𝐛𝐫𝐮𝐬𝐡𝐬𝐭𝐫𝐨𝐤𝐬 𝐨𝐟 𝐥𝐨𝐯𝐞 → 𝑏.𝑏𝑟𝑖𝑑𝑔𝑒𝑟𝑡𝑜𝑛 [VF]

act 20

Trois semaines plus tard, assise sur une chaise près de la cheminée, elle lance des raisins dans sa bouche. Benedict, assis par terre tandis que la cheminée crépite, rit de bon cœur alors qu'il attrape habilement chaque raisin dans sa bouche, ses réflexes aiguisés et précis. Il sourit, profitant de chaque instant.

— Tu as une visée parfaite, mon amour, taquine-t-il en riant. Tu aurais dû devenir professionnelle en lancer de raisins.

— Tu te souviens au bal, directement dans la bouche de la reine, rit-elle.

Les yeux de Benedict s'élargissent de reconnaissance, un sourire affectueux se dessinant sur son visage.

— Comment pourrais-je oublier ce moment inattendu ? répond-il, un rire s'échappant de ses lèvres. Lancer un raisin dans la bouche de la reine était tout un exploit, mon amour. C'était audacieux, inattendu et tout à fait délicieux.

Il tend la main et prend la sienne, lui offrant réconfort.

— À quoi penses-tu, ma chère ? demande-t-il, percevant ses émotions.

— Je suis juste heureuse. Tu me rends heureuse et ... tout cela. Cette vie. Je ne pourrais pas rêver mieux.

Le cœur de Benedict se remplit d'amour et de contentement alors qu'elle exprime son bonheur. Il serre sa main doucement, les yeux brillants d'affection.

— Tu me rends heureux aussi, chuchote-t-il, sa voix rauque de sincérité. Chaque jour avec toi est un cadeau, et je ne peux pas croire à quel point je suis chanceux de t'avoir à mes côtés. Cette vie, nous ensemble, c'est tout ce que j'aurais pu espérer et même plus.

Il se pencha et déposa un doux baiser sur sa tempe. La tempête éclate. La pluie tombe si fort qu'elle frappe les fenêtres et elle est si forte que la maison tremble. Cassie attrape son livre pour lire à la lueur des bougies et de la cheminée.

Benedict prend son carnet de croquis, dessinant à la lueur des bougies, sa flamme vacillante projetant des ombres sur ses dessins. La pluie continue de marteler les fenêtres, son orchestre tonitruant ajoutant à l'atmosphère intime. La tempête à l'extérieur apporte une sérénité inattendue alors qu'ils se délectent de la chaleur de la compagnie de l'autre.

Cassie tourne la page, une main caressant son ventre. Benedict jette un coup d'œil à Cassie, son cœur se gonflant à la vue de sa main délicate caressant son ventre. Un sourire tendre étire ses lèvres alors qu'il l'observe, ressentant une sensation de contentement l'envahir. Il met de côté son carnet de croquis un instant et s'approche, s'asseyant sur l'accoudoir de sa chaise, sa main rejoignant doucement la sienne sur son ventre. Il la regarde avec adoration, sa voix douce et remplie d'amour.

— Tu as l'air radieuse, mon amour, chuchote-t-il, ses doigts traçant légèrement des motifs sur son ventre. Cassie sourit.

— Parce que je suis heureuse et amoureuse.

Benedict la contemple, son cœur débordant d'amour et de contentement. Il se penche et effleure doucement ses lèvres contre son front, sa voix empreinte d'affection.

— Tu es la lumière de ma vie, tu le sais ça ? Ton bonheur et ton amour font battre mon cœur et mon âme s'envoler. Je suis l'homme le plus chanceux au monde de t'avoir à mes côtés, mon amour.

Il caresse doucement sa joue, son toucher tendre et empli de dévouement.

— Je t'aime, elle l'embrasse. Je vais me coucher.

Benedict sourit dans le baiser, son cœur se sentant entier et complet.

— Je t'aime aussi, répond-il, sa voix empreinte de conviction. Repose-toi bien, mon amour. Dors bien et rêve de la belle vie que nous avons construite ensemble.