"-Bordel, la porte est verrouillée, on est coincés ici.. M'informe t-il.
Mon cœur rate un battement.-Ce n'est pas possible, on va devoir rester ensemble 24h ?... Lui demandai-je.
-Oui. Rétroqua-t-il, la situation semblait l'amuser. Comme si il avait tout prévu.
Je lâche un soupir assez fort pour lui faire comprendre mon agacement et il m'ignore complètement.-Au fait, tu voulais quoi tout à l'heure ? Je l'interrogeai.
-Laisse tomber, et moi, je peux savoir pourquoi tu rougissais autant dans le casier ? Ne me dis pas que tu pensais à ce que je pensais. Il gloussa et je savais très bien qu'il avait compris pourquoi je rougissais autant. Soudainement, il s'approche de moi mais je recule au rythme de ses pas jusqu'à ce que je me cogne contre un mur, je ne pouvais reculer davantage tandis que lui avançait jusqu'à n'être qu'à quelques centimètres de moi, il avance sa tête jusqu'à que sa bouche soit assez proche de mon oreille.
-Pourquoi tu recules comme ça ? Tu as trop peur de ce que je pourrais te faire si tu es trop proche de moi ? Me susurre-t-il.
Un frisson me parcourt la colonne vertébrale lorsqu'il me parle d'une voix basse. Je sens ma respirarion accélérer de nouveau. Je regarde le sol, cherchant à éviter son regard.-Non, c'est juste que...- Avant que je n'eus le temps de finir ma phrase, il prend mon menton et le relève.
-Regarde moi quand tu me parles." M'ordonne-t-il d'une voix autoritaire. Je croise son regard, ses yeux sont envoûtant, mais ils ont l'air si triste, comme si un passé sombre se cachait derrière.
Et ses yeux sont envoûtants mais je les détestes tellement.
La tension monte de plus en plus.
Je le repousse finalement et contre toute attente il me laisse enfin tranquille et il parta dans une autre pièce du vestiaire.Pourquoi essaie-t-il toujours d'être à proximité, je le déteste tellement.
Je me détesterais si je finissais par l'aimer, mais ça n'arrivera jamais, il FAUT que ça n'arrive jamais ; je m'en empêcherais par tout les moyens.Pour décrire comment est le vestiaires, il y a une grande salle avec des casiers de chaque côté du couloir, des bancs se trouvent au milieu de la salle.
Ensuite il y a des toilettes mixtes avec 6 cabines. Et enfin il y a une troisième pièce toujours collée au vestiaire, on ne sait pas ce qu'il y a dedans, personne n'est jamais allé dedans.Je soupire, il n'y a vraiment rien à faire ici quand soudain Lorenzo revient. Il s'avance vers moi.
-Tu veux quoi ? Je ne veux pas te voir alors dégage, Lui dis-je violemment. Je ne veux pas me rapprocher de lui, je veux m'en éloigner le plus possible. Il me regarde avec colère et commence à m'étrangler avec ses deux mains.
-Je t'ai laissé m'insulter suffisamment de fois, je t'avais prévenu, mais tu ne m'écoutes jamais. J'aimerais tellement te briser le cou maintenant. Pour tout ce que tu m'as fais subir.
Me crie-t-il, serrant ma gorge de plus en plus fort.-Ce que je "T'AI FAIS SUBIR" ?! Pour rappel c'est toi qui m'a fais subir tout ça.
Je te déteste tellement, je déteste la personne que tu es devenue. Je lui hurle dessus. Il serre ma gorge encore et encore, je commence à avoir la tête qui tourne et à avoir du mal à respirer.-Lorenzo, arrête.... Je le supplie. Mais il me regarde avec une haine si intense que je me demande si je vais mourir de ses mains. Je suis effrayée et pétrifiée.
Ma vision se trouble.Je perds conscience.
Je ne comprends pas ce qui se passe autour de moi. Puis je me réveille en sursaut, sur le sol froid du vestiaire. Et où est Lorenzo ? Je vais lui régler son compte à ce c*nnard de service.
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Mon Motard [Ennemy To Lover]
Roman d'amour𝑬𝒍𝒆𝒏𝒂, 𝒖𝒏𝒆 𝒋𝒆𝒖𝒏𝒆 𝒇𝒊𝒍𝒍𝒆 𝒅𝒆 17 𝒂𝒏𝒔 𝒆𝒔𝒕 𝒕𝒐𝒎𝒃𝒆𝒆 𝒔𝒐𝒖𝒔 𝒍𝒆 𝒄𝒉𝒂𝒓𝒎𝒆 𝒅'𝒖𝒏 𝒎𝒐𝒕𝒂𝒓𝒅. 𝑪𝒉𝒂𝒒𝒖𝒆 𝒎𝒂𝒕𝒊𝒏 𝒆𝒍𝒍𝒆...