Tu es mienne !

je suis comblé

Sibelle

- Si tu n'es plus digne de confiance, il vaut mieux que je prenne une autre personne à ta place.
Je donne mon mail, au directeur financier et il m'envoie, les plans comptables .
Je récupère sur mon PC le plan comptable, que le directeur financier m'a envoyé.
Après une heure à engueulé, ses employés nous quittons le bureau pour rentrer à la maison.
Je monte directement prendre une douche, fraîche, je suis épuisée .
Après ma douche je m'allonge un peu pour récupérer . Après une heure trente minutes de sommeil je réveille, et m'habille pour aller dîner.
Mais je pense que cela ne pourra pas être possible, car mon pire cauchemar vient d'entrer dans ma chambre avec à manger pour un régiment, je sais déjà que je ne vais pas descendre, donc nous allons terminer ce que nous avons commencé la dernière fois .
Il pousse le chariot au centre de la chambre, à côté de la petite table installée à cet effet .
Il porte un habit décontracté, ça lui donne un air plus jeune, plus accessible.
Il a retroussé les manches de sa chemise et je peux voir ses bras musclés
ça doit être intéressant de les toucher.
Je rougis à cette pensée.
- Qu'est-ce qui te fait rougir ainsi ?
Je baisse la tête rougissant encore plus.
- Quand je te vois aussi rougissante, je sais que c'est parce que tu as des pensées pas très catholique, et ça me donne envie de sauter le repas. Qu'est ce que tu en penses ?
- Moi j'ai très faim.
- Oui, mais tu as faim de quoi ? De moi ou de la nourriture ?
Merde, il ne marche pas ses mots .
- Approche, viens t'asseoir, nous allons manger.
Je m'assois en face de lui.
- Non, puisque tu ne descends pas pour dîner et moi non plus, nous allons nous mettre à l'aise pour manger. Il se lève, et enlève sa chemise et son pantalon.
- Enlève, ta tenue reste en sous-vêtements, c'est comme ça que nous mangeons aujourd'hui'hui.
Je suis un peu choquée par sa demande.
J'enlève ma tenue, et reste en sous-vêtements , je m'assois à côté de lui, mais il me soulève et me pose sur ses cuisses . Il prend une cuillère et prend la nourriture et la met dans ma bouche, je commence à manger .
- C'est bon ?
- Oui, c'est délicieux.
Il continue à me donner à manger et mange aussi. Arrivé au dessert, c'est du chocolat, il prend la petite cuillère prend un peu, j'ouvre la bouche, mais il pose le chocolat sur ma poitrine, sur la peau nue
puis se penche pour le lécher, je frissonne. Il enlève mon soutien, ensuite il dépose le chocolat sur mon téton gauche, et commence à le lapper , il me mordille la poitrine, je gémis, cette sensation est magique, il reproduit l'opération, encore et encore. Mes mains sont dans ses cheveux l'attirant plus à moi pour approfondir ses touchées.
Je caresse sa poitrine, il retire mes mains :
- Tu n'as pas le droit de me toucher .
Je suis frustrée, il m'allonge sur le divan
arrache mon string, et je me retrouve nue
devant lui. Il étale le chocolat partout sur mon corps, il continue de me lécher tout le corps, arrivé au sous-sol, je ne tiens plus, je suis à deux doigts d'atteindre l'orgasme
Il écarte bien mes cuisses, de sa langue il s'introduit en moi, me bouffant la chatte, je gémis en continu, puis, lappe tout le chocolat qu'il y a dans ma chatte.
Je finis par atteindre la libération, je suis dans un autre monde .
- Tu es délicieuse.
Il remonte en léchant le reste du chocolat que j'avais ça et là . Arrivé sur ma poitrine, il les prend, les colle l'un à l'autre et les dévore ensemble, je ne sais plus où donner de la tête, ma tête bouge de gauche à droite essayant de contenir ces voluptueuses émotions qui m'assaillent , il continue de dévorer mes seins avant de l'embrasser et je suis tellement obnubilée par ce que je ressens que je ne me rends pas compte
qu'il me pénètre de son matos, il faut dire que j'ai été tellement bien préparer que je n'ai ressentis qu'une petite douleur . Il me caresse les seins, comme s'il s'excusait de se désagrément causé.
- Ça va ?
- Oui
Il commence à bouger doucement étirant mes parois internes, les habituant peu à peu à sa présence .
- Merde, c'est si délicieux à l'intérieur de toi,
Il bouge de plus en plus, mes parois se serrent sur son sexe, l'invitant à accélérer . Il comprend le message et s'active à aller plus vite et frappant plus fort, nous gémissons à l'unisson.
- Bordel de merde, ho oui putin, tu es douce comme la soie, et cette sensation unique, magique que je ne peux décrire.
Putain, je n'ai pas envie de jouir, mais c'est tellement bon, putin, je vais, je vais venir, haaaaaaa.
Il me remplit de son jus, il continue de me combler jusqu'à ce que je jouis à mon tour dans un éclatement d'étoiles,
je ferme les yeux pour savourer cet instant, je me rends compte que j'ai des larmes aux yeux, je suis émue par ce qui m'arrive, je ne comprends pas, je ne connais pas cette sensation unique qui m'anime . Il se retire doucement, son jus coule de moi, il se place au dessus de moi, se tenant sur son coude, il me regarde dans les yeux .
- Tu as été merveilleuses, formidable, je..
je n'ai pas de mot, je suis comblé au-delà de mes attentes, j'ai hâte de recommencer .
Il m'embrasse passionnément, sa langue plonge dans ma bouche, attrape la mienne dans une danse harmonieuse.
Il se lève , pour aller se rincer et reviens vers moi avec des lingettes.
- Je voudrais prendre une douche ou un bain.
- Très bien, je vais nous faire couler un bain, cela te fera du bien.