Recueil de One-Shot {FERMÉ}

Hakuji x Koyuki

Commande de personne, bonne lecture !

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Hakuji était marié depuis un an avec sa bien aimée, Koyuki. Tous deux vivaient dans leur propre habitation où il y avait un dojo pour que l'homme puisse continuer d'exercer ses arts martiaux, invitant de temps en temps son beau-père à l'affronter.

La jeune femme était très attentionnée et prenait toujours soin de son mari, ce qui était réciproque avec le Soyama qui prenait également soin de Koyuki et la protégeait.

La brune faisait à manger dans la cuisine, attendant avec impatience que son homme rentre à la maison. Comme toujours, Koyuki se sentait heureuse et était de bonne humeur, n'arrivant toujours pas à croire qu'elle était enfin mariée à la personne qu'elle aimait.

À l'entente de la porte d'entrée s'ouvrir, la Soyama savait déjà que c'était son amant qui était rentrée, alors elle mis en suspens la cuisine pour l'accueillir. Rejoignant Hakuji, le corps de la femme se figea net et son expression faciale se décomposa pour laisser place à une immense peur. Son mari avait du sang sur le visage et ses vêtements se trouvaient dans un sale état.

- Hakuji ! Que t'est-il arrivé ?!

Aussitôt demandé, sans prendre le temps d'attendre une réponse, Kyouki saisit la main de son homme pour le tirer et le faire s'asseoir à table - ayant tournée la chaise pour qu'il soit dos à la table.

- Ce n'est rien, Koyu... rassura le noir d'un geste doux de la main.

- Il faut quand même te soigner !

La femme rassemblait de quoi le soigner et ne perdait pas de temps à se mettre au travail, obligeant Hakuji à retirer ses vêtement. Embarrassés tous deux, le marié se retrouvait en sous-vêtement face à la femme de sa vie. Ils n'avaient jamais encore eu de rapports sexuels, ce qui expliquait leur gêne.

- Tu es blessé partout, mon Dieu... commenta-t-elle dans un soupire où l'ont croirait qu'elle pourrait pleurer à tout moment.

- Je suis désolée mais je te promets que je vais bien.

- Comment est-ce arrivé ?

Soupirant, les yeux du Soyama exprimaient une certaine colère face à ce qui lui était arrivé. Sans trop tarder, il fit un court récit à sa femme.

- J'étais allé au magasin quand un inconnu complètement bourré m'est tombé dessus. Il était plutôt doué au corps à corps ce qui ne m'a pas laissée la tâche facile pour le calmer.

Koyuki ne disait rien, essuyant les traces écarlates sur tout le corps de son amoureux. Ne comprenant pas le silence, Hakuji lui demanda sans brutalité :

- Tu crois que je suis capable de provoquer les gens juste pour me défouler ?

- Non ! Quelle mouche t'a piqué pour que tu penses cela ? J'ai eu très peur pour toi et jamais je ne te croirais capable d'agresser qui que ce soit gratuitement.

Pour rassurer l'homme, la brune décida de l'embrasser tendrement sur les lèvres - ce qui ne laissa pas Hakuji indifférent. Ce dernier l'embrassa en retour tout en ramenant sa main sur sa joue pour la caresser avec affection. Lorsque la tension fut redescendue, Koyuki lui sourit et repris ses soins.

- Tu as mal quelque part ? demanda-t-elle. Tu ne préfères pas plutôt aller à l'hôpital ?

- Je n'ai pas besoin d'aller à l'hôpital, Koyu. La douleur est supportable mais je n'ai rien de grave.

- Si un moment la douleur devient trop insupportable, dis-le moi et on file aux urgences. Je ne veux surtout pas que tu me mentes pour me rassurer et qu'au final tu te retrouves dans un état déplorable.

La main d'Hakuji prit celle de Koyuki, qui était libre, dans le but de l'amener à ses lèvres, lui donnant un baiser rassurant.

- Si je ne me sentais pas bien je te l'aurais dit, promis.

Soulagée de cela, la femme sourit, sans cesser ce qu'elle faisait pendant encore une bonne vingtaine de minutes. Lorsque l'homme fut soigné, il alla se changer tandis que la brune achevait la cuisine.

- Ça sent vraiment bon par contre, ajouta Hakuji qui venait de se changer et qui était revenu près de sa dulcinée.

- Ça sera prêt dans quelques petites minutes, tu peux t'installer à table !

Le noir hocha la tête et fit ce que dit sa femme sans rien dire. Depuis la table, il pouvait observer Kyouki qui s'occupait des finissions du dîner. Chaque geste d'elle était délicat et doux, regarder Koyuki était pour Hakuji comme admirer la plus belle des oeuvres d'art. Il l'aimait tellement et ça se voyait au regard amoureux qu'il lui lançait depuis maintenant un petit moment. L'homme était presque en train de baver tellement il la trouvait incroyable et belle.

Faisant tressaillir le Soyama, Koyuki se retourna avec un plats en mains qu'elle déposa en douceur sur le milieu de la table. L'odeur était enivrante, ouvrant encore plus l'appétit de l'homme qui se montrait impatient de manger la cuisine de sa femme.

Une fois les assiettes servies, les mariés mangèrent dans la joie et l'amour. Ils s'échangeaient des regards énamourés, parlaient de tout et de rien puis planifiaient des petites sorties qu'ils pourraient faire entre eux. C'était toujours la bonne entente, un vrai couple parfait.

- Tu aimes ? interrogea Koyuki qui espérait faire plaisir à son homme qui avait passé un sale quart d'heure plus tôt et qui était alors sûrement tendu.

- Comme toujours, Koyu. Tu fais les meilleurs plats au monde, tu devrais être connue pour ça, franchement !

Rigolant doucement, la brune rétorqua gentiment et avec une pointe de timidité :

- Je ne suis sûrement pas aussi bonne que ça mais ça me fait vraiment plaisir que tu aimes à ce point !

- Je n'exagère pas. Tu fais tellement de bonnes choses que le reste me semble fade. Tu pourrais m'apprendre à faire des plats ? Comme ça je pourrais aussi te faire plaisir parfois !

Hochant la tête avec affirmation, Koyuki accepta avec enthousiasme. Un petit cours de cuisine en la compagnie de son bien aimé serait amusant et les rapprocherait d'avantage. La femme avait déjà hâte de goûter à la cuisine de Hakuji qui se donnerait sûrement corps et âme pour que ça soit le mieux réussi possible.

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Coucou, j'espère que ça vous aura plus !

On se revoit bientôt pour le prochain chapitre !

Bye !

Chapitre suivant : Shinobu x Giyuu.