Tu es mienne !

rouge de sang

Sibelle

Je continue de toucher son sexe, je l'entends gémir,il a l'air d'apprécier, je continue, je le vois grossit entre mes doigts avant qu'il n 'ejacule.
- Hooo putin, tu as des doigts de fée,me dit-il.
Il me redresse,on se rince rapidement puis on sort de la douche.
- On à une longue journée aujourd'hui.
Nous sortons de la douche, il s'assoit sur le lit .
- Ta journée est chargée, aujourd'hui nous irons te faire un bilan de santé, après cela ce sera le tatouage, après le passeports .Tu vois on a une longue journée.
Il me tend une un pantalon treillis très moulant et un haut qui met ma poitrine en valeur , je m'habille rapidement, cette fois sans me cacher. Car je ne veux pas être puni . Il ne se gêne pas pour me regarder, je dans ses yeux une faim inconnue , un désir brut, je le vois qui deglutit difficilement, surtout quand je me penche pour porter ma petite culotte.
- Tu auras ta punition , sache-le , ça t'apprendras à oublier les règles.
je le regarde avec des yeux de biche, essayant de l'amadouer, pour qu'il annule cette punition.
- Tu n'arriveras pas à m'empêcher de te punir, je suis sûr que tu vas adorer ta punition.
Il part dans sa chambre s'habiller. Et reviens me chercher pour descendre, ensemble .
Arrivée dans la salle à manger, tout le monde était assis à sa place, Jenifer, Aïcha, je me suis assise à ma place.
- Monsieur ... vous allez passer au casino aujourd'hui ?
C'était Jenifer qui parlait.
L'aigle la regarde, avec cette manière qu'il a de te regarder tu te dis " si je savais, je n'allais rien dire"
Elle baisse la tête, et boude.
- Aïcha , j'ai appris que le centre commercial est en rupture de nos vins, comment est ce possible ? Pourquoi n'a tu pas demander de faire les ravitaillement ? Tu as un problème en ce moment ?
- Non monsieur, c'est un oubli cela ne se reproduira plus.
- Je l'espère, ce n'est pas parce que tu es ma maîtresse que tu as ce poste parce que je crois en toi, je sais que tu mets du sérieux dans ton travail, alors ne me déçoit pas. Car la prochaine fois que tu feras une erreur pareille, tu quitteras ton poste, j'espère que tu vas te ressaisir.
- j'ai compris monsieur.
- À l'attention de tous , vous êtes avec moi, pour mon plaisir, je vous donne un travail pour vous occuper l'esprit, mais sachez que je regarde vos compétences
pour donner le travail qui vous correspond.
Ne pensez pas que c'est un acquis, si le travail est mal fait, vous serez renvoyé comme dans toutes entreprises qui se respectent.
Jenifer, je te demande de gérer le casino, pas pour que tu t' exhibe là-bas, vous êtes mes ambassadrices , alors vos comportements doivent-être exemplaire à tous points de vue . Que ce soit la dernière fois que tu te comporte ainsi , la prochaine fois tu ramasse des bagages et tu fous de chez moi. Mais ne crois pas
tu ne seras pas punis. Tu veux t'exhiber ?
Très bien, Garde
Je vois quatre grandes hommes qui rentre avec une table longue et des cordes .
C'est pour faire quoi avec tout ça ?
Ils déposent la toujours dans la salle à manger et attendent.
- Jenifer, lève toi et déshabille-toi . Tu peux garder ta petite culotte.
Je crois que j'ai été trop clément avec toi ces temps ci.
Elle ne bouge pas, les yeux hagards, ne comprends pas ce qui lui arrive.
- Garde, déshabillez-la.
- Non, attendez je vais le vais le faire.
- ton temps est passé, il fallait t'executer
quand je t'avais donné l'ordre.
Un garde arrive,
- Madame, sortez de table s'il vous plaît.
Elle se lève, et le garde commence à la déshabiller, elle coule des larmes.
- Pour avoir entachée mon nom, tu auras 50 coups de fouets.
Elle a commencé à pleurer, c'est la déluge, elle pleure fort
- Pardon maître, je vous demande pardon
- Tu seras pardonnez quand tu pris ces 50 Coups de fouets sans te plaindre, mets toi au centre de la table.
Elle continue de pleurer, elle se met en genou.
- Garde, mettez-la sur la table, attachée la et commencez à frapper.
Il le dit d'une voix dure, même moi qui suis à côté j'ai peur de ce qui va se passer , comment peut-il faire cela à sa maîtresse ? C'est aberrant.
Les gardes,la soulèvent et l'attachent, poitrine et visage contre la table.
- Vous pouvez commencer
L'un des gardes fait sortir un fouet long, le plus long que j'ai jamais vu ,et commence à frapper. La première frappe sur son dos laisse une trace rouge sang
elle pousse un hurlement de malade , je
n'aimerais pas être là sa place.
Le garde continue a frappé, au vingtième coup son dos est en sang, elle est à bout de force , au trentième coups, elle s'évanouit . Je suis assise là terrorisée, je ne supporte plus ça, mais j'ai peur de parler .Et lui il continue de manger comme si de rien n'était.
Aïcha, mange un peu sauf que l'on voit bien qu'elle aussi à peur .
Je prends mon courage a deux mains et lui dit :
- Monsieur, je crois qu'elle s'est évanoui
vous... vous pouvez arrêter s'il vous plaît
- Tu veux prendre le reste des coups ?
- Non, monsieur.
- Alors, ils vont continuer jusqu'à atteindre les 50 Coups.
Je me lève de table, mais il m'arrête.
- Où vas-tu ?
- Dans les toilettes, j'ai envie de vomir.
- Rassois toi, pour apprécier le spectacle
que ça sert de leçon à toutes les deux, j'ai horreur de la subordination , prochainement, si vous décidez de me tenir tête, fait le en toute connaissance de cause.
Je me rassois , et ferme les yeux pour ne plus voir ce corps ensanglanté sur la table.
- Ouvre les yeux, je veux que tu vois ce qui peut t'arriver, si tu me pousse à bout.
Je ne fais que pleurer, je ne pensais pas qu'il pouvait être aussi cruel, bon Dieu
Où ai-je atterri ? Sûrement en enfer.
J'ouvre enfin les yeux, pour la voir inanimé,toute la table est rouge, rouge de sang. les gardes ont fini, ils la détache.
- Appelez le docteur, qu'il vienne la consulter.