✰Si Seulement Je Pouvais Attraper Les étoiles.✰

⭐️Chapitre XXXVIII⭐️

"But they don't understand,
you're all I had, you're all I had."
-Bruno Mars-
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"Mais tu ne comprend pas (T/p), tu es tout ce que j'ai. Je pourrais crever pour toi... tu ne peux pas m'abandonner comme ça ?"

Sa main a emprisonnée ma gorge avec force, ses yeux auparavant si beaux et doux, n'étaient plus que folie et obsession.

J'avais beau pousser, me débattre, le  mordre ou le griffer, il ne lâchait pas.

Sa prise était de plus en plus forte, il voulait me tuer.

Ma respiration se bloqua dans ma gorge, empêchant l'air d'atteindre mes poumons.
Sentant que si je ne faisais rien, s'en été finit de moi, j'ai balancer mon pied avec les dernières forces qu'ils me restaient.

Lorsque j'ai abattu mon pied dans ses parties intimes, il m'a lâché, furieux.
La douleur se peignait sur ses traits affreusement effrayant.

Et j'ai pris la fuite, comme un lapin sauvant sa peau du prédateur.

J'ai tenté d'en parler à ma mère.
"Mon petit ami m'a étrangler maman. Il a faillit me tuer."

Elle a juste rigolé, un rire mauvais et moqueur.

"Oh chérie, n'en fait pas tout un drame. Ça arrive que les couples se disputent."

Je ne comprenais plus rien.
Est-ce de ma faute ?
Je l'ai mérité ?

Ce jour là, j'ai désobéis à ma mère pour la première fois. J'ai quitté mon petit ami.

Et ce n'était pas sur un accord commun, comme j'ai menti à Roy.

Il m'a supplié, a implorer mon pardon.
Il m'a promit monts et merveilles, il m'a assuré que ça ne se reproduira plus.

Il a dit que si je le quittais, il ne le supporterait pas, et mettrait fin à ses jours.

Comment peut-on rigoler sur une chose pareille ?

Je lui ai dit que ce n'était plus mes affaires, qu'il faisait ce qu'il voulait de sa vie. 

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Mon Motismart sonna, vibrant contre ma table de chevet.
J'ouvre un œil, puis un autre.

Je tente d'habituer ma vision à l'obscurité de la chambre.

Je grogne, et m'empresse de saisir l'appareil.

"Maman" est affiché sur l'écran.

"Que diable me veut-elle encore ?!"

Je souffla, et lance un regard à la personne à côté de moi.

Nabil dort profondément, bavant comme un Ortide.

Hier soir, en rentrant dans notre hôtel, Nabil a insisté pour dormir avec moi.

Il a dit je cite :"FAISONS UNE NUIT BLANCHE ! Tu va voir j'suis trop fort pour rester éveillé !"

...

Il s'est endormi dans les 10 minutes qui ont suivit.

Je me lève, manquant de me trépaner au sol et enfile une petite veste par dessus mon pyjama.

Je sort sur le balcon, l'air frais du matin me donna l'impression de respirer de nouveau.

Alors avec détermination et courage, je décrocha. 

-Allô maman ?
"Oooooh !! Bonjour ma chérie !"

Je tique, son enthousiasme est bien trop suspect.