𝕌𝕟 : 𝕃'𝕒𝕡𝕡𝕖𝕝

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Mes yeux toujours clos, je sentis de douce caresses dans mes cheveux

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Mes yeux toujours clos, je sentis de douce caresses dans mes cheveux.

Je ne pris pas la peine de regarder de qui elles venaient, reconnaissant immédiatement la douceur des mains de ma chère maman.

Mom : Réveille toi mon ange. Le petit déjeuner est prêt. M'annonce t'elle d'une voix mielleuse.

Je remuais tandis qu'elle continuait de me caresser les cheveux.

Lyse : Je n'arriverais jamais à sortir de ce lit si tu continue tes caresses, maman. Dis-je, accompagné d'un petit rire.

Je l'entendis rire à son tour. Puis la chaleur que sa main apportait à mes cheveux, s'évapora, signe qu'elle venait de l'enlever.

Mom : Ça n'a pas changer en grandissant. Tu aime toujours autant qu'on te touche les cheveux. Rit elle.

Elle n'a pas tords.
J'ai toujours adorer les papouilles dans les cheveux.

Lyse : C'est papa qui m'y a habituer, tu n'as fais que le suivre. Et voilà que maintenant, je ne peux plus m'en passer !

Mom : Un vrai petit bébé !

Lyse : Eh maman ! Je ne suis plus un bébé.

Mom : Oh si ! Tu es toujours notre gros bébé. Continue t'elle.

Je soupire gentiment.
Je sais que je resterais toujours leurs gros bébé.

Alors que je m'apprêtais à répliquer une seconde fois, la douce voix de mon papa se fit entendre à l'encadrement de la porte de ma chambre.

Dad : Ta mère a raison, Lyse ! Tu restera à jamais notre gros bébé ! S'exclame t'il.

Lyse : C'est vous les gros bébés ! Ai-je dis.

Mon père mime une tête vexée avant de plisser les yeux tout en me fixant.

Lyse : Suis-je sensée m'échapper ? Demandais je à l'intention de ma mère.

Elle hoche la tête avec un grand sourire.

Je n'eu pas le temps de sortir de mon lit que mon papa me sauta dessus.

Alors qu'il commençait à parsemer mes hanches de chatouilles, mon rire se mit à résonner dans l'appartement.

Lyse : Arrête ! L'engueulais je, n'en pouvant déjà plus.

Un sourire malicieux fit apparition sur ses lèvres.

Dad : Alors dit que tu es encore notre gros bébé !

Lyse : Mais quel chantage ! M'exclamai je, faussement outrée.

Ma mère se mit à rire.

Je tourna mon regard vers elle en plissant les yeux.

𝐸́  𝒞  𝐿  𝐼  𝒫  𝒮  𝐸Où les histoires vivent. Découvrez maintenant