𝐃𝐞𝐬𝐭𝐢𝐧𝐬 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐥𝐚𝐜𝐞́𝐬

𝒜̀ 𝒸ℴℯ𝓊𝓇𝓈 ℴ𝓊𝓋ℯ𝓇𝓉𝓈

𝒟ℯ𝓈𝓉𝒾𝓃𝓈 ℯ𝓃𝓉𝓇ℯ𝓁𝒶𝒸ℯ́𝓈

JUAN

Moi:Je dois faire quoi?

Je ne cache pas mon agacement et vois Bianca à côté  de moi se retenir de rigoler,cette fille est irrécupérable.

Le garçon:Tu dois choisir entre action ou vérité.

Moi:Action.

Ma meilleure amie lève les yeux au ciel en se disant sûrement que je suis complètement fou de dire action.

J'aime bien le danger,non mais sérieusement je vais pas dire vérité.On dirait que j'ai peur de ce qu'ils vont me proposer.

Je sais très bien qu'ils ne vont rien me dire de ouf à faire,je suis Juan Fernandez et la moitié de cette université me connaît par mon père mais aussi par mon nom.

Je suis connue maintenant dans le rugby et je suis plus ou moins très populaire et très apprécié.

Le garçon:Tu dois t'isoler dans une chambre avec quelqu'un pendant dix minutes.

Moi:Ok.

Je me retiens de sourire comme un gros gamin et je lève Bianca de mes jambes.Je me lève à mon tour avant de poser mes mains sous ses cuisses et de la soulever pour la porter telle une princesse.

Ma princesse.

Elle enroule instinctivement ses bras autour de mon cou et je nous emmène dans une chambre au dessus.

J'avoue que cette idée m'existe,Bianca dans mes bras avec mes mains sous ses cuisses.Sa poitrine si près de mon visage et ses mains autour de mon cou.

Bianca:T'es complètement malade Juan,dépose moi.Je suis lourde.

Moi:Arrête de raconter n'importe quoi.

Je suis sérieux quand je lui dis ça,je la porte facilement déjà parce que je soulève sûrement le double voir le triple de son poids à la salle.

J'ouvre la première porte qui apparaît devant mes yeux avec mon pied et j'ouvre grand les yeux quand je vois Ambre,Anna et Jacques entrain de faire l'amour.

Je ferme la porte rapidement et lâche un petit rire.Bianca à l'air choquée et je décide d'ouvrir une autre porte et de nous faire rentrer.Je la dépose sur le lit et je vais fermer la porte à clé.

On ne sait jamais ce qui peut se passer.

Je me tourne pour la regarder et elle secoue ses mains devant son visage.Je souffle et tire sur ma chemise.La voir allongé sur un lit les cheveux totalement éparpillés sur l'oreiller anime encore plus mes fantasmes.

C'était déjà comme ça il y'a deux ans quand j'avais dormi près d'elle mais là c'est encore pire.

J'ai chaud.

Très chaud.

Je m'approche du lit et m'allonge à ses côtés en laissant un petit espace entre nous.De quoi calmer mes pulsions.