème et tu ne me l'a pas donné ! Pourquoi ?
- À quoi sert une punition , si je dois effacer la douleur juste après ?
Hoo le salaud..Il l'a fait exprès .
- Tu es vraiment tordu .
- Merci .
- Maintenant que ton visiteur est parti , pouvons-nous allez au centre commercial maintenant ?
- Vous voulez aller quand ?
- Demain matin .
- Allez-y plutôt après demain , puisque je serai absent dans la journée , nous nous retrouverons ici le soir .
- D'accord , merci .
- C'est tout ? Je n'ai pas droit à un ba(i)sé ?
Comme toujours , il ne pense qu'à lui , ne peut-il pas faire quelque chose pour faire plaisir à autrui sans rien demander en retour ? Ce serait mal le connaître . Il ne fait jamais rien gratuitement .
Je me lève pour l'embrasser doucement sur les lèvres . Il approfondie le ba(i)sé
avant de me relâcher .
- Tu viens avec moi , nous allons visiter un casino ce matin , nous avons des comptes à mettre au clair .
- D'accord je m'habille vite .
Il descend avant moi , je vais dans ma chambre choisis dans dressing des vêtements . Ce dressing commence à devenir bien petit . Une fois prête , je sors le retrouver dans la salle à manger avec Jenifer . Il appelle une employée qui vient en courant :
- Tu iras après chercher les affaires de Sibelle dans sa chambre pour les envoyer dans ma chambre .
- Bien monsieur .
- Tu peux disposer .
Nous commençons notre repas , je sens que Jenifer veut dire quelque chose , mais elle se retient . Ses yeux vont de lui à moi . Elle ne digère pas la nouvelle , comme si moi j'avais envie d'être là-bas
Après le repas , nous partons dans son bureau , Mario doit être là-bas comme à son habitude . Je me demande comment il fait pour être toujours présent pour son patron comme s'il n'avait pas de vie . Comment arrive t'il à concilier sa vie de famille et sa vie de travail ?
Nous pénétrons dans le bureau , comme je le disais , il est derrière son ordinateur .
- Nous avons à parler l'aigle !
- Que se passe t'il ? Ton ton n'est pas bon .
- J'ai de très mauvaises nouvelles pour toi .
- Accouche !
- Ce serait mieux si nous étions seuls .
- Sibelle , laisse-nous .
Je ressors tranquillement . Quelle est cette mauvaise nouvelle ? J'espère qu'elle ne viendra plus contrecarrer mes plans d'évasions .
Je vais dire bonjour à Andréa . Je la retrouve pour une fois dans son lit chose bizarre .
- Tu es malade ?
- Non , je me suis juste couché tard .
- C'est nouveau ça . Ne me dit que tu as passé la nuit devant ton ordinateur ?
- Non , j'étais avec un beau mec !
- Quoi ?