retour glaçant

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: retour glaçant

l'aigle royal
- Tu aime mon touché ?
Je ne dis rien, il le sait très bien, mais il veut me l'entendre dire, pour galvaniser son égo.
Il pinces mes tétons
- Aïe, pourquoi tu fais ça ?
- C'était pour vérifier si tu pouvais parler.
- Tu es machiavélique !
- Alors, tu aimes ou pas ?
Sa bouche se pose sur ma poitrine qu'il maltraite avec sa langue et ses dents .
- Hoo, merde, oui j'aime ton touché.
- Ravis que ça te plaise.
- Alors et mon Indice ?
- Je n'ai pas encore fini, je me lasse pas de les goûter et les toucher, c'est si doux
si parfait.
Je m'arrache de ses bras, tu n'es pas bien, tu veux profiter de moi, je veux mon Indice maintenant.
- Très bien, tu es vraiment dur en affaire.
c'est une ville plein de lumière ! et j'ajoute un bonus, on y mange les meilleurs plats au monde .
- La ville lumière, et les meilleurs plats, ça me fait penser à... à...Paris... c'est ça ? Est-ce que j'ai trouvé ?
- Oui, tu as mis dans le mil, tu as très vite trouvé.
- On va vraiment à Paris ? Pour de vrai ?
- Oui, pour de vrai, ça te plaît ?
- J'ai toujours rêvée d'aller à Paris, je suis vraiment contente .
- Heureux que ça te fasse plaisir.
- On y va pour combien de jours ?
- Deux jours, nous devons revenir pour recevoir le sanguinaire .
- C'est qui ce sanguinaire ?
- Une personne que tu ne dois pas approcher quand tu es seule !
- Pourquoi ? Il est très dangereux ?
- Oui très , il faut faire attention à ne pas
l'énerver ! Il est très susceptible .
Le vol se passe bien, mon bébé se plonge dans la lecture des informations transmises par ses hommes dans son ordinateur pendant que moi, consulte les données que m'a envoyé le comptable de l'entreprise, nous étions tellement occupés qu'on ne s'est pas aperçu que le
temps est vite passé . Le pilote nous demande de boucler nos ceintures, nous allons atterrir. Trente minutes plus tard, nous descendons les escaliers du jet.
Une limousine nous attend, nous montons, direction les champs Élisés.
- Puisque tu veux faire un peu de tourisme, il vaut mieux que tu portes des chaussures adaptées.
- Mais je n'ai pas apporter de chaussures confortables !
- Ne t'inquiète de rien, j'en ai apporté pour toi !
- Tu pense à tout, merci beaucoup.
Il me tend des baskets que je porte, bizarrement, ça me va bien et ça se mari bien aussi avec ma tenue. Nous descendons, pour flâner dans le coin.
Le temps est idéal pour une balade, de l’Arc-de-Triomphe à la Place de la Concorde, shopping et pauses détente nous rentrons dans des boutiques pour faire des achats, j'ai décidé d'acheter des cadeaux pour ma sœur chérie, si elle apprend que je suis venue à Paris sans rien lui apporter, je serai dans de beaux draps . J'en apporte aussi pour la gouvernante, je veux être dans ses petits souliers . Après une heure de balade nous partons déjeuner dans un restaurant fabuleux , la nourriture est divine, ho , que c'est délicieux, les français sont les meilleurs en gastronomie ! Et ce vin qu'il m'a fait goûter ! Je ne pourrai plus m'en passer, il est tellement doux, et cette saveur ! ce petit arrière goût de délicat qu'on ne serait nommer ! C'est une expérience unique ! Après le repas nous continuons notre excursion dans les musées , nous faisons un tour dans le musé du Louvre
ensuite nous passons au musée Grévin, puis au musée du chocolat , ces chocolats sont si fondants ! Que ça réveille en vous une émotion incroyable.
Nous passons une journée fantastique
pendant tout le temps il a été incroyable
aimable, attentionné , c'est la première fois que je le vois aussi détendu !
Nous quittons Paris à dix-neuf heures, malgré que le soleil soit couché, la ville rayonne de lumière . Je n'avais aucune envie de rentrer !
- c'était une journée incroyable ! merci beaucoup.
Il me regarde avec un sourire, puis se penche pour l'embrasser . C'était quoi ce sourire ?
Nous arrivons à l'aéroport pour prendre notre jet , nous nous tenons la main comme des amoureux , j'espère que je ne me fais pas de film .
Le retour fut dans un silence lourd, moi m 'inquiètant pour la suite et lui concentré sur son ordinateur .
À notre arrivée, nous rentrons immédiatement à la maison avec deux coffres de voiture remplie de cadeaux .
Dès que nous descendons, il se dirige directement dans son bureau sans un regard pour moi : retour à la case départ.
J'ai de plus en plus du mal à supporter ses comportements bipolaires , tantôt il est au petit soin, tantôt il vous ignore.
J'en profite pour aller chercher ma sœur
nous avons beaucoup de choses à nous dire !
Je donne le cadeau de Lucia notre gouvernante et en est très émue.
- C'est la première fois, que quelqu'un me fait des cadeaux dans cette maison, sache que je n'oublierai jamais ce que tu viens de faire pour moi ma petite.
- Ce n'est rien, c'est juste un foulard !
- Ho non, pas n'importe quel foulard ! Il dépasse les 3000 € !
- Mais, comment le sais-tu ?
- heu, J'ai toujours aimé la mode, alors j'achète des magazines féminins pour toujours être au courant des dernières créations .
- Je ne savais pas ça, ne t'en fais pas ce n'est qu'un début, chaque fois que je quitterai le pays, je viendrai toujours avec quelque chose pour toi .
Elle rougit de plaisir,
- Merci beaucoup, j'en serais très honorée .
- Tu sais où se trouve Andréa ?
- Oui, elle a toujours le nez plongé dans les livres dans son bureau, je me demande si elle a le temps d'aller dormir un peu .

Tu es mienne !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant