𝐛𝐫𝐮𝐬𝐡𝐬𝐭𝐫𝐨𝐤𝐬 𝐨𝐟 𝐥𝐨𝐯𝐞 → 𝑏.𝑏𝑟𝑖𝑑𝑔𝑒𝑟𝑡𝑜𝑛 [VF]

act 21

Henry est le premier enfant, suivi de quatre autres au fil des ans : trois filles et deux garçons. Un jour, alors qu'Henry a maintenant huit ans et que le plus jeune en a deux, Cassie entre dans le magasin d'art de Benedict, leur fille sautillant sur sa hanche.

Benedict, absorbé par ses esquisses, lève les yeux lorsque Cassie entre dans le magasin d'art, leur fille sautillant sur sa hanche. Un sourire illumine son visage en voyant sa famille. Il s'approche rapidement de Cassie, son cœur rempli d'amour et de satisfaction.

— Eh bien, regardez ma merveilleuse famille qui m'honore de sa présence, dit-il, feignant la surprise. Qu'est-ce qui vous amène dans mon petit sanctuaire, mon amour ?

— Eh bien, je crois que tu as encore fait quelque chose rit Cassie. Lucy veut être la première à te le dire.

Cassie regarde leur fille qui tend la main vers son père.

— Lucy, est-ce que tu dis ça à papa ?

Benedict rit doucement et prend Lucy des bras de Cassie, la berçant dans ses bras. Il la regarde attentivement, un éclat ludique dans les yeux.

— Oh, vraiment ? Qu'est-ce que c'est, ma chérie ? demande-t-il, attendant avec impatience ses nouvelles. Dis-moi, qu'ai-je fait cette fois-ci ?

— Bébé, dit l'enfant. Maman bébé.

Elle pointe le ventre de Cassie. Les yeux de Benedict s'élargissent de surprise, et un éclair de choc traverse son visage. Il baisse les yeux vers son ventre, mêlant incrédulité et joie dans son expression.

— Tu es sérieuse, mon amour ? Un autre ?

Sa voix est remplie d'un mélange d'excitation et d'incrédulité.

— On attend un autre bébé ?

Il tend la main et la pose doucement sur son ventre, son toucher empli d'émerveillement et de tendresse.

— Un autre, elle hoche la tête. Que puis-je dire ? tu es doué.

Elle lui caresse la joue et le regarde.

— Mais cela ne me surprend pas. Nous n'avons jamais été très ordonnés.

Benedict rit doucement, incapable de contenir son sourire.

— Eh bien, mon amour, il semble que nous ne puissions nous empêcher de donner naissance à de nouvelles vies. Ces enfants sont le fruit de notre passion et de notre amour l'un pour l'autre. Je suis honoré d'être le père de ces petits trésors.

Il la rapproche, sa main reposant doucement sur son ventre, et dépose un baiser tendre sur ses lèvres.

— Un autre petit miracle en route. Nous sommes vraiment un peu désordonnés, n'est-ce pas ?

— Absolument, elle rit. Henry, Victoria, Charlotte, Edward et George sont excités, ils courent partout, je pense que ton frère a décidé qu'il ne veut plus voir d'enfants. Je suis à peine arrivée pour les déposer, et il voulait déjà que je les reprenne.

Benedict rit et se penche pour chuchoter à son oreille, sa voix emplie de sous-entendus taquins.

— Eh bien, mon amour, autant céder à notre désordre et l'embrasser pleinement. Qui sait combien d'autres petits nous pourrions créer ensemble dans ce beau chaos ?

— Oh non, nous avons assez d'enfants comme ça, dit-elle sur un ton humoristique.

Benedict sourit malicieusement, incapable de résister à l'envie de la taquiner.

— Oh, allez, mon amour. 'Assez d'enfants' est un terme relatif. En plus, imagine le chaos et la joie qu'ils apporteraient dans nos vies.

Il cligne de l'œil avec malice, un éclat espiègle dans ses yeux.

— Mais si tu penses vraiment qu'on devrait arrêter, je suppose que je peux me montrer raisonnable... pour l'instant.